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yanolezard

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Réponse postée 7 novembre 2024 15:39

Bonjour "Marou77",

Bienvenue sur le forum.

Sans être indiscret, quel est votre domaine d'activité ?

Sortir du "privé" pour une proposition dans le "publique", c'est plutôt rare dans ce sens ... Donc, vous devez avoir un profil intéressant.

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 6 novembre 2024 16:41

Bonjour "lydia09",

Bienvenue dans le monde de la "WomenTech".

Les "affaires internationales" restent toujours un peu "complexes" à résoudre.

Ce forum (peuplé de bonnes intentions et d'accompagnement, sans offenser qui que ce soit) n'est pas forcément le lieu idéal pour avoir des réponses claires, précises, et surtout validées et tamponnées, ce que vous recherchez plus in fine, dans et relatif à votre contexte.

Nous essayons, au maximum de nos connaissances et de nos compétences, d'accompagner le plus grand nombre de "questionneurs" ... néanmoins, mêmes les plus affutés d'entre-nous, n'avons pas forcément les réponses à ces questions contextuelles.

D'ailleurs, vous l'avez dit vous-même dans un précédent fil (vous avez 2 fils de discussions d'ouvert pour quasiment le même sujet) :

"Qui serait le mieux placé pour répondre à mes questions et résoudre mes problèmes : un expert-comptable, un avocat ou un fiscaliste ?"

Le mieux serait de prendre contact avec un avocat-fiscaliste en droit international (option Algérie) :

  • Supposant que vous habitiez Paris ou ailleurs : il existe la "Maison des Avocats" (une petite recherche rapide, à l'aide de votre moteur préféré).

    • Dans ma région, la "Maison des Avocats" existe et offre une consultation gratuite (après, c'est payant : tout travail méritant rémunération).

  • Sinon, toujours à l'aide de votre moteur de recherche préféré, vous trouverez des avocats-fiscalistes, sérieux, spécialisés en droits des affaires, des contrats internationaux (je n'ai pas le droit de faire de publicité afin de respecter la charte du site).

Pour ma modeste contribution à votre réflexion.

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 5 novembre 2024 14:10

Bonjour "donj8e",

D'abord, félicitations pour la réussite de votre alternance et l'obtention de votre diplôme dans le vaste écosystème de la (cyber)sécurité.

Vous avez pratiqué du "DevOps" :

  • 1) - Le "DevOps" n'est pas un métier : c'est un état d'esprit, une culture d'entreprise, une démarche, une philosophie ... En ce moment, l'IT met ce mot à toutes les sauces et en devient un galvaudage. A noter qu'il est plus délicat pour un "Ops" de faire du "Dev", que l'inverse et si l'on prend le cas des "SysOps" qui sont plus proches de la vérité (c'est un débat philosophique ....).

    Dans la démarche "DevOps", on inclut de plus en plus de "stream de sécurité", à différents niveaux :

    • Dev(Sec)Ops, (Sec)DevOps, DevOps(Sec) ou du (Sec)Dev(Sec)Ops(Sec) => cela fait plusieurs années que je pratique le dernier choix et les retours de résultats et de bénéfices sont à 95% positifs (c'est une autre débat) => ce qu'il faut voir ici, c'est que plusieurs métiers/fonctions/rôles/profils peuvent interagir dans le processus du "Devops".

      • Sécurité en amont des projets, sécurité pendant le projet, sécurité en aval des projets, sécurité en post-production

      2) - Le vaste univers du "Pentest" (BlackBox, GreyBox, WhiteBox, RedTeam, Blueteam, PurpleTeam, BugBounty) :

      Le "Pentest" (tel que présenté dans la plupart des annonces ou des métiers) n'est plus une niche : pentester un site web ou une application web, un Active Directory ou un Azure/AWS/GCP devient d'une banalité sans nom (la majorité des outils sérieux sont offerts par l'opensource ou le libre ... c'est devenu aussi "facile" que de faire une "homepage" en PHP avec "SPIP").

      Des "pentesteurs" de ce type, j'en trouve "100 à la 12zaine" ... par contre, des "pentesteur" type "Bugbounty", c'est une autre "paire de manches" (il faut avoir un "top niveau" en sécurité : pour s'exercer, essayez le challenge de l'ANSSI et de son écusson. Beaucoup s'essaient, peu arrivent au bout (9 niveaux).

    • Des "pentesteurs" sur de l'embedded (embarqué), là, ils se comptent sur les doigts d'une main (secteur aéro, auto, nucléo, médico, blockchain, IIoT, IA, Défense, Robotique, PLC, machines industrielles ...). Nombreuses demandes, peu d'élus = "pénurie".

    Comme le disait un précédent internaute, l'écosystème de la (cyber)sécurité ne s'arrête pas au "pentest" ou au "Devops" :

    • entre l'offensif et le défensif, il y a le forensique, l'investigation, le juridique, le pénal.

    • les nouvelles technologies : Blockchain, Intelligence Artificielle, Quantique

      • l'embarqué : et pas que l'IOT/IIOT, tout ce qui embarque du code dans un "Bios", un "Firmware', un ensemble électronique, un calculateur (je connais des personnes dont le métiers est l'analyse de sécurité du code en temps réel, pour les salles de marché ou pour les calculateurs en avionique).

      • les réseaux et les protocoles de communications : analyse de trames, de l'analyse de code (en utilisant des "SAST" , "DAST" et autres du même acabit.

        D'autres métiers autour du SOC (très en vogue actuellement), de la détection des menaces, des risques, des crises, de l'architecture en (cyber)sécurité (IT/OT).

        Il y a quelques références intéressantes autour des métiers de la cybersécurité et les tendances :

        (sans faire de publicité : https://guardia.school/metiers/)

        Si j'étais "novice" en la matière, j'aurais une approche "pieds de marmite" (3 comme pour les vieilles marmites en fonte, celles dans lesquelles on fait les meilleures soupes et les meilleurs plats), en cumulant connaissances, expériences, compétence, formations et auto-formations, certifications, etc. :

      • un socle technique de base (architecture de sécurité car cela couvre à peu près le toit de la "cyber")

      • une spécialité : le pentest avec options, ou de l'analyse de sécurité de code, ou du forensique, ou du SOC (et ce qui tourne autour)

      • une complémentarité : OSINT, RGPD, "Devops" (? Sec ?), IA (au sens large), Blockchain, Datas, Solutions matériel/logiciel (sondes, firewall, hsm, de l'ICS, .... avec une bonne de dose de normes (ISO 27001 et consorts, NISv2, NIST, ...)

      • une subsidiarité : avec de l'expérience, on peut devenir formateur en "cybersécurité"" ou se diriger vers une fonction de collaboration (RSI, RSSI, CISO, PO, CTO, etc.).

      Il y a différentes façons d'exercer dans la cybersécurité, le tout est de savoir par où commencer (l'entrée du tunnel) ... les routes ne sont jamais droites, pas toujours bien éclairées, les "nids-de-poules" sont existants, et cela ne s'arrête jamais ...

      PS : cela fait environ 40 années que je vagabonde dans les limbes de la (cyber)sûreté/sécurité informatique, entre autres) et j'en découvre tous les jours et ce n'est pas prêt de s'arrêter.

    En espérant avoir pu contribuer à éclairer quelques lanternes,

    Bien à vous,

    Yanolezard.

Oui c’est un peu ce côté niche (= plus de demandes quand on est bon) que je recherche. J’essaye de voir le truc le plus long-termiste possible et c’est pour ça que je viens vers ce forum pour votre recul et expertise

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Réponse postée 4 novembre 2024 17:04

Bonjour "HiFriend",

Le nombre de modules/compartiments/plaques permet de stocker et de redistribuer la puissance calorifique plus finement et de manière équitable et répartie.

Comme les goûts et les couleurs ne se discutent pas, il n'y a que vous qui puissiez faire votre choix selon vos besoins, vos envies, vos finances ...

Bien cordialement,

Yanolezard.

Pour la première marque, je vois celui ci en promo : https://www.klarstein.fr/Chauffage/Radiateur-a-bain-d-huile/Thermaxx-Heatstream-radiateur-a-bain-d-huile-2500-W-5-35-C-minuterie-24-h-blanc-Blanc.html

sinon, j'hésite à attendre que celui-ci soit de nouveau en stock pour la seconde marque : https://www.delonghi.com/fr-fr/radiateur-bain-d%E2%80%99huile-trns0505m/p/TRNS0505M

plus petit, mais surement suffisant dans mon cas

qu'en pensez vous ?

privilégier le nombre de modules/compartiments/plaques de 11 à 12 minimum) -> je suppose qu'il faudrait au moins le premier alors ?

merci

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Réponse postée 4 novembre 2024 14:21

Bonjour "HiFriend",

Ce que je vais écrire ci-dessous n'est que le fruit de mes expériences avec 2 marques (qui pour l'instant me conviennent et n'engagent que moi) :

La teutonique "Klarstein" et l'Italienne "Delonghi" (attention pour les "bain d'huile", privilégier le nombre de modules/compartiments/plaques de 11 à 12 minimum). Au-delà du prix (que vous pouvez faire passer dans les charges professionnelles en fonction du statut juridique), il faut penser à. la maintenance et au changement éventuel de pièces, après la période de garantie, le retour en atelier, la réparabilité, ou si cela peut être réalisé par un atelier "standard", d'où :

  • "Klarstein" (fabrication gerrmanique, solide, bien conçue, avec des pièces interchangeables et rapport/qualité prix, durée donnée pour 15 ans et cela fait quasi 18 ans que je l'ai et il fonctionne toujours aussi bien ... tellement bien que je l'ai donné un à ma belle-mère (83 ans), très fileuse, et qui en est contente aussi et j'en ai racheté un plus récent, et de la même catégorie (l'avantage : étant mobile et pas trop lourd, je peux l'emmener et le placer dans toutes les pièces, plus ou moins grandes et chauffer en appoint sans problème, avec de bonnes températures et un contrôle sur la facture).

  • Si vous ne souhaitez pas plaire aux Teutons, vous avez le choix de l'italien "Delonghi" : très bonne qualité professionnelle, durée dans le temps éprouvée, notamment sur les modèles "Dragon" (un peu plus chers, mais rudement efficaces). J'en ai 2 depuis près de 10 ans, sans aucun problème.

Un des utilisateurs d'un "Dragon" Delonghi est un jeune étudiant (en B.U. T) logé dans les mansardes d'une vieille grange (beaucoup de vieux bois tordus, pas très bien isolée avec du "mortier de renard", dans le département de l'Ain).

En achat direct sur leurs sites (il y a souvent des promotions)

Bien à vous.

Yanolezard

bonjour Yanolezard

maison, avec des briques creuses essentiellement pour les murs exterieur (pas d'isolation mur exterieure)

il y a un velux sur cette mezzanine, en bon état . elle fait à peine 6m² je dirais, car très vite très mensardé (max 1,75 de hauteur, au niveau de là ou j'ai mis mon bureau)

escalier en bois, poutre en bois (2 au niveau de la mezzanine : une a gauche de mon bureau, au niveau de la rampe d'escalier, une à la droite de mon bureau, au niveau de la partie la + mansardée, juste avant un espace de rangement avec des placards coulissant -- partie où l'on accède rarement donc!)

le plancher en bois, plafond avec des especes de lattes en bois également

je préfère aussi du mobile, je ne souhaite pas le fixer

ce serait pour chauffer à 22° max je pense (j'ai passé le premier hiver sans chauffage avec 16 degrés je pense ^^)

on m'a conséille celui ci, à huile justement si j'ai bien compris : https://www.amazon.fr/gp/product/B01K3X8R94/

peut être est-ce un peu too much dans mon besoin ? je vois qu'il y a des modèles de la meme marque pour 100€, peut etre est-ce suffisant?

merci d'avance pour les reco

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Réponse postée 4 novembre 2024 11:44

Bonjour "HiFriend",

Installer un chauffage d'appoint, pour le télétravail, demande un peu de réflexion et quelques questions, pour prendre une bonne décision et faire le bon choix en ces périodes d'économies d'énergie et du respect de la planète.

Cette mezzanine se trouve dans :

  • Une maison ou un appartement ?

  • Type(s) de matériau(x) des murs intérieurs et extérieurs / cloisons intérieures ?

  • Comment accède-t-on à la mezzanine (escalier en bois, pierre, métal) ?

  • Quelle est la surface de la mezzanine ainsi que son volume à chauffer ?

  • Type(s) de matériau(x) de la dalle ou du plancher et du plafond ?

  • Existe-t-il des obstacles "naturels" (exemples : une poutre apparente, du mobilier, etc) ?

  • Quels genres d'ouverture dispose la mezzanine ? (fenêtre extérieure, un "Vélux", un wasistas, une baie vitrée, etc)

  • Si connue : catégorie de pièce "Adème" (si pièce de "vie" : 19°C, si pièce de repos : 16°, si pièce de mobilité : 18°).

Vous avez plusieurs type de radiateurs d'appoint (quel que soient les marques /modèles, toujours privilégier ceux à thermostats dynamiques ou connectés).

  • Radiateurs électriques à bain d'huile :

    • petite surface (=> petit volume à chauffer), durée de chauffe courte ) à moyenne (si longue, modèle avec thermostat dynamique ou connecté)

    • technologie "bain d'huile minérale" : très force puissance calorifique, très longue, restitue de façon bien répartie la chaleur.

    • Attention à ne pas se brûler (c'est l'équivalent de nos "Mirus" d'autrefois), d'où modèles à protection contre les accidents bêtes).

    • Plus lourds car la plupart sont en acier/fonte.

  • Radiateurs électriques à inertie (sèche ou fluide):

    • très souvent à fixer à un mur/cloison.

    • si technologie sèche : chauffage lent et puissant (coeur de chauffe en briques réfractaires, comme un four à pain)

    • si technologie fluide (différents types : végétal, liquide caloriporteur, huile minérale) : chauffage rapide, très puissant, mais pas en continu.

  • Radiateurs électriques rayonnant :

    • Principe de fonctionnement : résistances chauffant une plaque (aluminium)

    • Chaleur par rayonnement infrarouge (même sensation que celle du soleil sur votre peau) et par convection.

    • Montée de température rapide : instantané, par rebond des ondes, les murs, les meubles, les personnes et les objets (chaleur rapide, homogène),

    • Précaution : pas de mobilier à proximité du radiateur => car ces derniers captent la chaleur.

    • Sitôt éteint : plus de chaleur.

  • Radiateurs électriques à inertie (fonte/aluminium, céramique/aluminium, fonte/briques réfractaires, aluminium/briques réfractaires) :

    • Doubles coeurs de chauffe : pour une bonne inertie, privilégier les types "fontes/réfractaires" (montée lente, chaleur persistante)

    • Radiateurs souvent "assez" lourds (bonnes fixations murales)

    • Si "Aluminium/Réfractaires" : montée rapide, chaleur persistante.

En fonction des marques et des modèles, divers accessoires sont indispensables :

  • La mobilité de l'appareil (petites/grandes roulettes, rails à patins, socle, poignée de déplacement, poignée anti-basculement).

  • Sondes de protection thermiques (température, thermostat statique ou dynamique, connecté ou pas, protection contre les brûlures).

  • Protections électriques (cordon d'alimentation électrique normalisé FR et Europe, soit "2 pôles + terre" ou " 2P+T")

  • Si appareil à fluide liquide : possibilité de vidange ou de complément ou pas si pensé pour.

    On trouve de nombreuses marques et de multiples modèle en fonction des critères et des données : comme chaque personne ou chaque corps est unique en son genre et ne perçoit pas la chaleur et ses effets de la même manière, il va de soi que je ne peux répondre de manière précise à votre demande (la fourchette de prix pour un équipement digne de ce nom se situe entre 100€ et 450€ pour les plus "velus"').

PS : j'apprécie les équipements à bain d'huile et ceux à inertie sèche (mais en mobile) : je prête une attention particulière aux roulettes (remplaçables, matériaux durs type "rollers", à grandes roulettes)

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes.

Bien à vous,

Yanolezard

hello,

je suis en télétravail, mon bureau est dans une mezzanine pas très grande, et je me caille un peu maintenant (les blocs de clim n'atteignent pas cette zone)

Du coup je cherche un radiateur electrique d'appoint : des recommandations ?

pas trop bruyant / consommateur ; le budget n'est pas un souci mais bon pas 500€ non plus!

merci

Réponse postée 25 octobre 2024 14:42

Bonjour "clmntmcht ",

Félicitations pour votre démarche.

Sans être indiscret, dans quelle(s) région(s) recherchez-vous votre parcours de reconversion ? (Paris / RP / Province et si province, quel Région/département ? ) et quel système de financement envisageriez-vous ?

Avez-vous fait une VAE ou un bilan de compétences (cela peut aider parfois) ?

Vous êtes déjà porteur d'une Licence en Communication, donc, il faut soit se diriger vers une Licence Pro, un Licence Pro + (Bac+4) ou un Master2 ou un titre RCNP, toujours en alternance ou une formation bien cotée d'un an ou plus via l'AFPA (il y en a qui vont râler, mais j'assume ce que j'écris).

J'ai quelques amis et connaissances qui sont un peu plus "âgées" que vous, en reconversion actuellement ou s'étant déjà reconverties, et qui s'en sortent (très) bien. Comme dit dans les discussions, "passions, volonté, gniack, abnégation" tout en étant humble pourra vous amener à réussir un nouveau départ ...

Plusieurs secteurs/domaines : Réseaux et Télécommunications (Cloud), Systèmes & Réseaux (Cloud), (Cyber)Sécurité Informatique, Management de Projets/PMO, Intelligence Artificielle (et pas que la Générative), si vous êtes ouvert aux choses bizarres (Administration Systèmes, Réseaux, Sécurité en Grands "zOS" et/ou Minisystem "OS400/Poweri"), si vous vous sentez une âme de concepteurs/développeurs d'applications, vous avez le choix, ... comme pour les formations métiers type SAP où France-Travail a toutes les peines du monde à "remplir leurs paniers SAP" car ils ne savent pas communiquer à ce sujet - il y a une semaine, j'ai encore dû, pour une agence régionale FT, leur expliquer comment favoriser et intégrer le mouvement SAP en expliquant de manière claire et précise ce qu'il faut savoir et dire en toute honnêteté : 2 ou 3 personnes ont même demandé au responsable de cette agence régionale si je faisais partie du personnel, tellement c'était clair, limpide et honnête (en plus, j'avais invité rapidement en visio un directeur technique SAP régional pour présenter le monde et l'écosystème SAP :=> résultat des courses : depuis que je suis passé là-bas, ils ont quasi-rempli la prochaine promotion de reconversion, soit 17 personnes sur 20, plus qu'il n'en faut pour démarrer (minimum 12) et tous les participant ont une entreprise qui les accueillent (et ce n'est qu'un humble exemple).

PS : une petite chose à savoir : certains organismes de formations (étatiques ou pas) ont des calendriers précis pour les reconversions en alternance et on ne peut pas forcément démarrer comme on le souhaiterait et d'autres peuvent "intégrer" des alternants à leurs convenances (idem pour les entreprises car les RHs ont des plans et des budgets à respecter avec des "quotas" d'alternants bien cadrés : un alternant n'est pas là comme "bouche-trou" ou pour remplacer un salarié en maladie par exemple).

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes,

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 21 octobre 2024 12:45

Bonjour "Spooner",

Les habilitations "défense" au sens global, suivent des processus parfois bien étranges et c'est d'ailleurs pour cela que les accréditations ont commencé à fleurir un peu partout.

Ce que vous décrivez est valable :

Prestataire (vous) = habilitable en tant que personne physique <= > L'ESN (et son Officier de Sécurité) <= > l'Organisation cible.

Le dossier de "candidature" est à la main de l'ESN, ce qui déclenchera le reste du processus (peut être rapide ou pas, selon l'Officier de Sécurité).

PS : il est effectivement possible :

d'avoir une habilitation pour sa structure/organisation et une habilitation pour sa personne physique.

d'être son propre "Officier de Sécurité" (formation, certification et périodes de renouvellement obligatoire)

de justifier d'un volume "important" de projets (sur la durée, sur le nombre de projets, sur le nombre d'audits, ...) à l'année.

A noter que certaines ESN (notamment celles qui font prester des freelances, n'ayant pas la nationalité française, depuis le near/offshore vers la métropole/france) utilisent un process d'accréditations. Attention car ces accréditations ont une portée courte et basse sur les périmètres couverts.

J'ai déjà rencontré des cas où le prestataire ne pouvait travailler que sur un point précis du projet, le reste demandant une vraie habilitation, et là, ça pose questions à la fois pour l'ESN et pour le client.

PS : j'ai été habilité pendant de très nombreuses années (personne physique) en raison d'anciens métiers, puis habilité en tant que personnes morales et physique (pour d'autres fonctions), et encore habilitable sans difficulté (je suis aussi Officier de Sécurité).

Un point important que les personnes physiques ont tendance à oublier : il fut un temps où les habilitations obtenues étaient presque "à vie", depuis quelques années/décennies, ce n'est plus le cas, quelles que soient les niveaux d'habilitations et les processus attenants sont systématiquement réengagés, même si la personne physique reste chez le même client, mais sur des projets différents ou qui nécessitent un niveau d'habilitation plus élevé.

Par contre, les accréditations, elles se terminent à une date précise, celle de la fin de la tâche ou du projet, donc de la mission.

D'un point de vue ministériel, les accréditations restent problématiques et certains services font "machine arrière" pour les refuser (curseurs en business/gros sous, sécurité et lobbying pour les travailleurs "petites mains qui parlent pas français ou baragouinent l'anglais" et qui coûtent "peau de z.be").

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes, dans le clair-obscur de ce monde.

Bien cordialement,

Yanolezard

Merci Free-Worker pour ton retour d'expérience.

Pour apporter quelques précisions à ma question : j'ai déjà travaillé avec cette ESN et pour ce client qui relève de la défense (j'ai utilisé le terme "armée" de façon générique).

Je ne suis pas un officier de sécurité, ce qui nécessite une formation..., mais l'ESN a un officier de sécurité.

Le périmètre de ma mission change et j'ai maintenant besoin de cette habilitation.

Quand je vois les annonces qui réclame un profil habilitable

https://www.free-work.com/fr/tech-it/jobs?query=habilitable&contracts=contractor

je me dis que le montage suivant est possible : INDEP (habilité en tant que personne physique mais pas moral) <-> ESN (avec officier de securité) <-> client final

Y a t-il des free-worker dans ce contexte ?

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Réponse postée 10 octobre 2024 17:07

Bonjour "Free-Worker-1273389",

Ne vous en déplaise, c'est pourtant la vérité : il y a pléthore d'applications dans les industries françaises qui ont été développées en Fortran, en Delphi, en Forth, en Lisp, etc .. et dans plein d'autres langages aujourd'hui laissés parfois en désuétude.

Prenez ce bon vieux "Microsoft Visual Basic 6.0" qui nous a fait rêver ou pleurer ou suer ou grandir :

  • dans l'industrie automobile, ne serait-ce que pour un équipementier automobile ayant "pignon sur rue" (je tais le nom par déontologie), il y a plus d'une centaine d'applications d'applications développées en VB 6.0 et hors de question d'y toucher (coûts, production, etc.).

  • VB 6 est "out" depuis longtemps chez MS et pourtant, de "valeureux combattants" (que je soutiens financièrement, par un don professionnel annuel, depuis quelques mois) a décidé de poursuivre l'aventure avec un "VB 6.0-like" et pleinement compatible (codes et fonctionnement) : le produit est en bêta et je peux déjà commencer à reprendre des applications (tout n'est pas implémenté mais ça avance à grands pas) et la promesse d'accéder à une version "entreprise" approche à grand pas.

Ces applications, pour beaucoup d'entre-elles, sont en production depuis des décennies, voire des lustres et il faut les maintenir, faire des corrections, les interfacer avec d'autres systèmes, les migrer (dans des versions supérieures) ... Delphi est très présent dans des industries sensibles de défense ...

Pour l'instant, dans le monde du calcul massivement parallèle et dans les calculateurs HPC, le Fortran est le langage de base (et je sais de quoi je parle par expérience, pour avoir presté sur des développements Fortran pour le support L3, pour des équipementiers du HPC, comme Fujitsu, Hewlett-Packard, pour Intel et ST Micro pour des problématiques de temps réel "dur" ...etc.

Les statistiques, les chiffres et les % de qui utilise quoi .... en toute franchise, ça me passe "par-dessus" et je n'en tiens absolument pas compte.

Ce que je sais par contre, c'est ma réalité des terrains de chasses que j'exploite tous les jours et aussi longtemps qu'il me sera permis de le faire et cela fait déjà plus + de 40 années.

Vous pouvez penser ce que bon vous semble ... mais je ne connais pas de baisse d'activités, bien au contraire, j'en arrive même à avoir du débordement.

Mais comme les goûts et les couleurs varient en fonction des individus ...

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 9 octobre 2024 14:17

Bonjour à toutes et à tous,

Je vais me "commenter" moi-même : chacun a le droit de penser ce qu'il veut et c'est tant mieux (les goûts et les couleurs ...).

Pour ce mois d'Octobre 2024, l'index "Tiobe" (certains diront que ce n'est pas une "référence" ...) nous montre que le podium est le suivant :

1 : Python => 2 : C++ => 3 : Java => 4 : C => 5 : => C# => 6 : JavaScript => 7 : Visual Basic => 8 : Go => 9 : Fortran => 10 : Delphi

C'est en partie ce que je constate au quotidien, sur mes terrains de chasses et de jeux, au contact des industriels et de ceux qui n'en sont pas, et même si certains pensent qu'il y a des "niches", une partie de mes activités consiste justement à ce que lesdites "niches ne tombent pas sur les pauvres chiens" (et cela n'est ni de la "risquophobie", ni du manque de réalisme) et je suis toujours au 21ème siècle, bien que j'apprécie régulièrement les allers-retours temporels.

Pour la petite anecdote : certains cassent leurs tirelires pour s'acheter une motocyclette de type "Harley Davidson" et d'autres cassent leurs tirelires pour acquérir ... un "Business Deprecated Mainframe" (plus dans le catalogue commercial, mais toujours et longtemps maintenu par IBM Corp) ... pour faire de l'hébergement (hosting) de système d'information (bien calculé, avec un rapport sécurité/qualité/prix inégalable, à moyen terme, il devient tout-à-fait rentable face à des quantités astronomiques de serveurs toujours aussi gros, volumineux, calorifiques et bruyants, qu'il faille toujours sans cesse upgrader et d'hyperviseurs aussi instables commercialement que bancals à la sécurité).

Actuellement, à ma connaissance (3 vérifiés), il y aurait 5 hébergeurs à avoir, pour le moment, "viré leur cuti" en passant sur des "Mainframes" équipés et/ou des "Minisystèmes" (style AS400/Power I/ Alpha /) et ceux qui ont fait ce choix il y a 4 ans maintenant, se "pourlèchent les babines" (il y en a d'ailleurs un en Loire-Atlantique).

Certains secteurs comme les assurances ont arrêté définitivement leurs "hosts" pour passer vers d'autres technologies plus "modernes" (cloud), mais cela n'est pas pareil, entre les baisses de régimes, les pannes, les temps de réponses monstrueux, les engorgements, la sécurité "inquiétante" et les coûts en CAPE/OPEX (certains ont pleuré durement de chaudes larmes) ... C'est joli sur le papier ... et ne pas oublier une "armée mexicaine" de petites mains à gros doigts pour faire fonctionner "tout le toutim". Ceux qui ont changé n'arrêtent depuis 4 ou 5 ans de m'envoyer des demandes de prestations de toutes sortes car ils "se sont noyés eux-mêmes" dans leurs lessiveuses et certains pensent même à revenir car c'était mieux avant.

En ce moment, pour les courageux (même ceux du 21ème siècle 😀 avec de vrais outils : du Cobol avec VSCode/Eclipse ou même avec Emacs), il y a du travail : Cobol, Fortran, Forth, Ada, les inséparables C/C++, du Prolog ... et même du Windev/Mobile ... que ce soit en migration, en virtualisation, en maintenance, en transformation, en cohabitation, en "nuages" ou en "planchers des vaches" ...

J'ai un backlog aussi avec du "Rust", du Python, du Perl, de l'Erlang, de l'Embedded, de l'architecture, de la sécurité ... (tout cela en versions anciennes et modernes) et je ne compte pas l'embarqué et autres affaires toutes aussi communes, plus quelques erzatzs d'autres langages et technologies d'informatiques industrielles, viennent s'y rajouter les blockchains et autres "IAs" et "LLMs".

J'ai même le Ministère de Travail et de l'Education Nationale qui ont validé ma proposition pour des formations nationales en Cobol, Fortran et Forth pour les industriels. Alors, avec ma "garde rapprochée", on se partage le boulot et lorsque l'on ne sait pas faire ou que l'on ne peut faire, alors on trouve des "personnes bien sous tous rapports" en apporteurs d'affaires.

Evidemment, il faut "aller au charbon", "mouiller la chemise", "suer et faire suer", "se prendre parfois un coup de bambou", éviter "d'avoir le melon", "faire l'âne pour avoir du son", "laisser penser certains que vous avez la vue basse", éviter de "se prendre pour Napoléon", sans pour autant "baisser son pantalon" et aller "à la fête du slip" ... et lorsque la journée a été bien remplie, comme les flibustiers/corsaires et autres pirates, on "écume" les différents sites (cela fonctionne aussi pour la confiture et celle des jours), connus et moins connus, pourvoyeurs d'annonces et de missions, à la recherche de "plaisirs simples" mais onctueux (une petite pierre précieuse + une autre et ainsi de suite, peut conduire à un véritable trésor ou à une leurre en caoutchouc ... "C'est le jeu ma pauvre Lucette") ....

Je reste confiant ... la kermesse continue et on n'est jamais sûr du contenu de l'enveloppe que l'on hésite à prendre ("si j'avais su, ... j'aurai pas venu" ou à l'inverse, "p'tain, c'est de la balle") et c'est ce qui rend notre métier attrayant, non ?

Bien cordialement,

Yanolezard.

Bonjour "Free-Worker-1273389",

Concernant les technologies Cobol & Co et les écosystèmes "Mainframe, Mini, Micro", il y en a beaucoup plus que vous ne le penseriez.

Les "éminents savants" avaient prédit leurs extinctions respectives il y a 40 ans ... leurs prédictions sont tombées à l'eau. A l'heure où les "anciens" vont partir en retraite bien méritée, ces mêmes systèmes vont continuer à perdurer, pendant encore de très .... longues années car i y a du travail en migrations de matériel/logiciel, en maintenance & migration d'applications, en réseaux et sécurité, en nouvelles "petites" applications, en formation, ... dans tous les secteurs d'activités (industries, tertiaire, commerce, banque & assurance, civil, défense .. j'en passe et des meilleures).

De plus, il faut sortir des mythes, du bureau des légendes/mystères et autres légendes urbaines : les systèmes matériels, les OS, les solutions logicielles, les AGL (Ateliers de Génie Logiciel) ... ont évolué dans le temps : on développe aussi bien en GNU Cobol, en Visual Cobol, avec des IDE genre VisualStudio, VisualStudioCode, Eclipse, Jetbrain, ... sous Linux, Windows, OS/400, Unix, MVS, zOS, avec des tas de SGBDRO (de DB2 à PostgreSQL) en passant par de l'interconnexion avec le cloud AWS, GCP, ou Azure, sur de l'IBM System i/Power i ou un serveur virtualisé ou un poste de travail sous Windows 10 ... et sait dialoguer avec un tas de frameworks modernes (du Web et pas que).

Je fais encore partie de cette "vieille" et jeune garde à la fois, pour faire découvrir d'autres facettes que le développement Web (où il y a des milliers de freelancers sans repas) et je continue à prester, sous différentes formes, et à former des "courageux".

Alors, non, le "Cobol" n'est pas une niche et représente bien un énorme ensembles d'écosystèmes ... il suffit juste d'être humble et de regarder dans la bonne direction.

Un petit index "Tiobe" : https://programmation.developpez.com/actu/357999/Entre-modernite-et-tradition-FORTRAN-et-COBOL-reintegrent-le-classement-de-TIOBE-sur-la-popularite-des-langages-de-programmation-un-retour-aux-sources-ou-un-frein-a-l-innovation/

Il remonte ... lentement mais sûrement ... Dans mes tribulations, pour 1 demande Java, j'ai 10 demandes Cobol ... Alors, non, je n'échangerais pas "mon Cobol" pour du Java.

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée 6 octobre 2024 18:30

Bonjour "Free-Worker-1273389",

Concernant les technologies Cobol & Co et les écosystèmes "Mainframe, Mini, Micro", il y en a beaucoup plus que vous ne le penseriez.

Les "éminents savants" avaient prédit leurs extinctions respectives il y a 40 ans ... leurs prédictions sont tombées à l'eau. A l'heure où les "anciens" vont partir en retraite bien méritée, ces mêmes systèmes vont continuer à perdurer, pendant encore de très .... longues années car i y a du travail en migrations de matériel/logiciel, en maintenance & migration d'applications, en réseaux et sécurité, en nouvelles "petites" applications, en formation, ... dans tous les secteurs d'activités (industries, tertiaire, commerce, banque & assurance, civil, défense .. j'en passe et des meilleures).

De plus, il faut sortir des mythes, du bureau des légendes/mystères et autres légendes urbaines : les systèmes matériels, les OS, les solutions logicielles, les AGL (Ateliers de Génie Logiciel) ... ont évolué dans le temps : on développe aussi bien en GNU Cobol, en Visual Cobol, avec des IDE genre VisualStudio, VisualStudioCode, Eclipse, Jetbrain, ... sous Linux, Windows, OS/400, Unix, MVS, zOS, avec des tas de SGBDRO (de DB2 à PostgreSQL) en passant par de l'interconnexion avec le cloud AWS, GCP, ou Azure, sur de l'IBM System i/Power i ou un serveur virtualisé ou un poste de travail sous Windows 10 ... et sait dialoguer avec un tas de frameworks modernes (du Web et pas que).

Je fais encore partie de cette "vieille" et jeune garde à la fois, pour faire découvrir d'autres facettes que le développement Web (où il y a des milliers de freelancers sans repas) et je continue à prester, sous différentes formes, et à former des "courageux".

Alors, non, le "Cobol" n'est pas une niche et représente bien un énorme ensembles d'écosystèmes ... il suffit juste d'être humble et de regarder dans la bonne direction.

Un petit index "Tiobe" : https://programmation.developpez.com/actu/357999/Entre-modernite-et-tradition-FORTRAN-et-COBOL-reintegrent-le-classement-de-TIOBE-sur-la-popularite-des-langages-de-programmation-un-retour-aux-sources-ou-un-frein-a-l-innovation/

Il remonte ... lentement mais sûrement ... Dans mes tribulations, pour 1 demande Java, j'ai 10 demandes Cobol ... Alors, non, je n'échangerais pas "mon Cobol" pour du Java.

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée 30 septembre 2024 11:08

Bonjour "momo78",

Bienvenu dans le monde merveilleux du "Freelancing" .... là où tout n'est pas presque permis.

L'éternelle question "Comment trouver des prospects/clients, en direct ou pas ?" revient et cela est bien naturel.

Eh oui : vous et nous, avons bien des "cordes à notre arc", car au-delà de réaliser une prestation, nous sommes les régisseurs, les publicitaires, scénaristes, metteurs en scène, vendeurs de billets et acteurs principaux, d'autres pièces de notre puzzle ...

Vous l'aurez compris : rechercher et attirer le spectateur n'est pas une mince affaire et si votre théâtre veut vivre et si vous voulez retenir vos acteurs (avec pas que de l'amour et de l'eau fraîche), il va falloir se "retrousser les manches".

Il y a quelques temps, j'avais indiqué différents moyens d'aller "à la pêche au client" et de "ferrer le rude poisson", sur un fil de ce forum.

Étant de bonne composition, votre "dévoué" se met à la tâche.

Il y a "grands comptes" et "grands comptes" : CAC 40 (par exemple) et les autres (nationaux)...

Même dans les TPI/TPE/PME/PMI, il y a des "grands comptes" car dominants sur leurs domaines et spécialités (je connais des TPI/PMI qui sont considérées telles que car référentes sur le marché, même au-delà des frontières).

Il y a plusieurs manières de procéder :

  • Le passage par l'intermédiaire (l'ancienne SSII, la nouvelle ESN, le Cabinet de Placement/Recrutement) : facilitations certaines et le client n'est pas le fruit de vos investigations.

  • Le passage par le "piston" (quel que soit l'instrument à vent ou le triptyque de l'élément moteur) : cela peut fonctionner ("j'ai un pote dont le cousin du frère de mon oncle bosse dans le cinéma .... sans savoir vraiment l'emploi occupé") ou bien "Ah ? Tu n'es pas sorti de l'équation "X" ou Supérieur", cela ne va pas être facile" .... Quelques intervenants de ce fil l'ont bien retraduit.

  • Le passage par "protection" (exemple : mon "gamin" cherche une mission : tu n'aurais pas cela dans ta besace ? dit-il à son manager préféré).

Le passage par "l'huile de coude" ou par "le charbon" ou par "le cambouis", tel un fidèle destrier ou bien le "Chevalier Bayard, sans peur et sans reproche" (Pour le sandwich du même nom, ce sera sans beurre et sans reproche ;-))

Sur un plan plus "client connu" :

  • Le référencement (point d'achoppement et polémiques diverses/variées) :

    • d'après mes tribulations, pérégrinations et expériences (cela n'engage que moi), j'ai toujours réussi, jusqu'à maintenant, à me faire "référencer", même si je sais pertinemment que cela est un "coup d'épée dans l'eau", j'insiste et à 99%, cela fonctionne (pratique de la guérilla communicative intelligente). Un jour ou l'autre, "on" aura besoin de mes compétences (même si c'est un grand groupe) et cela m'est déjà arrivé plusieurs fois, via "le réseau parallèle" (terme employé par certaines "big" structures, lorsqu'ils n'ont plus de solutions fiables et viables et qu'ils sont dans l'urgence et dans la "m...e").

Et si l'on veut appliquer les mêmes recherches sur des "moins grands comptes" (quoi que) :

Plusieurs solutions (il faut tout bien préparer et toujours avec plusieurs plans de rechange) :

  • les réseaux sociaux (traditionnels),

  • les réseaux professionnels (à Paris ou en province),

  • les Chambres de Commerce et d'Industrie (à Paris ou en province),

  • les Maisons du Commerce et de l'Artisanat (à Paris ou en province),

  • les Conseils Généraux / Régionaux,

  • les Organismes de Formation (pour celles/ceux qui sont formateurs),

  • les salons, colloques, séminaires professionnels (en PRÉSENTIEL, très important),

  • France-Travail (on y trouve des choses surprenantes),

Avec tout cela (certes, il faut éplucher, creuser l'information, "tirer le bon grain de l'ivraie" ...), vous disposez d'une mine d'informations :

  • bassin économique, types et entreprises (TPI/TPE/PMI/PME/ETI ....), ressources, métiers, savoir-faire, investissements, projets à venir, main-d'oeuvre, etc ....

    Les aprioris, mythes et légendes ont souvent la "dent dure" et souvent, il est nécessaire de "crever l'abcès". Les organisations de type "TPI/TPE/PMI/PME/ETI" sont beaucoup plus ouvertes que l'on ne pourrait le penser. Certes, il faut être "adaptatif" (différent d'être adaptable) et proposer des services, dans un langage compréhensible par cette population, qu'elle soit "privé" (SARL Toto) ou "public" (Mairie du 50ème Rugissant).

  • Il peut arriver, parfois, de devoir "donner de sa personne (en tout bien, tout honneur), à savoir prester un "jour gratuit" (attention, le "marsupilami" va entrer en action), pour montrer que vous êtes de bonne composition ou pour prouver que ce que vous avancez est vrai .... dans le monde de la formation, cela arrive aussi (après c'est à chacun de voir).

  • Il est vrai aussi que l'on peut avoir des missions "partagées" entre clients de ces organisations (selon spécialités) car contrairement aux grandes nationales ou internationales, le "bouche-à-oreille de druide" va "bon train' et votre réputation de sérieux, d'efficacité, d'engagement fait très souvent la différence.

  • Il peut aussi que ce type d'organisation vous demande de contractualiser par un intermédiaire (histoire de se rassurer sur le plan juridique), et de par mon expérience et mes secteurs d'activités, les TJ sont plutôt agréables.

  • Dernier point important : les ETIs sont plus souvent adeptes de la régie, tandis que les autres sont plus "forfaitaires", donc il faut savoir manier les 2 contrats (ce qui n'est pas évident pour tout le monde, d'où bien apprendre à connaître le terrain et les pratiques) et je dirais, que si vous n'êtes pas habitué au "forfait", faites-vous accompagner par un "sachant" (avocat "qui ne se mange pas", expert-comptable, "pote qui s'y connaît et pas que dans le cinéma", qui a déjà pratiqué), ce ne sera que plus utile et vous évitera des déconvenues.

    Si cela a pu contribué à éclairer quelques lanternes,

    Bien à vous,

    Yanolezard.

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Réponse postée 13 septembre 2024 18:39

Bonjour " Mr Sky ",

Le monde de la data d'aujourd'hui requiert quand même un tantinet de connaissances/compétences/expériences.

Ce monde est subdivisé en écosystèmes : "Big Data", "Business Intelligence", "Dashboarding & Reporting", "Datamining" et tout le toutim qui sert de béquille à l'Intelligence Artificielle : Machine Learning, Deep Learning, .... (la liste n'est pas exhaustive, car il faudrait ajouter tous les métiers gravitant autour de la fameuse "donnée" et nous ne sommes pas "sortis de l'auberge").

1- Parmi les 3 métiers cités, pensez-vous que le DATA Analyst est le mieux placé pour répondre à ces critères (temps d'apprentissage raisonnable, métier en forte demande :

Si vous n'êtes pas une "bête de somme" spécialiste des mathématiques appliquées, des statistiques, des probabilités et autres tortures du même acabit, passez le chemin du "DataScientist" ... actuellement, les "profils" (que je connais ou que je rencontre) sont plutôt d'anciens actuaires ou d'anciens statisticiens de l'INSEE qui cherchent à "ouvrir leurs oeillères en contreplaqué de 40 mm". Les jeunes à la "tête bien pleine" sont friands de ce métier (ils voient des chiffres partout et cela les fait "ban..r" voire "orgasmer" .... chacun son truc). Les goûts et les couleurs ...

Le métier de "Data Analyst" nécessite quand même d'avoir un bon bagage technique et fonctionnel. Même débutant, il faut bien maîtriser les fondamentaux et les outillages. En terme de "besoins", de mon expérience (qui n'engage que moi, en province), je vois plus de demandes d'Analyst avec à minima entre 2 à 5 ans d'expérience. Attention tout de même, ce sont des métiers à l'origine destiné au marketing, finances, bourse, et pour réussir à percer, sélectionner un secteur d'activité (exemple : la pharmaceutique ou l'agroalimentaire) à étudier. C'est toujours mieux de "connaître" un environnement et un marché, en complément. D'un point de vue "recruteur/placeur/client", le regard est assez différent.

2- Que pensez-vous de la formation de l'école (datascientest) qui existe en bootcamp de 4 mois ?

Je vais remettre la même réponse :

  • Les "bootcamp" peuvent être intéressants, si l'on maîtrise/expertise déjà le développement, avec au moins 1 langage de base (R ou Python ou Scala,) et que l'on possède d'excellentes bases scientifiques que j'ai citées plus haut dans le fil.

  • Les "bootcamps" : je les assimile plus à des "hackatons" sachant que souvent (dans ce domaine), la population des "bootcampeurs" est quand même assez relevées techniquement ... ils ne viennent pas pour cueillir des champignons.

  • Les formations "pures et dures" prennent plus de temps (pas forcément plus coûteuses en brouzoufs", en temps, c'est différent).

  • A ne pas négliger, les formations/certifications des AWS, GCP et autres Azure : très demandées, existent en e-learning, en Blending-Learning, en centre spécialisés, ... C'est une "machine à brouzoufs" (tous les "x" mois/années, il faut renouveler et crac, sortie de la CB.) - Bien se renseigner, mais ce peut-être gagnant.

Je n'ai pas d'avis sur "la formation de l'école (datascientest) qui existe en bootcamp de 4 mois" car je ne les connais pas.

  • Le mieux serait de contacter des personnes qui ont suivi cette formation.

3- Je suis particulièrement attaché au Full Remote, est ce que cette pratique est répandue et courante pour ce métier ? si oui, est ce lier à l'expérience et si oui à partir de quel niveau d'expérience peut-on trouver ces types de missions ?

Je vais vous faire une réponde de "Normand" (p'têt ben qu'oui, p'têt ben q'non) ... chaque organisation a ses méthodes de fonctionnements. Dans tous les cas, on a régulièrement des jours en télétravail.

Si vous voulez du vrai "Full Remote", il faudra plutôt aller voir pour des missions à vocation internationale, car en France, avec le télétravail qui recule progressivement, le "Full Remote" se transforme "Remote peau de chagrin".

Un exemple, parmi tant d'autres : ce matin, chez l'un de mes clients, le "métier" débarque avec une "boule d'idées", veut une prédiction/prévision réaliste et tout cela, en moins de 2 heures en pré-production pour montrer le "business aux membres du COMEX" (équipe "commando": 1 data engineer, 1 data analyst, 1 data scientist, 1 Chef de Projet, 1 DevOps) et un représentant métier .... ça "fourmille de partout", ça discute, ça croise, recroise, décroise ... et à l'heure prévue : résultats positifs .... Le Comex ? Il est content ... et les freelance (3 dans l'équipe en présentiel) peuvent prendre d'autres sujets en backlog.

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes,

Bien à vous,

Yanolezard.

Réponse postée 12 septembre 2024 15:56

Bonjour "Free-Worker-843053 "

Je vois régulièrement (juste un constat) que de nombreux doctorants ou docteurs se posent la question, une fois la précieuse thèse obtenue et le diplôme en poche "... et maintenant, je fais quoi ? " ... A croire que le Doctorat ne fait pas recette (mais si on regarde dans le rétroviseur, ce n'était pas mieux hier ... Il suffit de se souvenir des années 2000 où il y a eu une "déferlante" en chimie, secteur ultra-bouché à l'époque, et où l'on a pu observer des reconversions à la "pelle allemande" qui a fait le business bien juteux des SSII de l'époque (que je me garderais bien de nommer et qui, pour certaines d'entre-elles, ont mangé trop vite tout leur "pain blanc".

J'ai un ami, qui comme vous, a fait une thèse dans le domaine de l'astrophysique nucléaire et qui se retrouve "le bec dans l'eau" car il n'y a pas de postes vacants à pourvoir (dans ce secteur, 1 poste vacant tous les 4 à 6 ans, du moins en France) et de plus, il n'est pas tout seul et j'ai un voisin qui a aussi fait une thèse en physique dans le domaine du stockage de l'énergie électromagnétique ... et là même conclusion, car le sujet est trop avant-gardiste tout en étant "confidentiel" aux dires de certains lobbies.

L'un s'est reconverti dans le monde "manuel" (il est devenu boulanger/pâtissier/confiseur après 3 ans d'études et a ouvert sa boulangerie à Londres), l'autre s'est reconverti dans l'informatique "antique" : il s'est formé au Mainframe (zOS) et AS/400 (Power i) et au langage de programmation Cobol via l'école IBM (cycle de reconversion étalé sur plusieurs mois) et maintenant, il est épanoui dans ce qu'il fait.

Si le monde du développement vous attire, hormis le web, vous pouvez jeter "oeil" ou les 2, vers les domaines de l'Embarqué (secteurs Aéronautique, Défense, Spatial, Santé) ou vers la CyberSécurité (autant de métiers que d'espèces de 🍄‍🟫 ) ou bien l'Intelligence Artificielle ou la Data.

Tout cela pour dire qu'il y a de multiples chemins de reconversions et en choisir un à un instant "t" ne sera pas forcément celui-là. Cependant, avec votre bagage (et je subodore que vous êtes encore bien "jeune"), si un chemin ne convient pas, il sera toujours temps d'en emprunter un autre et cela montre également qu'un "Docteur" peut, avec de la volonté et du bon sens, faire autre chose.

En espérant avoir contribué à éclairer quelques-unes de vos lanternes, dans ce clair-obscur d'approche.

Bien à vous,

Yanolezard

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Réponse postée 11 septembre 2024 09:46

Bonjour "Free-Worker-115544",

Effectivement, comme vient de le préciser l'éminent et patenté "@Yoshifree", la solution "Snowflake" n'est pas qu'un outil de datavisualisation, ses fonctionnalités sont assez étendues (et je connais "personnellement" la manière dont a été créé ce produit, avec les enjeux technologiques et économiques associés).

N'étant pas un spécialiste du secteur bancaire (même si je n'y ai fait que trois incursions à ce jour, leurs valeurs éthiques n'étant pas les miennes), je ne serais pas le bon "baron-maître" pour les tendances BI atmosphériques.

Il y a des solutions "confidentielles" en dataviz assez sympathiques qui pointent le bout de leur museau, dont une qui prend de l'ampleur : "Python/Shiny" (bien entendu le "serpent bicolore de rocher est roi" et mieux vaut le maîtriser pour éviter qu'il n'avale toutes vos données. 😅 J'ai vu cette solution en oeuvre à plusieurs reprises chez différents clients et ce n'est pas complexe pour la mettre en oeuvre (https://shiny.posit.co/py/)

Bien cordialement,

Yanolezard

SnowFlake est plus un environnement sur lequel on peut faire beaucoup de chose, mais le langage SQL est la base pour s'en sortir un minimum, sinon point de salut alors que PowerBI qui est un outil Dataviz, théroriquement est plus user friendly si la donnée est bien préparée en amont.

Tout dépend de votre appétence à la technique ... au vu de votre profil, je conseillerai plutôt PowerBi effectivement, surtout qu"en plus que vous avez j'imagine une expertise sur le domaine banque assurance.

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Réponse postée 11 septembre 2024 09:33

Bonjour " Steph0218 ",

Chaque personne est unique, chaque chemin professionnel aussi et ce n'est pas à moi de vous dire quelle voie emprunter, d'autant plus que vous ne dites rien sur votre parcours, sur vos aspirations ou sur vos intérêts ou si ce n'est pour un motif purement veinal (je ne fais point de jugement, je ne suis pas habilité pour cela).

Comme vous l'écrivez, le marché de la data est une niche, mais ce n'est pas nouveau : cela fait des années que l'on en parle, que l'on vulgarise, que l'on sensibilise ... l'actualité mondiale, au travers des affaires sécurité, nous rappelle à l'ordre que cet "or " commence à attirer beaucoup trop de monde, notamment la piraterie, la flibusterie, la filouterie, ... bref, pas que du "beau" monde, mais plutôt des aigrefins attirés par la couleur et le sentiment de puissance/jouissance/orgasme du "pognon".

La "data" est un écosystème très étendu et très vaste (il y a d'ailleurs d'éminents spécialistes sur ce forum qui pourraient en parler certainement mieux que moi, étant donné que je ne suis qu'une humble petite poussière, à ma juste mesure, dans ce monde étendu et mes expériences, compétences et connaissances peuvent certainement participer peu ou prou au partage et au savoir de la communauté).

Je constate, de par votre écrit, que votre "coeur balance" entre des métiers (certes, dont la racine principale conductrice est la donnée) qui, pour moi, sont bien distincts, à la fois en termes technologiques, techniques et de responsabilités différentes.

Pour éclaircir la situation, revoyons quelques points :

  • Le "data scientist" est missionné par un service ou la direction de son entreprise pour collecter, organiser et exploiter des données (aussi appelées big data à cause de leur volumétrie grandissante, de l'ordre du Zo actuellement). Les entreprises ont désormais de grands volumes de données à disposition. Le "data scientist" les " fait parler " afin d'apporter des éléments d'aide à la décision.

Le travail (souvent bien ardu, même pour une "tête bien faite") commence par l'analyse de la demande : exploiter des données industrielles ou pas, pour une meilleure productivité, améliorer la qualité ou faire de la maintenance préventive en analysant les pannes... Souvent, le data scientist travaille sur les données de clients ou des données publiques à des fins marketing, entre autres. Il récupère les plus pertinentes sur des serveurs, des fichiers, des bases de données, etc. et les " nettoie ", pour les mettre au bon format ou éliminer celles qui sont inexploitables.

Le plus important du travail vient ensuite de la modélisation et de la création d'algorithmes pour croiser et analyser les données (langages courants : SAS, R, Python, Scala). Des essais et ajustements sont nécessaires durant cette phase. La restitution des résultats se fait sous forme de rapports, de graphes, de tableaux ou d'applications.

Le "data scientist" est chargé de l'ensemble de ces tâches dans lesquelles il est aidé par d'autres professionnels des datas, de graphistes, etc.

Cette "discipline" requiert une/des formations et compétences pointues, notamment en analyse/développement d'algorithmes (tous aussi tordus les uns que les autres ... quoi que ...ça dépend ... ça dépasse 😄) mais aussi, en modèles (très) avancés et appliqués, des mathématiques scientifiques : matrices, dérivées, intégrales, ..., financières, statistiques : moyenne, vecteurs, valeurs propres, etc, probabilités et autres joyeusetés du même acabit, en marketing. . Pour mettre un poil d'humour, c'est le gars à qui vous dites "Salut, ça va ?" et qui te répond, 2 jours plus tard "Et toi ?).

Une maîtrise des outils, globalement, tels qu' Apache Hadoop, Spark, Map Reduce, bases de données NoSQL, langage de programmation SAS, R, Python... Le data scientist doit maîtriser de nombreux programmes informatiques pour mener à bien la collecte, l'analyse et la restitution des données. ... C'est un métier de curieux, de passionnés, d'apprentis-sorciers. J'en connais qui, pour "s'envoyer en l'air", préfère les algo/données à tout autre sandwich au gruyère ou autres plaisirs non divulgables.

Quelques outils ....

Langages de programmation :

  • Python : avec les bibliothèques "pandas", "NumPy," "scikit-learn," "TensorFlow", "Keras", "pyTorch", "StatsModels", etc.

  • : avec les packages "dplyr", "ggplot2", "caret", etc.

  • SQL  

  • Scala

  • Outils et environnements de développement : Jupyter Notebooks, RStudio, VS Code

  • Outils de visualisation de données : Matplotlib , Seaborn, Ggplot2 , Tableau, Power BI  

  • Bases de données : MySQL, PostgreSQL, MongoDB, Apache Hadoop, Apache Spark

  • Outils de gestion et de versioning de code : Git, GitHub / GitLab, Bitbucket  

  • Socles et Outils de cloud computing : AWS (Amazon Web Services), Google cloud platform (GCP), Microsoft Azure  et les applications orientés "datas" pour chacun des fournisseurs de cloud.

  • Outils de traitement et de nettoyage de données : Excel, OpenRefine  

  • Le "data analyst" est généralement rattaché à la direction des systèmes d'information (DSI) d'une entreprise, le "Data Analyst" (Analyste de Données, Data Manager, Data Miner) est responsable du recueil et de l’analyse de la donnée de l’entreprise. Ces données peuvent être liées aux clients (CRM), aux produits et à leurs performances, ou même aux concurrents : c'est un métier plutôt orienté décisionnel dont le langage SQL est le plus demandé.

    Le Data Analyst a pour mission d'exploiter et interpréter les données pour en dégager des observations business utiles. Ainsi, les rapports fournis permettent d'orienter les prises de décision du management et améliorer les performances et les stratégies marketing, par exemple.

    Quelques "facettes" :

    • Recueil et extraction des sources de données pertinentes et de qualité qu’il traduit ensuite en données statistiques ; 

    • Traitement, exploitation et intégration des données dans un data warehouse (entrepôt de données) ; 

    • Création de "dashboards", mise en place de KPIs, reporting des performances pour donner une vision cohérente des résultats aux différentes équipes ;

    • Mise en place de process/requêtes et automatisation ;

    • Production d’analyses métiers et de recommandations aux managers ;

    • Gestion des outils d’analyses pour que les décideurs internes et les clients puissent suivre l’évolution de leurs produits ;

    • Veille technologique des nouveaux outils visant à l’améliorer l’analyse des données.

Les outils principaux à maîtriser (liste non exhaustive et non à jour, étant donné l'évolutivité des technologies et de l'actualité) :

  • Langages de programmation : Python, R, SQL 

  • Outils de visualisation de données : Tableau, Power BI, matplotlib, seaborn, Microsoft Power BI

  • Bases de données : MySQL, PostgreSQL, MongoDB 

  • Outils de manipulation de données : Excel, pandas (pour Python)

  • Connaissances en Big Data : Hadoop, Spark (facultatif mais apprécié)​ ...

Tiens, il semblerait qu'entre "Data Analyst" et "Data Scientist", votre "coeur" balance et pourtant :

  • Le Data analyst se spécialise principalement dans l'analyse descriptive et la visualisation des données, en se basant sur des données historiques pour orienter les décisions.

  • Le Data scientist se concentre sur la modélisation prédictive et la création d'algorithmes avancés, afin d'extraire des informations et de faire des prévisions à partir de données complexes.

... Rajoutons l'anglais quasi obligatoire (TOIEC élevé) et des "soft skills" longs comme un bras, pour les "mal communiquants" 😁.

Le "data engineer" : à l'instar de l'architecte big dataest un "ingénieur" spécialisé dans la conception de solutions de récupération et d’exploitation de gros volumes de données ou big data.

  • Expert en identification de données, il est garant de la pertinence et de la qualité des données ainsi que du respect des bonnes pratiques et de la fluidité des processus.

  • Responsable de l’infrastructure des données, il est chargé des processus de collecte, de stockage et de modélisation des données pour que celles-ci soient faciles d‘accès et prêtes à l’analyse par les data scientists et les data analysts.

  • Il travaille en étroite relation avec l'architecte big data qui lui est plus orienté sur la conception de solutions. 

  • Le "data engineer" automatise l’acquisition de données provenant de différentes sources (création des pipelines d’acquisition), les collecte et les agrège dans une data warehouse (base de données relationnelle) sur serveur ou sur le cloud (test d’intégration, mise en place et maintenance des outils d’automatisation) et gère les bases de données de stockage.

  • Son rôle est ensuite de nettoyer, de consolider et de structurer ces données à l’aide d’outils et d’algorithmes (création de tableaux de bord, intégration de modèles statistiques).

  • Le data engineer doit posséder un large éventail de compétences techniques (langages de développement IA, requêtes, base de données, stockage, analyse de données, cloud computing, Machine Learning, Deep Learning, IA, DevOps..).

  • Pour l’industrialisation des modèles de machine learning, il doit avoir des connaissances en statistiques et mathématiques.

Face à l’explosion du big data et notamment des technologies comme l’Iot (Internet of Things) et l’IA, le data engineer est un profil très recherché.

Avec l'arrivée des "IA" et autres joyeusetés du moment (NLP, ML, DL, Programmation Neuronale, Quantique, ...), ces métiers devront en permanence être à jour.

Concernant les formations, il y a "à boire et à manger", le "gratuit" ne l'est pas forcément et n'est pas toujours, loin s'en faut, signe ou gage de qualité.

Tout dépend des personnes, des objectifs, de la qualité, du sérieux, du professionnalisme, du suivi, .... Quelques exemples (par expériences) :

Mieux vaut privilégier :

  • Certificat de formation délivré par l'Ecole des Mines Paris | PSL

  • Bloc de compétences de niveau 7 (bac +5) enregistré au RNCP et reconnu par l'Etat.

  • Préparation et passage des certifications des "gros" pour le domaine "data" : AWS, GCP, AZURE

Chacun sa vie, chacun ses financements : pas de recette magique (à moins que les éminents spécialistes patentés de ce forum en possèdent)

De par mes expériences, tribulations et autres pérégrinations :

  • Les "bootcamp" peuvent être intéressants, si l'on maîtrise/expertise déjà le développement, avec au moins 1 langage de base (R ou Python ou Scala,) et que l'on possède d'excellentes bases scientifiques que j'ai citées plus haut dans le fil.

  • Les formations "pures et dures" prennent plus de temps (pas forcément plus coûteuses en brouzoufs", en temps, c'est différent).

  • A ne pas négliger, les formations/certifications des AWS, GCP et autres Azure : très demandées, existent en e-learning, en Blending-Learning, en centre spécialisés, ... C'est une "machine à brouzoufs" (tous les "x" mois/années, il faut renouveler et crac, sortie de la CB.) - Bien se renseigner, mais ce peut-être gagnant.

    Si d'autres éminents spécialistes veulent compléter, qu'à cela ne tienne.

    En attendant, j'espère qu'à travers cette modeste contribution, j'ai contribué à éclairer quelques-unes de vos lanternes, sur ce chemin lumineux, si ce n'est brillant, de votre (re)quête sur l'écosystème de la Data.

    Bien cordialement,

    Yanolezard.


Forum : IA
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Réponse postée 30 juillet 2024 14:24

Bonjour à toutes et à tous,

L'IA ou les IAs sont en vogue en ce moment et commencent à prendre beaucoup (trop) de place dans nos activités ... En discutant, avec quelques connaissances, entre 2 rondelles nature de concombres épineux, de l'IA et de ses bienfaits et de ses travers, nous nous sommes demandés si l'IA/IAs seraient de bons copains/copines pour le référencement "SEO" ...

Entre les rondelles de concombres, les bâtonnets de carottes, les gaspachos de betteraves et les marmelades de cornichons et de câpres, nous n'avons pas pu "trancher" mais on a essayé de "troncher". Bon appétit.

Le référencement naturel ou SEO (pour Search Engine Optimization) est aujourd’hui incontestablement un élément clé pour rendre une meilleure visibilité lde toute entreprise présente et qui se respecte sur internet (moteurs de recherche, trafic, etc.)

Le SEO se définirait comme un ensemble de techniques visant à optimiser la visibilité d’un site web en améliorant son classement dans les pages de résultats des moteurs de recherche (plus de trafic, plus de gagner en crédibilité en ligne, plus de visibilité globale.

Je n'apprendrais rien aux spécialistes en la matière quant aux :

  • SEO On-site : tous les éléments présents directement sur le site internet => qualité du contenu, pertinence et utilité, optimisation des balises méta des pages, bonne structuration du contenu (titres et sous-titres) et pertinence des URL.

  • SEO Off-site : tout ce qui participe au bon référencement du site web sans pour autant en faire partie intégrante (back-links, promotion de contenu sur les réseaux sociaux, relations publiques numériques, influenceurs, sites web) permettant de rediriger du trafic vers le site.

Avec de l'IA :

  • Optimiser des balises méta sur un site comportant un très grand nombre de pages ( générer un titre méta et une méta description optimisés selon les données en temps réel permettant d’atteindre le meilleur CTR (taux de clics) possible.

  • Images, issues d'un prompt, avec des IA génératives d’images. Ces IA permettent, à partir d’un prompt de générer des éléments de qualité bien souvent négligé en SEO (rapidité de production des images, qualité, personnalisables, descriptions alternatives).

  • Tableaux de bord analytiques à l’entreprise quant aux effets des dernières modification SEO (trafic, référencement et points à améliorer en se basant sur les tendances émergentes ou actuelles en matière de SEO)

... Hélas, à mon goût, tout est loin d'être rose et magique ... et je ne suis certainement pas le seul à le penser ou à l'avoir testé réellement en production.

L'IA n'étant que le reflet de l'homme, l'on s'attend à des limites (nobody is perfect!)

Limites et des risques (dont il faut être conscient lorsque l'IA est utilisée) :

  • Contenu généré : produit rapidement, parfois de faible qualité (texte pauvre en contenu, pas assez en profondeur, aucune originalité).

  • Infaillibilité : se tromper (un pachyderme, ça trompe énormément !!), mauvaises interprétations des informations, données obsolètes, erronées, pas de cohérence, pas de justesse des productions, score dr'autorité en baisse ou en berne.

Pour autant, les "majors" comme les "minors" se posent des questions et ne sont pas toujours très clairs sur la question ... Examinons la position de l'ogre bien connu :

"Mountain View" n’a pas vraiment détaillé l’utilisation de contenu IA sur les sites (algorithme, référencement), il a réaffirmé l’importance de ses directives de qualité et son concept "E-E-A-T" (Expertise, Experience, Authoritativeness, Trustworthiness).

  • Expertise : connaissances & compétences nécessaires pour traiter le sujet au top.

  • Expérience : possède une expérience personnelle directe en la matière.

  • Autorité : reconnu comme une référence dans son domaine.

  • Fiabilité : publie des informations fiables, pertinentes et objectives,

  • Sécurité : le site web doit être sécurisé.

D'où, pour éviter les malentendus (pénalités, mauvais référencements), il est essentiel de s’assurer du bon respect de ces directives, afin que le site soit visible dans les principaux moteurs de recherche :

  • Un contrôle humain du contenu ainsi produit semble indispensable afin de pouvoir le corriger, le modifier et l’améliorer le cas échéant.

  • L’IA ne doit donc pas remplacer le travail de l’Homme en SEO mais plutôt l’accompagner, être utilisée comme un outil d’assistance afin de générer des idées, des ébauches et optimiser le contenu.

Et vous, Chères et Chers spécialistes, qu'en pensez-vous ?

Bien à vous, toutes et tous,

Yanolezard.

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Réponse postée 30 juillet 2024 13:19

Bonjour "Free-Worker-785713 ",

En tant qu'ancien formateur certifié et dessinateur-projeteur diplômé dans le domaine, je me permets d'apporter ces petites corrections quant aux noms des solutions utilisées pour la DAO (Dessin Assisté par Ordinateur) : Autocad / Archicad (et non Autocade et Archicade).

Points d'attention (situations déjà arrivées et qui ont parfois pris des mauvaises tournures, avec pour deux d'entre-elles, des "oranges et du chocolat" pendant 2,5 ans et une forte amende, pour exercice illégal de la profession).

Dessiner des plans de bâtiments ? bâtiment agricole, de stockage/logistique, industriel, antisismique, ??) en 2D/3D nécessite des connaissances et des compétences avérées et pointues, dans beaucoup de domaines (fondation, bâti, structure, ouvertures, charpente, isolation, matériaux, aménagement ... et des techniques, spécificités sur les déformations et structures des matériaux (si un avion de chasse franchit le mur du son), j'en passe et des meilleurs : une erreur étant vite arrivée, avez-vous pensé à prendre une assurance qui vous couvre au cas où la "niche tombe sur le chien" ?

Quant aux moyens de trouver une mission dans ce domaine, plusieurs pistes :

  • Les sociétés intérimaires (elles ont souvent des demandes - en tous cas dans les régions Ouest que je fréquente),

  • Les CCI : Chambre de Commerce et d'Industrie,

  • Les Maisons du Commerce et de l'Artisanat,

  • Ce site : quelques missions,

  • Autres sites : fiverr (attention : il y a "à boire et à manger" et bien lire les conditions générales),

Pour ma modeste contribution,

Bien cordialement,

Yanolezard

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Réponse postée 29 juillet 2024 10:07

@Droopyann : pas un "petit Up" mais pléthore ou légion de petits "Up" .... pendant les estivales car la fréquentation de notre cher site en cette période n'est pas au top.

Yanolezard

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Réponse postée 29 juillet 2024 09:18

Bonjour "Free-Worker-839792",

Si il y a une chose que "Nous", les Travailleuses et Travailleurs à façon, les Vacataires, les Indépendant(e)s, les Freelanceuses et les Freelanceurs, détestons, ou du moins, n'aimons pas plus que cela, c'est bien la prospection commerciale.

Par le passé, j'ai été "Commercial en porte-à-porte" (un métier très difficile et parfois dangereux, quand vous êtes accueillis avec un chien-loup féroce qui n'a pas mangé depuis 3 jours ou en guise de bienvenue, on vous accueille avec une pétoire à canon scié ou en tromblon), tout est dans l'art de "désamorcer l'atmosphère" pour réaliser l'approche, l'argumentaire, la vente et la conclusion ... pas évident lorsque vous êtes jeunes et sans réelles expériences ... puis "VRP" (Vendeur-Représentant de Commerce Multi-Cartes : de la disquette à la bimbeloterie, en passant les produits de soudure et la lingerie féminine.) ... tout est prêt, on vous prépare votre vraie "roadmap" (feuille de route) et "roulez jeunesse".

Sauf que lorsque vous êtes seul dans votre "galère" à 2, 3 ou 4 roues, en ligne, ou sous l'eau, ce n'est pas la même musique et la partition que vous êtes en train d'écrire et de composer, finit par avoir une drôle de "trombine" ou plutôt des "anicroches" que des croches noires et blanches.

Par la suite, j'ai expérimenté de nombreuses techniques, participé à des formations commerciales, écouté pléthore de conférences et de séminaires, même été jusqu'à être un "binôme" dans une équipe de "free" en France ... rien de bien concluant ... Se vendre (toutes proportions gardées, nous ne sommes pas des péripatéticien(ne)s, n'est pas chose aisée et vendre encore moins : nos métiers et expertises, ça on sait faire et c'est pour cela que l'on nous demande.

A force de persévérance, d'abnégation, de courage, de remise en cause, d'humilité, de prendre "des coups dans la tronche ou dans la trompe", d'essayer de ranger ton "nombril" ou ton orgueil "ailleurs que dans ta poche", on arrive à entrevoir une petite lumière ...

Les réseaux sociaux (encore faut-il bien savoir les choisir : dans ce domaine, il y en a des "vertes et des pas mures", des "pas jolis-jolis", des "glauques et des opaques, des "3 pelés et 2 tondus", des "pompeux" et des "maigrelets", de la "flambe" à la "misère") ... "Chat échaudé craint l'eau froide".

Tout cela pour dire que j'ai apprécié un ouvrage sympathique à lire, avec plein de conseils, d'astuces, non "prise de tête", immédiatement applicables, avec de l'humour, qui "casse les codes", qui vous fait oublier que même les "pros" du commerce oublient des choses. Il comporte aussi des petites séquences vidéos intéressantes, bien tournées : son titre "La prospection plaisir" (ou le manuel de prospection pour les indépendants sans fibre commerciale) => https://destinationclients.fr/la-prospection-plaisir-livre/ (l'auteur a aussi une structure commerciale : "destinationclients.fr") .... c'est rare de trouver ce genre de "pépite", surtout que c'est accessible à toutes et tous, il y a des formations, des livres blancs, un blog, et une équipe de "Ch'tis", des Vrai(e)s et qui kiffent le Stade Rennais.

Pour ma modeste contribution.

Bien à vous,

Yanolezard

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Réponse postée 25 juillet 2024 18:52

Bonjour à toutes et à tous,

La "bonne blague de la matinée" ! Je reçois ce matin un appel d'une ESN lointaine d'IDF (que je ne connais ni d'Eve ni d'Adam, mais qui a trouvé mon CV quelque part sur un "job board" - sans se rappeler où la personne l'a réellement trouvé !!!!!), pour me proposer une mission de "RSSI" (mais avec 3 intermédiaires ... ça commence mal .... pour faire court, cette personne me "bassine" avec le discours du "lapin de 6 semaines" ou du "perdreau de la dernière année", me déblatère une litanie de technologies et de "soft skills" à maîtriser ... et au vu du contenu, j'ai rapidement compris quel était le donneur d'ordre et où allait se situer l'affaire et ô surprise, elle n'a pas aimé que je lui dise qui était le client (que je connais parfaitement bien), mais qui depuis quelques années, s'est accoquiné avec des "majors ESN" (dont une qui est en très forte instabilité financière) et une autre qui ne vaut guère mieux ... bref. ... lois des marchés européens obligent, il est "coincé". Et donc, ces "majors ESN" (qui n'ont pas es ressources compétentes en la matière sur certains sujets ... font appel à d'autres rabatteurs, qui délèguent à d'autres fileyeurs, puis à des "bourricheurs" pour récupérer le poisson ou du moins ce qu'il en reste.

Tout cela pour la question qui tue : "Vous me confirmez que vous connaissez la sécurité et la cyber-sûreté et les prérequis obligatoires demandés ?" (je vous fais grâce volontiers de la liste absurde dictée) ... C'est mon métier depuis bien des années ... Cette personne m'annonce, brut de décoffrage, qu'elle ne sait pas ce qu'est un "RSSI", ce qu'il fait et à quoi ça correspond .... Comment dire ...

Prenant mon courage à 2 mains, je lui ai expliqué simplement et gentiment, avec beaucoup de tact, de doigté et de délicatesse, ce que recouvre l'une de mes activités et j'ai fini par comprendre que la personne était en reconversion professionnelle (à bas coût), que son "regional business manager" l'avait "ordonné" de faire des "appels pour rameuter la troupe pour démarrer le projet", sans donner plus d'explication que de lire un papier A4 recto-verso griffonné par une autre personne (son métier précédent : planter des bulbes de légumes et de fleurs en jardineries depuis 15 ans et suite à licenciement économique, bourrage de crâne de "Fr Tr" que l'informatique était la manne du siècle, au même titre que le mal de dos, et qu'il y. avait quantités de "brouzoufs" à ramasser (il suffirait de se baisser pour des personnes capables, travailleuses, etc... et quand on a encore une famille à charge et des crédits, il ne faut pas faire la "fine bouche") ...

Cela dit, la personne en question m'a gentiment remercié pour mon écoute et pour tous les conseils dispensés ... et qu'elle allait se faire "entarter" par son "regional business manager" car l'appel téléphonique a été trop long et que cela "allait barder pour son matricule" (1 heure d'écoute et de conseils gratuits) ...

La formation de ces "messieurs/dames" et la qualité d'aujourd'hui ne sont plus ce qu'ils étaient auparavant et c'est bien triste.

Bien à vous, toutes et tous,

Yanolezard.

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Réponse postée 17 juillet 2024 19:10

Bonjour "Droopyann",

Cela arrive beaucoup plus fréquemment que vous ne pourriez le penser (I quote : "mais jamais basculer cela sur le freelance").

Par ricochet ou comme on le dit chez moi : "Quand ça pleut sur le curé, ça dégouline sur le vicaire, ça mouille le presbytère")

Bien à vous,

Yanolezard

Une question à se poser : Est-ce le client final qui veut avoir ces 2 jours offerts, ou l'intermédiaire ?

Et comme dit par ailleurs, c'est une mission avec un potentiel de combien ensuite ?
Est-ce un TJM ras des pâquerettes ou au contraire très intéressant ?
Franchement, je suis pas forcément contre faire un petit cadeau à un bon client. Ca doit se réfléchir.

Par contre, est-ce courant ? Je ne suis pas sûr. Et affiché comme ça dès l'annonce, je suis sûr que non.
J'ai vu beaucoup de clients le demander aux ESN (et j'ai été client aussi, et j'ai pu le demander dans certains contextes), mais jamais basculer cela sur le freelance.

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Réponse postée 17 juillet 2024 13:53

Bonjour "m.SPSS",

Ce n'est pas un avis que j'ai affiché, mais un simple constat, rencontré dans diverses pérégrinations et autres tribulations ... depuis plus de 32 années de freelancing.

Après, chacun "voit midi à sa porte", s'arrange comme il veut/peut, négocie, ou comme le rappelle cette chanson reggae culte "Chacun sa route ", du groupe "K. O. D" (Manu Katché, Geoffrey Oryema et Tonton David).

Bien cordialement,

Yanolezard

Bonjour,

Je ne partage pas les avis précédents.

J'ai 10 ans de freelancing.

Ce genre de pratique me scandalise.

Ca m'est arrivé une fois, avec la grande distrib... j'ai refusé et j'ai quand même eu la mission (je pense que l'ESN a financé ces jours.. )

Nos prestations ont de la valeur (en général..), nous ne sommes pas des produits.. (10 kg de patates achetées , 1 offert.. 😅)

Le seul cas de figure acceptable serait une formation réutilisable chez un autre client.

Autrement, si je veux faire du bénévolat, je vais proposer mon aide aux Restos du Coeur ou à la Croix-Rouge, ils en ont plus besoin qu'un groupe du CAC40.

Sujet : RC PRO
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Réponse postée 17 juillet 2024 11:33

Bonjour à toutes et à tous,

Le serpent "RC" Pro & Exploitation sort de son abysse ...

Cela couvre un vaste sujet et comme chaque cas est unique, il n'y a pas de réponse tout faite.

Le moins "coûteux" n'est pas forcément le plus "performant" ou le plus "adéquat".

Quelques points d'attention : les clauses, les garanties et les exclusions.

  • Activités : développement, conseil, architecture, conférence, formation, fabricant, ...

  • Lieu d'exercice : France, Europe, International ? Chez le client, à distance, en hybride

  • Secteurs : industries, tertiaire, ...

  • Domaines : agroalimentaire, assurances, banques, santé, finance, juridique, aéronautique, médical, nucléaire, militaire, ...

  • Travaux : mise à jour des systèmes de calculs de tirs d'un aéronef, développement d'un "pot chaud" radio en médecine nucléaire, intervention les chaines de production pharmaceutiques ...

  • Modulation de la RC en fonction de l'activité : pendant 6 mois, je fais, pendant 9 mois, je fais autre chose, pour 2 ans je rajoute une activité de DPO

  • A l'étranger, je conçois et fabrique des lampes Wifi ou des lampes d'Aladin.

  • Je travaille dans la cybersécurité et je penteste, en offensif, des systèmes industriels ...

  • ....

    On oublie toujours des choses ... une RC PRO & Exploitation, ça se discute, ça se comprend, ça se négocie, comme le "bout de gras".

    je suis chez Allianz, depuis très longtemps (une quinzaine d'années), toujours le seul à cocher "toutes mes cases" (j'ai des clients qui me demande des garanties assez voire très élevées, car j'opère sur des secteurs/domaines/activités très spécifiques, tant sur des points techniques, technologiques et juridiques) pouvant toucher directement l'humain ou des populations.

  • J'ai eu à utiliser leurs services 3 fois pour des évènements très importants : une fois enclenchée, la "Krieg Allianz" est plus qu'efficace et les services rendus, à quelques pouillèmes près, sont redoutables.

  • Afficher un tarif ne veut rien dire : il y a un socle de base et ... le reste.

Pour ma modeste contribution,

Bien à vous toutes et tous,

Yanolezard

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Réponse postée 17 juillet 2024 11:09

Bonjour Messieurs "Droopyann" et "OdL",

Je confirme ce qui a été écrit.

J'utilise la facturation électronique (je fais partie des "bétâ-testeurs" volontaires, car j'émets et reçois des factures de France & de Navarre en passant l'Outre-Atlantique, l'Afrique francophone, et l'Europe).

Ces nouvelles procédures sont un peu contraignantes pour les micros/petites structures (comme nous à 99%) qui croient, en leurs bonnes âmes et consciences, continuer à utiliser des "tableurs", des "traitements de textes" (j'en vois qui font des factures sous Word avec du code VBA pour les calculs 🤫) et autres outillages hétéroclites.

Je travaille sur certains grands programmes/projets de refontes de la facturation pour le passage à l'"e-facturation" et c'est loin d'être "triste", aussi bien dans le publique que dans le privé (je pense que certains vont avoir des surprises). A noter que pour nos structures simplifiées, ce n'est qu'un modeste changement, même ces nouvelles règles nous coûtent un peu plus (et nous avons beaucoup de chance, quelque part, car nous n'avons pas à nous "farcir" des structures matérielles et logicielles et des chaînes de LAD/RAD (Lecture Automatique de Documents)/(Reconnaissance Automatique de Documents) avec une forme d'IA dédiée à l'éditique, ce qui à l'heure actuelle, coûte la "peau des rou*bignolles de Roger Lapin".

Au final, cela va nous simplifier la vie et en cas de contrôle, via une "PAF" (Piste d'Audit Fiable) de facturation, il sera plus facile de retrouver l'information déficiente.

Bonne journée.

Yanolezard

Plusieurs points :

  • La facturation pour les entreprises obéit à des règles strictes, tu ne peux pas faire n'importe quoi. Par exemple, facturer avec excel est normalement interdit (tu dois avoir un système qui empêche de modifier une facture une fois celle-ci émise : condition d'inaltérabilité).
    Il faut normalement que ton logiciel soit certifié.

  • La facture électronique est une évolution majeure dans les systèmes de facturations. Il s'agit d'implémenter une norme d'échange (FACTUR-X) pour permettre l'inter-opérabilité entre les systèmes. Il faudra que le logiciel soit compatible et puisse échanger avec une "plateforme de dématérialisation partenaire". Autant dire que le petit logiciel développé dans un coin ne sera pas compatible.

  • Cela ne veut pas dire que tu es obligé de prendre la solution à 20€ (franchement, ça semble abusé si c'est juste pour faire tes factures) proposée par toncomptable.
    Les banques pro en ligne propose des solutions, tu as des outils dédiés mais qui intègre d'autres fonctionnalités type CRM (free-work par exemple en propose un 😅), ...

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Réponse postée 17 juillet 2024 10:44

Bonjour "Free-Worker-803726" (un petit pseudo embellit les échanges 😀)

Bienvenue sur ce fil.

De temps à autres, ce genre de "demande" refait surface. Pour en avoir discuté avec des "Directions Achats" et des "Directions Juridiques", ce type de processus "court" permet de se prémunir de certaines situations :

  • le contrat a été signé des parties et au final, après immersion, le prestant ne trouve pas "son compte" et décide de ne pas revenir.

  • des différences notoires sont remontées entre le contenu de la mission demandée par le responsable technique et le profil du prestant.

  • l'intégration de prime abord ne se déroule pas comme prévu (relations humaines entre parties)

  • test ("période d'essai") visant à vérifier l'adéquation des connaissances du prestant (certains ont tendance à être comme la publicité "Vahiné")

  • certains prestants, attendant encore des réponses, et jouant la "girouette" ou coutumier du fait, laissent le "pot sous la vache" et le client dans l'expectative) ...

  • il y a bien d'autres cas ...

L'on rencontre ce genre de "demande" aussi bien de la part d'un client final, que d'un intermédiaire (ESN/Conseil), petite/moyenne/grandes organisations (notamment, lorsqu'il faut être opérationnel de suite, les "mains dans le cambouis, deux heures après être arrivé(e).

En espérant avoir éclairé quelques-unes de vos lanternes.

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée 12 juillet 2024 09:35

Bonjour à toutes et à tous,

L'un de mes contacts réguliers recherche URGEMMENT un développeur "fullstack"

Projet : Création de l'application de traçabilité qui sera sur le web et qui aidera les fournisseurs à se connecter.

Profil : 5 ans d'expérience minimum

Localisation : Centre Val-de-Loire, proche paris (entre 45 mn et 1 heure de Montparnasse) - Ville / Périphérie d'EPERNON (Eure-et-Loire, département 28)

Si vous êtes de province, pensez à calculer vos frais.

  • Freelance OU Portage Salarial

  • 2 jours de télétravail par semaine (je confirme qu'il y a bien 2 jours de TT, vu avec le contact).

Profil recherché : Développeur Fullstack Java SPRING (ou REACT) ET SpringBoot Temps Réel

Compte tenu de l'urgence du projet et de la concurrence, j'ai besoin d'un retour de votre part au plus vite ! 

Si cette proposition vous intéresse :

  • merci de me contacter en MP (je vous fournirai avec plaisir les coordonnées du contact, qui est très professionnel et sympathique de surcroit).

  • quand ce contact parle d'urgence, ce n'est pas une plaisanterie (ex : du vendredi pour le lundi/mardi).

  • je n'ai pas connaissance du TJM (donc inutile de me poser la question, mais en règle générale, venant de ce contact, il n'est pas "chien" sur le tarif et reste très arrangeant à condition de ne pas être le "loup").

PS : depuis que j'ai posté cette offre, personne ne m'a contacté en MP (elle a cependant été vue/lue 68 fois), à croire que tous les développeurs/développeuses de cette spécialité ont du travail ... étonnant, non ? (comme l'aurait souligné Pierre Desproges dans sa chronique quotidienne "La minute nécessaire de Monsieur Cyclopède : Etonnant, non !!!, ).

NB : je rappelle également que je ne réclame rien en terme de "business" si des freelances/indépendants font affaire (si ce n'est que de m'avertir pour clore ce fil).

Je vous souhaite, à toutes et tous, une belle journée 

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 5 juillet 2024 17:11

Bonjour "free-fullremote",

Libre à vous de penser que la "mode" du no code / low code est une fausse bonne idée (surtout pour le "Web" )... car le low/no code existe ailleurs que dans les technologies Web et heureusement d'ailleurs et je le pratique depuis plus de 40 ans (depuis l'époque du "DOS" jusqu'à aujourd'hui).

Il y a "Low / No" code et "Low / No" code ... il existe une pléthore d'outillages, d'utilitaires, de solutions pour créer des applications Web, il n'y a qu'à se pencher pour les ramasser. Un des bémols : c'est que ces outillages sont "opaques"' et ne produisent pas en sortie un code que l'on pourrait optimiser.

A l'inverse, seuls les outillages, utilitaires, solutions pour créer des applications AUTRES que Web font partie de mes besaces (j'en ai quelques-unes en attente de certifications par le Ministère de l'Intérieur / ANSSI en EAL4/4+ et EAL7) et celles-ci produisent du code pur et propre, réutilisable et optimisable au besoin.

Ce que je constate en entreprises de ma région et pas que (continent africain francophone et Outre-Atlantique), de la + petite à la plus grande, du "tertiaire" à l'industrie, c'est que la demande est importante, à condition de bien cadrer les choses, qu'une gouvernance soit clairement établie et respectée, que les formations aient été effectuées et auditées régulièrement et que la gestion des risques à ce niveau soit maîtrisée (d'ailleurs en moment, quelques clients souhaitent aller vers du "Low" avant de franchir le cap du "No", pour des applications hybrides (un "Front Web" et un back "non web"), le tout passer par une chaîne "SecDevSecOpsSec".

Bien cordialement,

Yanolezard

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Réponse postée 5 juillet 2024 14:20

Bonjour "_undefined",

Si vous trouvez que "C++" n'apparaît plus dans les écrans-radars, peut-être que "RUST" pourrait être envisageable.

J'ai commencé (il y a déjà plusieurs mois,) à explorer ce que ce "nouveau" langage pourrait m'apporter dans mes travaux de laboratoires numériques et dans mes différentes pérégrinations et autres tribulations.

Il y a une excellente communauté (https://jimskapt.github.io/rust-book-fr/title-page.html) et là (https://www.rust-lang.org/fr) ou ici (https://www.bocasay.com/fr/decouvrir-langage-rust/)

ou se lancer dans le Cobol, le Fortran, le Forth ou le "Low Code" / "No Code"

Si cela peut vous donner quelques idées.

Bien cordialement,

Yanolezard

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Réponse postée 5 juillet 2024 11:30

Bonjour "_undefined",

Le C++ est toujours bien demandé : je vois passer régulièrement des offres de prestations, en C++ (Embedded Linux, Linux, Unix, Embedded C++ Windows, C++ Arduino, C++ ARM, Windows C++) :

  • pour des banques : "Commandos C++" (existent aussi en "Commandos VBA") => souvent en support des Salles de Marché.

  • pour des industries : le plus souvent => l'aéronautique, le spatial, le militaire, le nucléaire, l'automobile.

  • pour des éditeurs de logiciels : souvent de gestion ou de solutions complexes (assurances, finances, comptabilité).

  • pour d'autres marchés (cartographies, systèmes, IIoT [Industrial Internet of Things]...)

que ce soit en MS Visual C++ ou autre forme de C++ (open,libre, et autres compilateurs C++, dernièrement pour des calculateurs "HPC" [High Performance Computing] ou pour des calculs massivement parallèles.

Créé initialement par Bjarne Stroustrup dans les années 1980, le C++ est aujourd'hui normalisé par l'ISO/CEI 14882:1998 (première normalisation), la dernière validée en date (ISO/IEC 14882:2020, ou C++20). D'autres évolutions de la normalisation C++ sont en cours d'études.

Travaillant avec C++ depuis des lustres, plus dans l'industrie, j'ai relevé quelques éléments qui intéressent souvent les clients (ou les intermédiaires qui ont parfois aussi des besoins pour d'autres prestations) :

Outils de développement :

  • Make, Bazel.

  • Ant (génération portable en XML).

  • SCons (génération portable en Python).

  • CMake (génération de Makefile portable).

Environnements de développement :

  • Anjuta DevStudio, C++ Builder, CLion (en)14.

  • Code::Blocks (open-source), Dev-C++ et son extension RAD WxDev-C++

  • Eclipse avec le plugin CDT15 (open-source).

  • Emacs (libre), KDevelop, NetBeans (open-source).

  • QtCreator (open-source), Sun Studio, Vim.

  • Microsoft Visual C++ (a été intégré au framework Visual Studio), Apple Xcode.

Compilateurs :

  • GCC pour GNU Compiler Collection (libre, multilangage et multiplateforme : UNIX, Windows, DOS, etc.),

  • Clang, Microsoft Visual C++ (Windows), Borland C++ Builder (Windows),

  • Intel C++ Compiler (Windows, Linux, MacOS), Open64 (en) compilateur opensource d'AMD (Linux),

  • Digital Mars C/C++ compiler (Windows), Open Watcom.

Bibliothèques :

  • Boost, Qt, Gtkmm, wxWidgets, SFML, OpenCV, SDLmm, surcouche C++ à la SDL, LLVM.

Le C++ est toujours bien vivant et les offres existent, ce que je constate, à mon niveau en tous cas (j'ai régulièrement des contacts sérieux

avec 2 ou 3 donneurs d'ordre, certes locaux) car les processus de prestations doivent être "encadrés" (on ne plaisante pas avec certains clients !! considérés comme "pince sans rire").

Bonne journée

Yanolezard

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