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yanolezard

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Réponse postée il y a 2 jours

Bonjour "Free-Wroker-1327612",

(un pseudo, c'est plus pratique pour suivre les échanges)

J'avais rédigé un article sur les data-analysts (ça date de 2021, mais c'est toujours d'actualité) :

https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/data-analyst-en-partant-de-zero

Sinon, ayant répondu à un(e) autre "free-worker(euse)" sur un autre canal, je me permets de compléter avec la réalité" d'aujourd'hui :

Effectivement, les "data analysts" sont un peu à la peine en ce moment, car leur métier (du moins en France) est trop sectorisé et mal compris, ce qui n'est pas le cas ailleurs et bien souvent ne correspond pas aux cadres dans lesquels ils évoluent (entre Business Analyst, Data Analyst, Data Steward, Data Scientist, tout se mélange et l'arrivée/montée en puissance de l'IA n'arrange pas les affaires de tous ces messieurs/dames).

Dès lors que cet écosystème a été placé sur orbite, les débuts ont été florissants pour tout ceux qui croyaient en cette manne financière et bien portante et les seuls actuellement, capable de "tirer leurs épingles du jeu" sont réellement les "Data Scientist", car contrairement à ce que l'on dit ou ce que l'on pense ou que l'on voudrait vous faire penser ou avaler, leur métier ne consiste pas qu'à produire des algorithmes en "SAS", "R" et autres "Serpent Bicolore de Rocher", à "pisser du code" ou à "chatouiller les IA dans le sens du byte", ce sont avant tout d'excellents "Data Analyst" (d'ailleurs, beaucoup sont issus de l'actuariat, des secteurs de recherches en mathématiques appliquées ou fondamentales, en statistiques financières, en probabilités boursières et de marchés, et possèdent pour la plupart déjà un métier entre les mains ... ce ne sont pas des "rigolos" ou des "petits plaisantins". Un "Data Scientist" doté d'un "Data Analyst', pour ces gaillards, du boulot, il y en a (comme pour l'Araignée, du grabuge, il y en a ;-)))

Par contre, il existe une piste aujourd'hui, dédaignée par beaucoup, car ils/elles ne l'ont pas comprise, c'est la voie (non pas du "King"), mais celle du "Big Data" : le Big Data est à la croisée des chemins de l'IA, de l'analyse de données, de l'exploration de la donnée, de la sécurité de la donnée, de l'extraction de la donnée, de la manipulation d'importantes volumétrie de la donnée, en mêlant un peu de "codage informatique" et de l'outillage, ce qui en rebute bon nombre, ne voulant pas faire d'efforts ...bien mal leur en coûte, mais qu'ils/elles ne viennent pas se plaindre à la moindre incartade.

D'ailleurs, ce secteur renaît de ses cendres Outre-Atlantique, la France en a fait un "crime de lèse-majesté", la plupart des scribouillards n'ont rien compris des enjeux et pourtant, bon nombre de sociétés spécialisées dans ces domaines comme HortonWorks (rachetée par le géant "Cloudera" - petite organisation française de quelques personnes-, MapR (rachetée par Marklogic), les géants du Cloud (Amazon AWS, Microsoft Azure, Google GCP) ont profité de l'aubaine et se sont "taillés la part du lion" chez les clients, offrant des services "on-premise", "baremetal" (en DataCenter), en "Paas" ou en "Saas" comme pour l'IA ou le Quantic. Pour finir, les meilleurs du "Big Data" sont les .... indiens : ils sont comme "Free", ils ont tout compris ... d'une part, comme ils étaient à la peine (à la suite de la rupture et du divorce avec Cap'Gémini, 15000 personnes au bas mot et le "riche" TTC" - "TATA Consulting" - devenu pauvre du jour au lendemain).
Les meilleures formations et les cursus certifiants sont les plus reconnus internationalement. En France, c'est "vox populi, vox asinorum".

Peut-être cela pourra-t-il contribuer à éclaircir le sujet.

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée il y a 2 jours

Bonjour "Omar Aa",

Comme dit précédemment, la fonction d'Architecte des Systèmes d'Information n'est pas à prendre à la légère, c'est complexe et à moins d'être très aguerri dans un domaine précis (en infrastructure, en technique, en application, en données, en processus, en fonctionnel, en stratégie et organisation, en urbanisation, en logiciel, en sécurité, en règlementaire, en Intelligence Artificielle, en Business Intelligence, ... ), il est possible d'évoluer, pour candidats de valeur, vers de ce genre d'activités.

Pourquoi diable "Mistral" choisit-elle "AWS" (Amazon Web Services), car il n'y a pas qu'AWS ... il y a aussi "Microsoft Azure Architect", "Google Cloud Platform Architect" ... là n'est pas la question ... et devenir "architect", passer des certifications (à renouveler régulièrement) au bout de 5 jours de cours, cela m'a toujours laissé perplexe ... chacun fait ce qu'il veut ou lui plaît.

Par contre, si vous êtes "Chef de Projet", vous devriez consulter le post que j'avais écrit, il y a quelques mois, sur la plateforme :

lisez les échanges : https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/legitimite-prestation-consultant-it-avec-1-an-1-2-d-experience

ou ceci : https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/formartion-chef-de-projet-rncp-7

En espérant avoir modestement contribué à éclairer quelques lanternes.

Bien à vous,

Yanolezard

Forum : ERP
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Réponse postée il y a 2 jours

Bonjour "Free-Worker-686793"

(avec un pseudo, c'est mieux pour échanger et suivre les discussions 😀)

Bienvenue sur le forum (et un petit "Merci" n'a jamais fait de mal à une mouche).

Java et les "Amis" d'Oracle .. toute une histoire ... qui n'est pas prête de s'arrêter ... encore faut-elle qu'elle ait commencé sur de bonnes bases (mais cela, c'est une autre (sombre) histoire de brevets, de licences, et de rachats.

Petit point qui a son importance :

  • SAP est un ERP (Enterprise Resource Planning) contenant, en autres, un module de "CRM" (SAP CRM) - On premise, en Private Cloud, en Paas ou en Saas.

  • SalesForce est un CRM (Customer Relation*Ship Management), voire même mieux un "Social CRM" - uniquement en Cloud (Saas)

  • Pour être reconnu "Développeur Salesforce", aujourd'hui un seul moyen : être certifié Développeur Salesforce (à jour, car ils sont très strict sur ce point).

  • Salesforce évolue rapidement ... il s'agit d'un produit d'origine américaine (San Francisco), donc attention aux différentes lois et réglementations ...

  • 2 parties dans Saleforce : le Front et le Back (divers frameworks, différents outillages : low-code/no-code)

  • Langage de la plateforme : APEX (un dérivé de Java, orientée objet, inspiré de Java, utilisé sur la plateforme "Force.com" de Salesforce).

    (tour d'horizon APEX: exécuté côté serveur, sur les environnements sur des entités multi-tenants. Pour cette raison, le code développé en Apex doit être optimisé et respecter les limites (governor limits) imposées par la plateforme, afin qu'aucun traitement dysfonctionnant (soit un traitement unitaire déclenché par un événement, ou bien un traitement en masse) ne viennent perturber le bon fonctionnement des processus des autres clients de Saleforce, hébergés sur la même infrastructure.

    Pour pouvoir être déployé en environnement de production, les développements Apex doivent posséder une couverture de code supérieure à 75%. Pour ce faire, il est demandé aux développeurs Salesforce, intervenant sur ce type d'activités, de préparer des classes et méthodes de tests, afin de valider le bon fonctionnement des classes Apex développées).

    Vous pouvez suivre des formations dans un centre agréé Salesforce ou directement via leur site.

    Côté SAP :

    Pour celui ou celle qui viendrait à "se frotter" à l'univers SAP, en tant que développeur, à prendre en compte :

  • Soit faire du développement de customisation : ABAP (dans sa forme d'origine germanique : Allgemeiner Berichtsaufbereitungsprozessor (processeur générique pour la préparation de rapport) et anglicisé en Advanced Business Application Programming)

    Vous trouverez un excellent résumé ici : https://fr.wikipedia.org/wiki/ABAP et ici : https://learning.sap-press.com/abap

    SAP met à disposition un ensemble de SDK et d'outillages divers et variés (allant du Java, en passant par Python, Cobol, et autres langages, parfois interprétés mais aussi du compilé : https://tools.hana.ondemand.com/

    Dans tous les cas, je ne saurais vous conseiller de commencer à étudier le fonctionnement de base SAP (SAP Basic qui explique le B-A-BA, les autorisations, l'installation, la sécurité, le modèle de données, etc.)

    L'écosystème SAP est tentaculaire et souvent complexe à appréhender, d'où cette recommandation (chacun voyant "midi à sa porte"). Il n'est pas étonnant plus de voir des développeurs SAP se spécialiser sur 1 ou plusieurs modules de SAP car lesdits modules sont tellement complexes, notamment sur les nouvelles versions de SAP, comme S4/HANA, qu'il faut quelques années de pratique et quelques centaines ou milliers de lignes de codes, avant de vraiment comprendre comment tout cela fonctionne et si un jour, vous vous sentez "pousser des ailes", vous pourrez tenter la certification Développement ABAP (QCM en ligne, mise en situation auto-adaptative, et sur la partie Advanced, passer 3 jours en Allemagne, pour passer une certification avec un "proktor" - en anglais ou en allemand, mises en situations réelles, diagnostics, détections de pannes, etc ...) et ainsi décrocher le "pompon" du Marin ... Après, on vous regarde (très) différemment.

Pour se former, plusieurs pistes :

  • Cours en ligne / e-learning (différents organismes connus et sites plus ou moins gratuits)

  • Cours en centres de formations agréés SAP (et UNIQUEMENT par SAP : attention aux arnaques, style : "je prête ma certification sur le site Web")

  • Cours (gratuits) via site SAP : La communauté officielle SAP Community : Communauté mondiale pour progresser ensemble (une petite recherche suffit).

  • Cours sur site SAP : https://www.sap.com/france/training-certification.html

Je pense que vous avez ici tout ce qu'il vous faut pour réfléchir à la question ...

Une dernière petite chose : le marché SAP n'est plus si florissant qu'avant ... les TJ ne sont pas si mirobolant que cela (notamment entre Île-de-France et la province), la concurrence venue d'Asie et de la Méditerranée aux coûts frisant l'idiotie du client ... mais un excellent développeur peut "tirer ses marrons du feu" sans se brûler.

En parlant de Java (vous n'indiquez pas votre secteur d'intervention), vous avez la possibilité aussi d'explorer le monde du Big Data, avec "Spark et Scala".

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes, dans le clair-obscur de l'écosystème SAP.

Bien à vous,

Yanolezard.

Forum : Votre activité
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Réponse postée 27 janvier 2025 11:19

Bonjour "Free-Worker-115544",

Si vous souhaitez, comme l'a mentionné l'Estimé et Estimable @Droopyann, vous orienté vers un outil "NoCode" pour votre "MVP", il serait plus judicieux de contacter les experts adéquats (comme je n'ai pas le droit de faire de la publicité, je pourrais vous les indiquer en MP).

Pour ma modeste contribution,

Yanolezard.

Réponse postée 27 janvier 2025 09:56

Bonjour "momo.benkadi ",

J'apporte ma modeste contribution à ce sujet car j'ai quelques retours d'expériences à ce sujet :

  • comme dans la plupart des secteurs de l'IT, il y a des métiers qui sont assez méconnus, notamment ceux qui tournent autour des "datacenters".

  • les datacenters ne sont pas que terrestres (DC Marine, DC Espace, DC Environnementaux, DC Immergés, DC Responsable, ...).

  • les datacenters posant questions aujourd'hui bénéficient du CIR (Crédit Impôts Recherche) ou l'équivalent dans les autres pays européens, afin d'améliorations et de qualité de ces "consommateurs excessifs" de ressources.

    Dans l'écosystème "DataCenter", il y a de nombreux métiers et fonctions :

L'avantage de l'écosystème "DataCenter" est qu'il est pourvoyeur de métiers différents, réunissant à la fois : de l'urbanisation et l'architecture de génie (civil et terrestre, marin et sous-marin, , spatial), de la construction, du câblage, de la sûreté, de la sécurité, du génie climatique, de la sécurité incendie, de l'IT, de la "GRC" (gestion des risques et de la conformité), des audits de fonctionnement, du RGPD, du Droit (on ne fait pas n'importe quoi)

Malheureusement, ces métiers (en vrai tension cette fois, un peu comme pour les métiers du "legacy (mainframe/cobol) ne sont pas mis en valeur et c'est bien dommage (ne nous trompons pas, il ne faut pas que des "muscles", il faut aussi beaucoup de "jus de cerveaux" pour tout le monde).

Petite anecdote (qui remonte à quelques années : la mise à jour d'équipements réseaux de type switches, gateways et autres joyeusetés - en particulier un montée de version de l'IOS de Cisco, mal anticipée et recettée - qui a conduit à l'arrêt total de tous les Si des clients reposant sur ces 4 DC, pendant 5 jours) ... et à l'époque, les contrats et les primes d'assurance, pour ce genre d'incidents, ressemblaient à la "cagnotte du loto ou de l'euromilions).

Pour avoir exercé ce métier quelques années (et le suivant toujours de par ses évolutions), j'ai surtout réalisé des tâches d'implémentation et de conception d'aménagement (placement des racks, des équipements, des chemins de câbles, du câblage, des équipements de protections incendie), du pilotage de salles DC (un équivalent de responsable de salles serveurs), de l'audit de conformité environnementale, de l'audit informatique et de (cyber)sécurité/sûreté et en dernier, de l'opérationnel en plan de sécurité informatique, électrique, continuité d'activité et reprise d'activité ...

Je conseillerai (si ce n'est déjà fait) de vous abonner (gratuitement) au magazine spécialisé sur cet écosystème (datacenter magazine) qui relate parfaitement les activités autour des DC, partout dans le monde (les articles sont de fond et parfois bien techniques/trapus).

Donc, félicitations d'avance pour avoir accroché cette formation de base (il y a plusieurs niveaux) et j'espère que vous vous épanouirez dans ce nouveau monde ... qui vous guidera naturellement, non pas vers le "chant des sirènes", mais vers d'autres contrées comme les évolutions Cloud, Cyber, IA ...

Bien cordialement,

Yanolezard

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Réponse postée 14 janvier 2025 11:09

Bonjour "FrelanceRegion",

Ce n'est parce que le PDG a dit qu'il n'embauchera pas d'ingénieurs logiciel en 2025 ... qu'il n'y aura pas de missions de développement pour les solutions de cet éditeur chez les clients ...

En ce moment, bon nombre de mes clients qui utilisent la solution ou qui vont mettre en oeuvre des solutions de l'éditeur (il n'y a pas que le CRM), ont prévu et planifié des travaux de développements et d'intégration. Par contre, les certifications sont requises, obligatoires et surtout à jour, pour ces clients-là.

Même si les "IA" (chatbots améliorés) sont "plein phares" chez l'éditeur, je connais des assurances (importantes) qui peinent à trouver (via toutes sortes de canaux) des très bons architectes logiciels / développeurs / intégrateurs des solutions "SF" (et sur les TJ, ils sont loin d'être "chiens").

Pour une modeste contribution,

Bien cordialement,

Yanolezard

Réponse postée 10 janvier 2025 16:01

Bonjour "mmokchah",

Le sujet de la facturation électronique ne s'arrête pas à l'IT : je suis en plein dedans pour certains clients. C'est un sujet complexe qui va au-delà de la connectivité d'une API, d'un WS ou d'un connecteur "y".

L'accompagnement au changement, les aspects légaux et juridiques, la gouvernance, tous les métiers de la comptabilité (générale, analytique, fournisseurs, clients, ....etc) avec interactions d'autres acteurs de l'Union Européenne, les décommissionnements des systèmes/solutions legacy, les solutions "LAD/RAD" et tous les processus attachés, la formation .... les audits, les PAFs, .... le côté publique/étatique est aussi à prendre en compte, dans les relations, les processus, la gestion des risques.

Il y a certes encore beaucoup de travail ... et les (très)petits, les TPE/I, les PME/I voire certaines ETI n'ont pas toutes les mêmes spécificités.

Ce n'est pas un sujet à la légère et au-delà du choix d'une structure (ce qui est une bonne question en soi), il serait plus judicieux, de réfléchir aux services proposés (attention aux solutions "maisons" : la niche peut rapidement tomber sur le chien) ...

Le logiciel n'est pas le même : on passe d'obligation de moyen à obligation de résultat (en termes juridico-legalo, les contrats et offres de services doivent être rigoureusement bien ficelés, avec des noeuds indénouables.).

Pour une modeste réflexion.

Yanolezard.

Forum : Vos projets
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Réponse postée 9 janvier 2025 21:04

Bonjour à toutes et à tous,

Les prestations "au forfait" (le vrai : car il existe des "forfaits déguisés en régie"), pour le l'IT entre autres, sont à manier avec précaution, car l'on peut se retrouver rapidement, sans crier gare, à devoir "faire du rab' non payé", suite à une mauvaise estimation lors de l'AO ou dans la rédaction des documents administratif (devis, bon de commande, contrats, etc.) et je ne vous parle pas des prestations "au forfait" dans des pays européens ou Outre-Atlantique ou dans des pays ("chauds") qui n'ont pas vraiment la cote ici-bas, car en plus de la rédaction administrative en France, il faut en plus se coltiner celle des autres pays et gare au imprudents qui ne se sont pas renseignés sur les "tips and tricks" desdites législations, textes, directives et autres lois des pays en question car cela peut "tourner au cauchemar" ou "à la balise Argos".

Je pratique les forfaits assez régulièrement (disons que j'aie pris certaines habitudes et de bons réflexes depuis une trentaine d'années) et je connais bien les travers et les "chausses-trappes" de ce genre de contrat. Si vous êtes novices en la matière, gare aux "imprudents".

Idem pour l'apport d'affaires : quelles que soient les manières (professionnelles, déontologique, éthiques, légales et surtout honnêtes) employées, il faut faire attention et se passer l'envie d'être un tantinet trop gourmand (comme beaucoup le font, y voyant une manne financière en "miam-miam" sonnant et trébuchant), mais ne nous trompons pas, il y a des "pièges à loup", si le contrat d'apports d'affaires (qui peut concerner une prestation IT, une prestation de Développement, une prestation de formation ou une prestation de Conseil, Audit ou de Management) est mal "ficelé" et si vous ne respectez pas certain(e)s principes et clauses. Par expériences (parfois décevantes), on peut y "perdre plus de plumes" que de "remplumage" et c'est le genre de contrat qui "nourrit" (parfois grassement, parfois plus maigrement) des professions règlementées (j'en connais quelques-uns ou unes qui se "pourlèchent les babines" quand ce genre de cas se présentent).

Cela dit, on peut trouver des prestations au forfait ou d'apport d'affaires de tout type, même en PO/PM, rien qu'aujourd'hui, j'en ai vu passer 3 rien que dans la sphère publique.

Pour ma modeste contribution,

Yanolezard.

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Réponse postée 9 janvier 2025 20:40

Bonjour "FreeWorker-777",

Effectivement, ce n'est pas du "propre". Ce genre d'annonce devrait être "bannie" : comment voulez-vous faire "concurrence loyale" ?

Yanolezard.

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Réponse postée 9 janvier 2025 20:35

Bonjour à toutes et à tous,

Il m'a fallu 10 mois pour faire un transfert de siège social pour mon EURL (même département français mais changement de "Métropole" pour un "Pays" au sens "collectivités")et ce même à l'aide de mon cabinet d'expertise-comptable (pourtant aguerri au "GU") : 1 erreur technique "inattendue" + 2 rejets "on ne sait toujours pas pourquoi" + 2 mails (1 pour l'INPI + 1 pour le Greffe), l'Expert-Comptable s'est même déplacé en personne au Greffe (il y a été avant que la date de "GU Pilote" ne soit échue) ... Réponse : Nous ne sommes plus que 2 personnes, avant nous étions 13 ... Regardez la pile, votre requête y est certainement ... A proprement parler, 1 des 2 personnes a annoncé approximativement une attente de 300 dossiers) en fonction des dates de premières soumissions.

Mon transfert est maintenant effectif et le KBIS à jour ... Vous avez parfaitement raison, @VincentB_ , c'est une vrai galère de Romains.

PS : à vot'bon coeur https://www.economie.gouv.fr/entreprises/entreprises-ce-qui-change-au-1er-janvier-2025?eml-publisher=hubscore&eml-name=Emailing-es-39-[BIE_439_20250102]-20250102&eml-mediaplan=[https://www.economie.gouv.fr/entreprises/entreprises-ce-qui-change-au-1er-janvier-2025]#

Lire le paragraphe "Gérer son entreprise - Fin de la procédure de continuité du guichet unique au 31 décembre 2024"

Pour ma modeste contribution ...

Yanolezard.

Bonjour,

suite au changement d'adresse personnelle vous devez produire une nouvelle liasse INPI relative aux bénéficiaires effectifs.

Là c'est une colle. Pour autant que je sache c'est faux mais sans certitude à 100%.

Ce n'est pas une liasse, c'est une modification du RNE à déclarer sur le GU.

Je l'ai fait mais ne trouve pas l'intitulé dans autres pièces jointe. Si on ne sélectionne pas d'intitulé on ne peut pas télécharger de pièces jointes.

Fouillez mieux. Vous l'avez dit c'est pas du tout intuitif et normalement le PV qui est obligatoire devrait être proposé dans la liste des pîèces obligatoires (ce problème des listes de pièces fausses / incomplètes n'est pas jugé comme étant prioritaire...).

Cherchez "PV", "Procès-verbal", etc. Des fois c'est assez long de trouver l'intitulé que l'on cherche.

Bon courage, ce truc est vraiment une purge. J'accepterais deux Décrets Magendie pour être débarrassé de cette bouse...

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Réponse postée 6 janvier 2025 00:53

Bonjour "Maldi",

Une question : pourquoi SAP ? ... il y a encore beaucoup de mythes et de légendes urbaines, en termes de TJ, autour de SAP.

Si SAP vous convient, plusieurs choses à préciser :
(j'ai aussi été consultant SAP "Formation" et "ABAP" - développement) dans des périodes de vie antérieure.

La planète SAP est à la fois petite et grande :

- petite : SAP est un monde d'initiés. On y rentre souvent par parrainage et on y reste longtemps. Rare sont les individus qui ont plusieurs compétences pointues SAP et qui sont certifiées par exemple (ceux-là sont adulés, des demi-dieux, car les certifications SAP sont très difficiles à obtenir).

- grande : SAP est un grosse société allemande qui n'a pas que des amis. Leur politique de licences est affreuse et abjecte envers les clients et les utilisateurs (français) sont à peine mieux traités que des chiens. Depuis la création de SAP et jusqu'à maintenant, il y a énormément de produits dans la gamme (SAP/R3, SAP/HANA, MySAP, MySAP Business Suite, etc ... et autant de modules dans chacun des produits (FI, CO, MM, ABAP, HR, ... car vu les résultats de la maison-mère SAP, ils se sont intéressés aussi aux plus "petites" structures.

SAP est un monstre pour les grosses industries (SAP R1, R2, R3), les SAP ECC ou les MySAP/MySAP ERP/MySAP Business Suite sont plus pour les "petites" industries/services.

Dire que l'on veut devenir consultant SAP est compliqué, d'autant que SAP existe depuis longtemps, ce qui fait qu'il y a un grand nombre de consultants SAP sur les modules courants (FI, CO, MM, SD, ...) => donc tarifs en baisse et peu sur les modules moins courants (HR, HANA,) => tarifs en hausse et si vous avez une certification sur un module peu courant (explosion du tarif), avec un module courant (explosion aussi, moins importante).

On trouve des consultants SAP FI, CO, SD, MM pour 600/650 euros/jour.
Il y a 10 ans, pour ces mêmes consultants, on affichait 1000/1200 euros/jours.
Pour un module particulier, en ce moment, on trouve des TJM de 850 à 1300 euros.
J'ai vu une mission SAP (il fallait avoir une certification sur 2 modules bien particuliers et peu fréquents), flirter avec un TJM de 1700 à 2000 euros/jours sur des durées de 1 an/3 ans car les projets SAP sont en longueur.

Un développeur ABAP (environnement de développement SAP) en France : 450 euros, alors qu’il y a 10 ans, on était à 800/900. Pourquoi ? Les Indous ... aussi sont formés à SAP par SAP avec des TJM de misères et le client y prend goût.

Je vous invite à consulter ces liens qui expliquent bien ce qu'est SAP et ses modules: https://fr.wikipedia.org/wiki/SAP_(progiciel)

https://fr.wikiversity.org/wiki/Progiciel_de_gestion_int%C3%A9gr%C3%A9_SAP/Les_diff%C3%A9rents_modules_SAP

Pour rappel : il y a intérêt à maîtriser l'anglais car la plupart des formations sont en anglais (existe aussi en français), mais les VRAIS PROJETS de PRODUCTION, sont en anglais et souvent, il faut un véhicule car les projets SAP sont très souvent pour des industries, des sites industriels retirés de la ville, sauf exceptions bien sûr.

Je vous invite également à lire ces 2 ouvrages "The SAP essential Career Guide" (en anglais) : ce livre décrit très bien ce que l'on peut obtenir comme carrière lorsqu'on rentre dans la stratosphère SAP et "Sams Teach yourself SAP in 24 hours" : qui vous donnera d'excellents points d'entrée de base sur SAP et d'y voir plus clair et vers quelle destination SAP vous souhaiteriez vous rendre. Pour les formations SAP, il y a du bon et du mauvais.

Il
y a un point IMPORTANT avant toute chose : commencer par la formation "SAP BASIS", le B.A-BA.

Pour les sites ou les organismes de formations, en présentiel, en distanciel, en ligne ou en e-learning, ce n'est pas cela qui manque.

A noter qu'une formation SAP n'est valable que si elle est délivrée, en organisme de formation, par un formateur certifié SAP (et à jour de ses certifications) et que maintenant, pour obtenir une certification SAP, il faut obligatoirement avoir suivi la formation du module SAP en question dans un centre de formation agréé et certifié SAP.

Vous pouvez aussi la suivre autrement mais elle n'aura pas la même valeur qualitative : la plupart des formations en ligne, ne dispose pas d'environnements SAP à disposition, pour les travaux pratiques.

Si cela peut éclairer votre lanterne,

Yanolezard

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Réponse postée 6 janvier 2025 00:25

Bonjour "freework47692 ",

Avant de se lancer dans une "carrière" de formateur en freelance, il faut déjà savoir si vous êtes apte à exercer ce métier : n'est pas "formateur" qui veut (suivre une petite formation de "formateurs" pour apprendre les bases n'est généralement pas du luxe et je le vois tous les jours : cela fait près de 20 ans que je suis dans "le milieu", aussi bien en tant que "Responsable de Centre de Formation" qu'en tant que "Consultant Formation/Formateur).

Une fois cela dit, ne brûlons pas les étapes :

  • Pour avoir le droit de former des personnes, il faut d'abord obtenir un n° d'agrément (dossier à constituer auprès de la "DREETS" : Directions Régionales de l’Économie, de l’Emploi, du Travail et des Solidarités) : une fois le n° obtenu, cela vous donnera le droit de figurer comme "Organisme de Formation" reconnu par l’État et ce n° DEVRA être mentionné sur TOUS vos dossiers administratifs de formation ...

Lorsque l'on exerce en tant que formateur, il est conseillé (non obligatoire), d'avoir une comptabilité "logique" séparée du reste (on peut mettre en place une comptabilité analytique) de manière à bien distinguer cette activité ... activité sur laquelle la Préfecture va poser des questions si il y a lieu.

Le secteur de la formation professionnelle a largement évolué depuis plusieurs années maintenant, notamment avec les nouvelles normes qualités rattachées (je vous conseillerais de lire attentivement "Qualiopi" (ex-DataDock) : https://travail-emploi.gouv.fr/referentiel-national-qualite-guide-de-lecture-qualiopi pour vous éviter de mauvaises surprises ...).

  • L'activité de formation sera-t-elle primaire, secondaire ou tertiaire ... La Préfecture de votre région sera assez "chatouilleuse" sur ce point ... C'est en effet la Préfecture qui, maintenant "grâce" au référentiel qualité "Qualiopi" va examiner de (très) près le nombre d'heures réellement dispensées aux apprenants et qui peut déterminer vos chances de survies dans le domaine (le "dégraissement" des formateurs et/ou des organismes de formations a commencé avec la mise en œuvre de "Qualiopi" depuis le 01/01/2022 ... et ce n'est pas près de s'arrêter, le but étant d'évincer les "petits" au profits des "gros", les parts du gâteau étant plus avantageuses et durant les 3 prochaines années, il va y avoir la "tornade du ménage").

    Le référentiel "Qualiopi" a "tendance" à servir de "coupeur de têtes d'OF", lorsque la formation occupe une activité, sur l'année, ayant peu de volumes horaires et/ou peu d'apprenants formés et considère (à tort) que ce n'est donc pas de la qualité, mais uniquement comme "beurre dans les épinards" ... donc, attention, à ne pas sous-estimer les services de l’État (la Préfecture regarde de très près vos chiffres comptables de la formation).

Petite astuce en fonction de l'activité :

  • Soit vous êtes freelance "OF formateur" (avec la tonne de paperasse qui va avec ... dont Qualiopi) en direct avec le client final (ou un intermédiaire).

  • Soit vous êtes freelance "OF formateur" et partageur de surcroît : dans ce cas, négociez avec un organisme mandataire de formation, certifié Qualiopi, et qui s'occupera de la partie administrative de vos prestations (y compris la lourdeur Qualiopi), moyennant un service payant (quelques euros) : vous vous concentrerez alors sur vos actions de formation.

  • Soit vous êtes freelance "OF formateur" et passez par un intermédiaire type ESN ou un "Organisme de Formation Professionnelle" ayant pignon sur rue (pas de nom sur le forum par respect de la netiquette) ... vous serez alors un sous-traitant (prestataire) de formation.

  • Lors de votre déclaration d'activité de formation ou de la paperasserie administrative, pensez à indiquer le pourcentage (en activité secondaire) de formation (50%).

    Quel(s) secteur(s) allez-vous adressé ?

  • Le secteur public ne se gère pas de la même façon que le secteur privé (en termes de contractualisation, de normes, de qualifications, de qualité, de nombre d'heures, de publics, ...) ?

    Comment se dérouleront les formations :

    • En présentiel dans VOS locaux (normes "ERP" à respecter) ?

    • En présentiel, dans une salle de location (attention de bien lire le contrat : il y a des pièges à loup où beaucoup "d'imprudents" s'engluent dans la toile de l'araignée) ?

    • En distanciel, depuis chez vous ? (attention : soit VOUS fournissez votre propre plateforme de formations, soit vous PASSEZ PAR une plateforme tout prête ... de nouveau, il y a des pièges à "nigauds" où beaucoup "d'imprudents" s'engluent dans la toile de l'araignée, pour ceux qui ne lisent pas le contrat), notamment "à qui appartient le compte client apprenant ?" ...

    • En "Blending" (distanciel + présentiel) ?

    • En "e-Learning" (attention : soit VOUS fournissez votre propre plateforme de formations, soit vous PASSEZ PAR une plateforme tout prête ... de nouveau, il y a des pièges à "nigauds" où beaucoup "d'imprudents" s'engluent dans la toile de l'araignée, pour ceux qui ne lisent pas le contrat), notamment "à qui appartient le compte client apprenant ?" ...

      Préparation des actions de formations :

    Vous indiquez vouloir former aux techniques de "Gestion de Projets en mode Agile" ... plusieurs cas de figure :

  • Soit la formation est délivrée avec un support éditeur "re"(connu).

  • Soit la formation est délivrée avec vos propres supports (manuel + cahier d'exercices)

    -> prendre en compte le temps de fabrication / écriture / relecture / corrections (quasiment jamais pris en compte dans le prix et rejet net de l'acheteur si vous lui soumettez l'idée, sauf si vous négociez finement sur du volume annuel) ainsi que le dépôt (à l'INPI par exemple, en Copyright, TM ou plus simple en horodatage/cachet électronique) de vos créations ... ce qui vous évitera bien des déconvenues ... tordues et coûteuses).

  • Soit la formation est délivrée avec un support commercial "lambda".

  • Soit la formation (bien souvent certifiante par l'éditeur) est délivrée avec LA méthodologie et LE(S) support(s) de l'éditeur en question. Dans ce cas, l'intervenant doit être CERTIFIE (et être à jour de ses certifications si il veut continuer à délivrer cette formation en terme de qualité et répondre aux questions des apprenants qui peuvent demander à passer la certification suite à la formation délivrée).

Si vous avez l'âme du combattant, vous pourrez aussi concevoir vos propres formations (certifiantes ou pas) et les faire inscrire/enregistrer (processus assez longuet, parsemé d'embûches mais enrichissant) au "RNCP" (Répertoire National des Certifications Professionnelles) : https://www.francecompetences.fr/ ... ce qui permet entres autres de pouvoir, pour les apprenants, utiliser le CPF par exemple.

Attention au piège suivant :

Les non-anglophones ont une fâcheuse tendance à vouloir "franciser" les formations, dont les supports et ou la présentation ont été rédigés en anglais : pour l'avoir déjà vu à plusieurs reprises et vécu aussi, il faut faire très attention, notamment lorsqu'il s'agit de formations certifiantes, car le trouble peut apparaître chez certains apprenants ... dans de moindres circonstances, les mécontents se feront un malin plaisir à remonter l'information à l'éditeur et à vous "casser la baraque" ....ce qui pour certains organisme est radical : vous devenez "persona non grata" et exit direct.

La tarification :

  • Soit vous répondez à un AO (Appel d'Offres) : service publique ou sociétés privées - libre à vous de fixer vos tarifs et vos conditions.

  • Soit vous démarchez le client final (une PME par exemple - avec ou pas un service formation) - libre à vous de fixer vos tarifs et vos conditions.

  • Soit vous répondez à une demande d'une ESN ou d'un "Gros" organisme de formation : présentez vos tarifs et négociez en tant que prestataire.

La tentation est grande de vouloir "gonfler" un peu les tarifs : toujours vérifier ce qui se faire sur le marché (une petite recherche sur les catalogues des "gros" OF ne sera pas du luxe), cela permet d'orienter et si vous êtes un excellent professionnel (ce que personne ne doute ici), le "petit plus" peut se négocier (avec modération ... car dans ce domaine de formation, vous êtes pléthores ou légions et certains affichent autant de certifications qu'un général de division avec ses plaques de médailles).

Les formations se négocient en Hors Taxes pour la plupart des cas ... et les services de formation sont généralement bien renseignés ... il est assez mal perçu le fait d'avoir essayé de les "empapaouter" et cela peut vous coûter l'image et le billet.

Il n'y a pas de tarification standard : il y a le prix du marché (cf. catalogues des OF) : soit vous être brillant et vous pouvez être "au-dessus", soit un "gugus" veut se faire de la marge sur votre dos (malheureusement, des brebis égarées et galeuses existent aussi dans ce domaine).

Il existe deux modèles :

  • l'inter-entreprise (avec un risque de "tout-venant") basé sur du volume (salles de 15/20 personnes), avec autant de supports (marges bien malhonnêtes souvent constatées) ... en termes de résultat andragogique de formation, c'est très "relatif" (souvent, l'inter-entreprise, sert pour le passage de la certification à la fin des 5 jours de cours);

  • l'intra-entreprise (ciblée, aux "petits oignons" du client, précise, pointue) : généralement, peu de personnes à former en même temps (salle de 10 personnes maximum ...par expériences, j'augmente le nombre de groupes, donc la durée totale de la prestation, mais avec 5 à 8 personnes, le résultat est nettement meilleur ... n'oubliez pas que sur une journée (entre 6 et 7 heures, pauses comprises), l'apprenant ne retient REELLEMENT qu'un maximum d'1/3 de ce qu'il aura appris).

  • Formation inter-entreprise livrée à 2000 euros HT / personne sur 3 jours :

    • le commercial (qui ne te connait pas) va marger (beaucoup) sur le support de l'éditeur et sur la formation (20 % à 35%), le freelance sera à 1300 € HT/personne.

    • le commercial (qui te connait un peu) va marger (moins) sur le support de l'éditeur et moins sur la formation (20 % à 25%), le freelance sera à 1500 € HT/personne.

    • le commercial (qui te connait bien) va marger sur le support de l'éditeur et sur la formation (15 à 20%), le freelance sera à 1600 € HT/personne.

  • Formation intra-entreprise livrée sur 3 jours : tout dépend du client, du volume, de la spécificité, du formateur (accompagnant), de l'entretien client, ....

    Certains organismes jouent la carte du volume d'apprenants (forfaits), d'autres sur le nombre exact (2, 3, 4 5, x), d'autres vont vers le contrat cadre (tarifs négociés à l'année, sur 1 ou plusieurs formations).

    Derniers éléments :

  • Nous sommes des adultes et l'on forme des adultes, nous pratiquons l'andragogie (la pédagogie concerne le monde des enfants ... on va me dire que les "adultes" sont restés parfois ou souvent de "grands enfants").

  • Les personnes à former ne sont plus des "stagiaires" : ce sont des apprenants.

  • Le formateur doit être humble, être toujours au top de sa profession, savoir transmettre à travers son andragogie ses compétences et ses connaissances et surtout être à l'écoute des autres sans "raconter sa vie".

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes dans le clair-obscur de la formation professionnelle des adultes,

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée 19 décembre 2024 21:15

Bonjour "ann-999",

Une des bonnes questions à poser serait "de quoi ai-je envie, dans ce domaine, pour m'épanouir, pour faire mon métier" en lieu et place de "qui donnent envie aux recruteurs" ... car si vous exercez un métier/une fonction qui ne vous plait pas plus que cela et que c'est juste pour "faire envie" aux recruteurs .... je réfléchirais à 2 fois.

Bien à vous,

Yanolezard.

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Réponse postée 19 décembre 2024 20:41

Bonjour "Droopyann",

  • L'andragogie concerne les adultes, la pédagogie concerne les enfants (à moins que l'on ne considère les adultes comme des "grands enfants", dans ce cas, il s'agit d'un autre problème).

Anecdote récente avec un centre de formation :

  • "Nous vous avons demandé un dossier pédagogique et le document reçu n'en est pas un ... il est écrit "Dossier Andragogique". Merci de bien vouloir rectifier le titre."

  • Réponse : "Si vous ne savez pas ce qu'est l'andragogie, alors révisez vos connaissances. Cela fait bien des années que je fais des dossiers andragogiques pour les formations en France, et même pour des formations en Europe, depuis 1995. Je pense, au final, que je ne travaillerais pas avec vous, nous ne sommes pas sur la même longueur d'onde (et j'ai bien fait : par un autre moyen détourné, j'ai pu récupérer les conditions tarifaires qu'ils avaient refusé de m'envoyer .... les prix pratiqués étaient du même genre que ceux pratiqués par les "Fossoyeurs de l'Etat" (les fameuses formations "en volumes" pour faire des belles statistiques et montrer que PE/FT savaient former des "tonnes" de demandeurs d'emplois en un temps record, sur les nouvelles technologies comme l'IA, le Big Data, ou la Blockchain en 1 mois.

    Il y a encore des formateurs/OF qui n'ont toujours pas été réglés par l'Etat (cela fait maintenant environ 6 ans, pour un paiement annoncé entre 90 à 120 jours), certains de ces formateurs ne sont malheureusement plus là pour en parler (RIP Messieurs/Dames).

  • 67 € : pour certaines actions de formations récurrentes, c'est inclus.

  • Lorsqu'il y a du spécifique, j'arrive à négocier un peu de temps : c'est ma personne qui fait tout le travail (méritant rétribution) et eux ne font rien, des fois, c'est "Niet, Nada, Rien, Nothing, Nicht, ...

  • Via l'INPI, il y a plusieurs offres (pour le coût, ça dépend de ce que l'on veut faire : une "trademark", un filigrane, une enveloppe soleau, un horodatage/cachet électronique ..., du volume, du niveau/périmètre juridique que vous voulez faire porter, pour une année ou pour 2, 3, 5 ans).

    Si c'est de l'horodatage/cachet avec dépôts à l'APP, c'est de l'ordre de quelques centimes d'euros par document (si vous avez des cahiers d'exercices, ou d'atelier, ... ), cela peut être aussi un dépôt chez un Commissaire de Justice (ex - Huissier), ils ont des offres intéressantes,

    L'avantage du cachet/sceau/horodatage en avancé ou qualifié : sa validité partout dans le monde, sa simplicité de mise en oeuvre, les preuves de dépôts ... encore faut-il prendre le bon service.

    Pour ma modeste contribution,

    Yanolezard.

Salut "Droopyann",

Je vous/te cite : "Pour le fait de devenir formateur en école d'ingé, c'est super intéressant mais plutôt mal payé. Surtout, ça demande un investissement de préparation des cours, généralement non rémunéré. Donc c'est pas simple."

Cela fait approximativement un peu de 15 ans que je pratique la formation en école d'ingénieur et autres du même genre (voire même en Faculté) : cela dépend de nombreux facteurs : si le volume est assuré (noir sur blanc, signé/tamponné), à l'année, je négocie un tarif au forfait, avec quelques ajustements : j'inclus, par exemple, la "location" de certaines de mes certifications/accréditations, pour certaines formations précises, en fonction aussi du nombre de personnes : au-delà d'un certain nombre de trombines et de jolis minois, le tarif n'est pas le même, si apport de matériels spécifiques ... j'arrive à 67 euros TTC de l'heure et c'est plutôt bien, public ou privé.

Si ce sont des formations par des "OF" (organismes de formations), dans ce cas, ce n'est pas la même musique, ni les mêmes attentes, ni les mêmes conditions (exemple : une formation de 3 jours, en cybersécurité stratégique peut se négocier différemment).

Une chose est sûre, par contre et je rejoins votre/ton commentaire : il y a un gros travail de préparation, de conception (à la fois andragogique et "technique", préparation des ateliers, dépôts juridiques des manuels, ...) et si on est "astucieux", on s'arrange pour réintégrer cette partie, lorsqu'une nouvelle demande pointe son nez. "business is business" et il n'y a pas de petite fortune ... 😀

En espérant avoir contribué aux réponses.

Yanolezard.

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Réponse postée 15 décembre 2024 21:16

Bonjour "Je suis un pseudo" (il va falloir que je m'habitue à vos changements 😀)

1/ Je rejoins le propos de notre Estimable et Estimé "VincentB_" : juridiquement parlant, un "freelance/indépendant/travailleur-à-façon et autre vacataire"' est un sous-traitant, vis-à-vis du donneur d'ordre.

Je vous cite :

"EDF, Engie, etc, sont des grands comptes et grandes entreprises, mais ne sous-traitent pas, ni pour réaliser leurs produits, ni pour demander une expertise comme les gens comme moi, qui viennent faire des audits de code, des audits de sécurités ect. Ils contactent en direct."

Pas tout-à-fait d'accord avec ce que vous dites : j'ai toute une malle de projets, de produits et d'expertises de "haut-vol" sous-traitées à des ESN (je ne donnerais pas de noms, ni de projets, car je respecte les NDAs et la déontologie).

2/ Ayant travaillé pendant un certain nombre d'années en interne chez "Electricité & Co/Cie", puis en prestations freelance, par la suite, vous seriez surpris du nombre de développeurs "Web" et "Logiciels" portés, soit par des ESN, soit par des cabinets de recrutements, soit par des "nourrissons de tous poils" et j'en passe et des meilleures, il y a aussi des ESN "Dev" qui ont "pignon sur rue" dans certains domaines et des freelances aussi.

Les bons de commandes, je les ai vu bien en clair et j'en vois toujours passer, et des sérieux.

(PS : j'ai "piloté" de nombreux développeurs , non EDF, spécialisés en logiciels embarqués pour des produits quasi conçu et développés à 99 % par les les externes, pendant très longtemps)..., il ne faut oublier que l'informatique est un outil pour eux et ne sont pas des éditeurs de logiciels.

3/ Dans le domaine industriel, EDF possède effectivement quelques équipes Dev internes, mais beaucoup ne le sont pas ... Je connais bon nombre d'ESN, des petites comme des grandes, qui sont présentes depuis des lustres, avec une "armée" de développeurs en tout genre, et je peux dire qu'il y en a des excellents, voire des très bons, qui frisent la "haute altitude" (ce n'est pas la majorité, mais lorsque vous avez un gus, en face de vous, capable de vous concevoir, développer et programmer un analyseur de spectre logiciel, "en se morfalant un kouign-amann pour 6, en moins de temps qu'il ne le faut pour le dire", on change un peu de discours).

Oui, quand il ne peuvent pas faire autrement, ils passent par le "marché parallèle" (en direct, avec les freelances). Et pour respecter un certain nombre de règles et de processus, la tendance "Direct Free" est à la baisse et même si les "pointures" sont là pour les accompagner, ils doivent passer par un "chausseur" pour des questions notamment d'interchangeabilité juridique ...(si vous êtes aux "abonnés absents" et que vous avez une place importante dans la chaîne, le projet, lui, ne s'arrête pas et parfois, ça peut faire mal).

Bien cordialement,

Yanolezard.

Forum : Cybersécurité
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Réponse postée 15 décembre 2024 20:33

Bonjour "aszik",

Je suis entièrement d'accord avec votre point du vue : "théorie, sans pratique terrain, vaut moins qu'un pet de lapin".

Pour avoir expérimenté plusieurs fois ce genre d'exercice, on s'aperçoit que cela ne sert qu'à avoir un "bout de papier" qui n'a aucune valeur.

Je reçois des CVs avec des mentions "Maîtrise ou expertise, certifié "Lead" ou "Implementor" de l'ISO 27001/27002 et 27034 (et aucune expérience relative), je "p*ouffe un peu ..

"Puisque vous êtes certifié ISO/IEC 27034, pouvez-vous me dire comment on sécurise les bibliothèques cryptographiques utilisées dans la NIST 800-53 ?' ..... Tic ... Tac ... Tic ... Tac ...Grand blanc .... White Noise ... Imparable (je connais la réponse, mais l'interlocuteur en face, non !).

Next ...

Bien à vous,

Yanolezard.

Tu mentionnes Skills4All, et c’est vrai que les organismes de certification jouent un rôle clé. Perso, je pense qu’il est aussi intéressant de compléter ces cours avec des ressources pratiques, comme des retours d'expérience ou des outils pour structurer ses démarches. Dans un projet récent, on a utilisé une plateforme qui simplifie la gestion documentaire et aide à suivre la conformité en temps réel. C’est le genre de trucs qui permet de relier théorie et application, surtout quand on bosse avec des équipes multi-domaines.
__________
Mon site à voir via ce lien

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Réponse postée 15 décembre 2024 20:20

Bonjour "Je suis un pseudo",

Si vous ajoutez le développement en ".NET" , comme indiqué, (C# ou un autre langage comme Delphi) ... ça fait du logiciel ET du Web.

PS : pour faire un langage "Web", il faut d'abord créer le "logiciel" qui va produire le langage Web.

Bien cordialement,

Yanolezard.

Bonjour,

Juste comme ça mais Angular et quelques autres cités, ne sont pas fait pour faire du logiciel, mais du web.

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Réponse postée 15 décembre 2024 20:13

Salut "Droopyann",

Je vous/te cite : "Pour le fait de devenir formateur en école d'ingé, c'est super intéressant mais plutôt mal payé. Surtout, ça demande un investissement de préparation des cours, généralement non rémunéré. Donc c'est pas simple."

Cela fait approximativement un peu de 15 ans que je pratique la formation en école d'ingénieur et autres du même genre (voire même en Faculté) : cela dépend de nombreux facteurs : si le volume est assuré (noir sur blanc, signé/tamponné), à l'année, je négocie un tarif au forfait, avec quelques ajustements : j'inclus, par exemple, la "location" de certaines de mes certifications/accréditations, pour certaines formations précises, en fonction aussi du nombre de personnes : au-delà d'un certain nombre de trombines et de jolis minois, le tarif n'est pas le même, si apport de matériels spécifiques ... j'arrive à 67 euros TTC de l'heure et c'est plutôt bien, public ou privé.

Si ce sont des formations par des "OF" (organismes de formations), dans ce cas, ce n'est pas la même musique, ni les mêmes attentes, ni les mêmes conditions (exemple : une formation de 3 jours, en cybersécurité stratégique peut se négocier différemment).

Une chose est sûre, par contre et je rejoins votre/ton commentaire : il y a un gros travail de préparation, de conception (à la fois andragogique et "technique", préparation des ateliers, dépôts juridiques des manuels, ...) et si on est "astucieux", on s'arrange pour réintégrer cette partie, lorsqu'une nouvelle demande pointe son nez. "business is business" et il n'y a pas de petite fortune ... 😀

En espérant avoir contribué aux réponses.

Yanolezard.

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Réponse postée 15 décembre 2024 19:52

Bonjour "Free-Worker-Starter",

Il aurait été judicieux de présenter simplement ce qu'est "NinjaOne" (qui est par ailleurs, un excellent produit, venant d'Allemagne - Berlin, en 2013).

Le rôle de NinjaOne : plateforme de gestion automatisée des terminaux, en mode Saas, pour terminaux Windows/Mac/Linux, écosystème VMWare, Infrastructure Cloud/tout ce qui est accessible via SNMP - Simple Network Management Protocol), Android, iOS, etc.

Petit rappel SNMP : Simple Network Management Protocol (en abrégé SNMP), en français « protocole simple de gestion de réseau », est un protocole de communication permettant aux administrateurs réseau de gérer les équipements du réseau, de superviser et de diagnostiquer des problèmes réseaux et matériels à distance.

  • La gestion des terminaux (industriels, ordinateurs de bureau, serveurs, clients légers, smartphones, tablettes, ordinateurs portables).

  • La gestion des appareils mobiles (Mobile Device Management : un peu différent des "MdM" traditionnels).

  • La gestion des vulnérabilités liées aux terminaux

  • La gestion des correctifs relatifs à ces terminaux (mais pas que : il est possible également de mettre à jour des firmwares).

  • La sauvegarde des données des terminaux.

  • La gestion des accès à distances de ces terminaux (quelques restrictions ou plutôt exceptions).

  • Le renforcement de la sécurité terminaux (avec risques et impacts en temps réels).

Une petite recherche rapide d'intégrateurs, avec votre ami préféré, devrait vous apporter la solution (la France est un vaste territoire).

PS : je l'ai conseillé à l'un de mes clients, qui en est pleinement satisfait (gestion de 750 terminaux aussi divers que variés, aussi "obsolètes" que "tout neufs") et que l'on a intégré, comme des grands, en équipe ... c'est assez simple et vous pouvez même vous former à la solution et devenir partenaire.

En espérant avoir contribué à éclairer quelques lanternes ...

Bien cordialement,

Yanolezard.

Forum : IA
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Réponse postée 4 décembre 2024 19:29

Bonjour à toutes et à tous,

De plus en plus fréquemment, la population des développeurs/développeuses (systèmes/applications) se tournent vers la "facilité" d'une sorte d'Intelligence Artificielle (IA spécialisée) pour produire (pi*sser) du code informatique.

Cela amène plusieurs questions :

  • La créativité ferait-elle défaut ?

    Dans un "lointain" passé, les louanges autour des "Analystes-Programmeurs", des "Analystes-Développeurs", des "Analystes-Réalisateurs" étaient au firmament et justement, les organisations se les "arrachaient' car ils étaient ou représentaient ce qui se faisait de mieux en terme de créativité en programmation informatique (et il est loin ce temps ... qu'il faudrait peut-être songer à faire ressurgir).

  • Cette "IA" spécialisée est-elle un "aidant" ou un "accompagnant" ?

    "Aider" : faire à la place de ...

    "Accompagner" : ne pas faire à la place de ... guider pour trouver la meilleure solution.

    Au final, c'est beaucoup de facilité .... un prompt bien "enveloppé" et en "2 coups de cuillère à pot (ou de louche), l'IA déverse un flot et un flux de codes (parfois énigmatiques voire hallucinogènes ou halogènes selon la nature du modèle LLM), qu'il faut souvent retoucher (comme la couturière avec ses ourlets).

Sans être "provocateur", une "IA Générative" (IAG) est un outil parfait pour les "fainéants du code plus ou moins propre".

L'IAG va "réfléchir" à votre place, produire ou pas de "alambiqué", plus ou moins optimisé/profilé, avec ou sans bugs, allant chercher des dépendances sans trop les regarder, ne pas vérifier si un code a été banni pour plein de justes raisons ...

Et la maintenance de ce code, va-t-elle être aussi simple à faire que cela, à tous les niveaux de l'organisation ... Il suffit d'un humain, d'un grain de sable, d'un caillou ou d'une défaillance du modèle, de l'algorithme, d'un paramètre pour que le code généré s'abandonne joyeusement, ruisselle gaillardement dans les antres et les affres d'un SI pour participer à la fête.

  • L'IA Générative (même spécialisée) reste une "machine" ... elle produit du code programmatique à la demande, sans rien ... demander en retour, pas même une rétribution ou une modeste contribution ...ce qui pose, en soi, plusieurs interrogations :

    1/ En bonne logique, tout travail méritant salaire/rémunération : une partie du TJ devrait être attribuée à l'IAG puisque c'est elle qui a "travaillé" à votre place.

    2/ La mention "générée par l'IAG "xxxx" devrait figurer quelque part dans les entêtes ou pieds-de-page des fichiers sources ou dans le code lui-même, ne serait-ce qu'éthiquement parlant ... car bon nombre d'individus s'attribue généreusement la propriété intellectuelle de cette production et déontologiquement, devant son propre miroir, cela pose question.

    3/ Quid de la recherche en/de la responsabilité en cas de gravité ?

    Officiellement, l'IA n'est que virtuelle (une suite "machiavélique et gargantuesque" de paramètres, d'algorithmes et de modèles ... dénuée de toute humilité, de tous remords ou de regrets, aussi froide et glaciale que la lame du po*ignard d'un nageur de combat de la Marine Nationale).

    Que se passe-t-il, se passera-t-il ou se passerait-il si une erreur fatale due à cette génération de code mettait en péril toute ou partie d'un SI, standard ou industriel, que les "dégâts" directs, indirects ou collatéraux concernent des octets ou des humains (l'Homme est loin d'être parfait, surtout lorsqu'il manipule une machine dont il ne maîtrise pas le fonctionnement ... L'IAG, c'est aussi cette part de mystère .

Questions philosophiques ? Éthiques ? Déontologiques ? Conscience ou Inconscience ?

Le débat est ouvert ...

PS : j'utilise aussi de l'IA, des Systèmes-Experts, mais uniquement selon des uses-cases bien précis, mais si je peux m'en passer, je le fais avec plaisir et créativité.

Bien cordialement,

Yanolezard

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Réponse postée 4 décembre 2024 18:36

Bonjour "Freelance91",

Cette organisation fonctionne de plusieurs manières :

  • Officiellement, les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon sont devenus "persona non grata" depuis plusieurs années.

  • Officiellement, les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon doivent "signer" un CDI avec un intermédiaire (ESN, CR) pour prouver qu'ils sont bien "employés" par ces "loufias" avec une jolie attestation URSSAF (attestation d'1 journée à 5 jours, histoire de ... ) et une fois le contrôle passé, le "tour de passe-passe" s'efface collégialement et chacun revient à sa place ... seule contrainte : l'intervenant doit toujours se méfier et dire, même sous la "tort*ure : "Oui, Monsieur/Chef ! je suis bien salarié du "loufia x".

  • Officieusement, lorsque ladite organisation ne trouve pas " chaussure à son pied" ouvre le cadenas du "marché alternatif" (comprendre "aller à la pêche au prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon, discrètement ... bouches-à-oreilles, "petits réseaux entre amis", ...), le TJ (toujours raisonnable n'est pas véritablement un problème) et lorsque la cible est repérée, identifiée, vérifiée, le reste n'est que futilité.

    Je me rappelle que les prestataires indépendants/freelances/travailleurs à façon font partie de la fameuse et énigmatique "marmite des 11% ... invisibles".

    Pour la petite histoire, certains "DBA Oracle / DB2 / Sybase Level 3 or 4" indépendants sont "assis" confortablement dans cette organisation depuis des lustres, sans inquiétudes et seront encore là jusqu'à leurs retraites avec des TJ frôlant l'insoutenable (pour certains) depuis qu'ils sont à bord du "Navire Amiral" ... Petite anecdote arrivé à l'un deux (que je connais) : dans le parking central, il lui a été gentiment demandé de "déplacer" son "monstre de puissance" vers une place plus appropriée et moins visible du reste des collaborateurs du parking.

    Tout ce beau monde est parfaitement au courant de "comment ça marche" et des "contraintes" imposées.

    Ce genre de pratiques n'est pas spécifique à ladite organisation et beaucoup d'acteurs du même genre, à secteurs/domaines identiques procèdent exactement de la même manière.

    Bien cordialement,

    Yanolezard

Officiellement ils ne prennent plus d'indépendants depuis des années, non ?

Forum : Votre activité
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Réponse postée 29 novembre 2024 20:58

Bonjour "FreeWorker-777",

La suite n'est que futilité ...

  • Tous les 6 mois, ils (re)publient des demandes de ressources avec les mêmes âneries (copier/coller).

  • Tous les 6 mois, mes amis et moi-même répétons aux mêmes "cabinets, ESN, et autres profiteurs - qui n'entravent que couic", la chanson des "Grognons Grognards de l'Empereur".

  • Cela fait maintenant 3,5 ans que les vents de travers sont amplifiés par "Force 3 à 5" (météo marine en AM ou ondes courtes, la plus fiable)

  • Quant aux dérives, c'est pire que l'Âge de Glace et les copains de "Sid le Paresseux".

  • Le budget est plombé car il faut sans cesse boucher les trous dans la cale, qui ressemble aujourd'hui au bateau des pirates dans Astérix.

    ("Tu sais ce que c'est que ça ? (en s'adressant à César, le capitaine pirate lui tend un morceau de planche du pont inférieur) ...

    Non, mais tu vas me le dire ... Eh bien, c'est tout ce qui me reste de mon bateau, mi, un honnête pirate ...

    César, en colère : "Et bien, tu peux te le coller quelque part, ta planche, ton bateau et les coquillages avec !!!!).

(Mal)Heureusement, ils ont les instances étatiques et internationales "aux f*sses (comme les brigands avec la Police) et c'est plutôt la "course à l'échalote" (ou aux oignons) car là (sans jeu de mot inapproprié), ça commence à piquer sévère, étant donné que le budget initialement prévu n'est pas élastique et encore moins en toc.

Heureusement, 1 ou 2 internes (que l'on avait "extirpés" et rudimentairement formés aux bons moments) ont repris un peu de "poils de la bestiole" (ils nous interrogent parfois sur quoi faire ou aller et on prend le temps de leur expliquer quoi faire/dire/répondre/écrire/lancer/contrôler/auditer, sans trop "r"éveiller les soupçonneux ...qui doivent se douter qu'il y a "anguille sous roche" ... des phases de "steppes" qui apparaissent, sorties comme "un lapin d'un chapeau" n'est pas que pure coïncidence.

Et comme ces 2 projets ne peuvent pas vivre l'un sans l'autre et que certaines populations "d'Huiles" sont sous pression, au regards des lois internationales .... il y a double dérives ... ils sont passés de 3800 j/h à + de 5000 j/h, avec moins de brouzoufs (à ce rythme, ils ne pourront plus prendre un "taxi pour Toubrouk").

A l'époque de "notre débarquement" et une fois les pieds sur le "plancher des vaches", nous leur avions conseillé ce livre (on y apprend beaucoup de choses : https://www.amazon.fr/TRAVAILLER-LINDISPENSABLE-GUIDE-SURVIE-BUREAU/dp/2350760715 )

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 29 novembre 2024 20:14

Bonjour "NSV",

En ce qui me concerne, il n'y a aucune réponse d'un outil d'IA.

Bien cordialement,

Yanolezard.

Sympa les réponses de chatgpt...

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Réponse postée 29 novembre 2024 12:28

Bonjour "Erwann P.",

Je rejoins votre propos sur : " Mon expérience me donne l'impression que pas mal d'internes se sont souvent sentis menacés par ma prestation".

Cela m'est arrivé aussi il y a quelques mois ou années maintenant, pour un groupement assurantiel fort connu, dans une région où le fromage de chèvre est à l'honneur tous les jours.

Les sujets à traiter étaient assez "touchy, velu, trappu, chelu" et peu de personnes (une poignée dans une petite main) en France étaient en mesure de les traiter convenablement, en évitant les banderilles, les peaux de bananes et les herses anti-chars.

L'équipe cliente nous a réuni (1 freelance par coin de France, soit 4 personnes + 1 directeur d'ESN ayant vendu la solution) pour traiter de ces sujets complexes (on parlait de 3800 jours/homme), mais nous avait fort mal évalué et n'ont pas pris le temps de parler avec nous ... quasi "carte blanche".

Non seulement, le dérive de ce projet ouvert depuis 17 mois, avait du "plomb dans le bois", en "serrant de près", on a ramené le bateau dans la ligne de vent en 4 mois, remis tout le monde (90 personnes) autour de la "table des cartes et des instruments" avec instructions/actions précises et chirurgicales pour chacun des matelots => l'équipe globale interne était "aux abois" et complètement "aux fraises ou aux champignons", totalement dépassée par les évènements ... on a bouclé le projet stratégie/business/fonctionnel avec 1 mois d'avance et on s'est fait sortir (l'arrête d'un conteneur, non signalé et non répertorié, en pleine nuit, dans la coque d'un trimaran de course, plein nœuds ... pas de détail) : un directeur visiblement agacé et énervé n'a pas apprécié que l'on vienne inopinément lui "subtiliser" les honneurs du projet et a balancé ledit conteneur à la "baille" ... on s'est tous fait sortir pour (il faut être gonflé comme Vahiné) : association de sous-traitance en freelance ayant un but de surclasser l'équipe interne du projet "xxxx" et "zzzz" par excès prouvé de compétences trop avérées ... depuis, nous sommes considérés comme "personae non grata" pour ce groupement ... comme quoi, il faut de tout pour faire un monde.

Bien cordialement,

Yanolezard.

Bonjour,

Je ne sais pas si c'est une question de jalousie.

Mon expérience me donne l'impression que pas mal d'internes se sont souvent sentis menacés par ma prestation.

Mon interprétation est que vraisemblablement je les gênais parce que:

1) Mon investissement et la qualité de mon travail rendait évident que le leur n'était pas terrible.

2) Ils sont dans une démarche de recherche de pouvoir au sein de leur entreprise et mon attitude intègre, visant à rendre transparent toute chose dans le process afin de mettre en place une vraie amélioration continue, gâchait l'impression de perfection qu'ils voulaient donner et leurs discours pour se faire mousser auprès des managers.

Il faut du courage pour être indépendant, ça forge le caractère. Il est possible que tu tombes sur des personnes qui n'ont pas ce courage et qui le vivent mal (l'envie est là mais ils n'arrivent pas à se lancer, peut-être par peur ou parce qu'intérieurement ils savent qu'ils n'en sont pas capables). S'ils voient que de ton côté tu gères ça très bien ça peut les rendre aigris et entrainer ce genre d'attitude.

Pour gérer ce genre de situation ça dépend du niveau de dépendance que tu as avec cette personne dans ta mission. Le plus simple est de prendre de la distance, voir de l'isoler au sein même de l'entreprise en te rapprochant d'autres internes qui t'apprécient et qui lui mettront la pression vis à vis de son attitude à ton égard.

On est également dépendant de la politique du client final. Celui chez qui je suis actuellement met clairement les internes au dessus des prestataires alors que j'ai été chez des clients qui communiquaient pour qu'il n'y ait pas de discrimination entre internes et presta et étaient très vigilants sur ce point.

Si le client final voit les prestataires comme des larbins pour répondre aux ordres des internes qui ne foutent rien, passent leur temps en réunion et comptent sur les autres pour produire et faire avancer les choses, il faut aller voir ailleurs.

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Réponse postée 29 novembre 2024 12:00

Bonjour "ArmLamba",

Je vous rejoints sur certains points. Néanmoins, pour les marchés que j'adresse, je rencontre plusieurs situations :

  • "La patte dans Azure et la bureautique collaborative" : pas toujours vrai, en fait ... Certains clients veulent rester "compliant" dans le "libre" échange de documents bureautique et prennent de l'O365 mais pour le reste, pas question d'Azure (il y a de multiples raisons propres aux organisations)

  • Pas besoin d'être "à l'échelle conséquente" pour passer sur de l'AWS ou du GCP : j'ai des petits éditeurs de logiciels de gestion ou d'autres secteurs (startups) ou TPE/TPI/PME/PMI/ETI qui prennent de l'AWS car c'est fiable, éprouvé, sécurisé ... en 10 ans, j'ai dû avoir un "blocage" de sécurité de 2 heures pour de l'IIoT ... En 2 ans, j'ai eu 20 blocages d'IIOT sur Azure).

  • De plus, AWS est plus "ouvert" à la discussion sur les aspects commerciaux et juridiques (éprouvés plusieurs fois avec un taux de réussite, en toute humilité , de l'ordre de 65%, ce qui est déjà bien, vu la qualité de leurs contrats - et je connais la "boutique internationale" qui leur valide leurs contrats (ayant travaillé pour cette même "boutique" en filiale française).

  • Pour GCP, j'ai des organisations de toutes tailles, plus orientées services/dev ou alors qui demandent du "lourd" (compute/storage à hautes performances, et pas forcément dans la durée ... la dernière en date sera pour de l'IA non générative et des systèmes-experts en Prologue).

  • Pour l'OCI, je ne traite pas encore (mais ce n'est pas mon chemin)

  • Pour de l'OVH, Outscale et autres SecNumCLoud, j'en fais de plus en plus et pour négocier les contrats, c'est nettement plus facile, la discussion est plus ouverte (commerciale et juridique).

Je n'ai pas la "science infuse", très loin de là ...Ce que je relate ici ne sont que mes expériences et les pulpes de fruits recueillies avec soin de ces mêmes expériences, tout au long de mes pérégrinations et autres tribulations respectives et je conçois parfaitement que d'autres avis divergent, chacun voyant "midi à sa porte", qu'il soit de nature international, européen, national, régional, départemental ou local .. je suis sur le terrain du quotidien, assez en présentiel pour rencontrer les prospects, les futurs clients et répondre à des besoins au mieux de leurs attentes, hors des sentiers battus par les médias à chiffres.

Bien cordialement,

Yanolezard.

Azure c'est un peu la solution de facto dès lors que l'entreprise a une patte dans l'écosystème Microsoft...donc hors startup, à peu près tout le monde :D

Pour être dans une structure qui fait du multi-cloud à une échelle assez conséquente, on a du AWS, Azure, OCI (oui oui), et bientôt GCP

Les applis font à peu près la même chose sur AWS/Azure, pour les applis "toutes justes sorties de l'ESX" qui font du compute/DB classique, AWS ou Azure on s'en fiche un peu. Le serverless c'est une autre histoire, j'en fait beaucoup sur AWS c'est un plaisir. On a vite besoin de compétences de dev/data/IaC pour gérer tout ça à l'échelle (et ouais, faire tourner du terraform dans Lambda, 1000 déploiements en parallèle c'est magnifique). Azure je ne sais pas ce que ça donne. Je crois que les services y sont, mais ça se tire la bourre surtout sur les perfs.

La grosse différence que je vois au quotidien : il y a TOUJOURS des incidents sur Azure, c'est un truc de fou. AWS c'est assez stable, sauf une fois par an où y'a vraiment un gros plantage type IAM qui déconne et qui impacte toute la planète (bah alors le well architected? blast radius de type nucléaire?)

Le truc qui me saoule avec le cloud chez tout le monde c'est qu'il n'y en a que pour l'IA. Tout tourne autour de l'IA. Pendant ce temps, il y a de vrais progrès à faire en terme de sécurité, infrastructures distribuées, et observabilité...Quand le serpent aura fini de se mordre la queue à s'entraîner sur ses propres résultats peut-être qu'on reviendra à des choses intéressantes

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Réponse postée 29 novembre 2024 11:33

Bonjour "Free-Worker-Pharma",

Les procédures de réponses aux Appels d'Offres (AO) pour les freelances ont été simplifiées et ne demandent plus la constitution d'un énorme dossier de candidatures où il manque toujours un papier ou un formulaire avec un tas de justificatifs divers et variés à fournir, avec un tube de "Doliprane" à proximité de votre table de travail.

Résultats : abandon des dossiers en constitution et possible manque du business (les meilleurs, arrivant au bout du parcours, mettaient quelques jours, voire semaines de "jus d'énervements") ... L’État n'avait pas prévu, à ces moments-là, que des (très) petites structures pouvaient répondre au même titre qu'un "habitué", d'où cette "simplification" certes arrivée un peu sur le tard, mais bénéfique pour le business, si choix de travailler avec les collectivités locales, territoriales ou nationales (attention, il y a des spécificités propres, notamment sur les conditions de paiements, et qui ne sont majoritairement pas trop négociables ... pour la petite histoire, si vous êtes en avance sur la facturation électronique, vous avez beaucoup plus de chance que votre candidature se trouve remontée vers le haut d'une pile).

Une des seules contraintes aujourd'hui à respecter est la signature électronique du dossier complet, doit être est de type "avancée" (on trouve un tas d'articles sur le choix et les bonnes pratiques des solutions de signature électronique).

Au-delà des AO :

  • Vous avez un site plutôt bien fait (pas de publicité pour la netiquette du site Free-Work 😎), qui regroupe toutes les demandes et les AO publiques, c'est un outil sympathique, parfois un peu envahissant en termes de notifications (le site est un peu neuf, il faut le temps du rodage avec le retour des utilisateurs dans but d'amélioration : je n'ai aucune action chez eux et je l'ai découvert vraiment par hasard : une seule adresse email + couple identifiants choisis en amont).

  • Vous pouvez aussi trouver 1 ou 2 petites structures françaises, bien placées, très fiables - des anciens plein d'astuces - , justement spécialisées dans l'accompagnement des montages pour les réponses d'AO (et qui se rémunèrent sur un très faible pourcentage sur la réussite d'un dossier ou en "one-shot" (il suffit de chercher peu avec votre "ami préféré").

Pour le reste des plateformes d'AO, certaines entreprises privées ou semi-privées possèdent ou font appel à des structures privées que l'on trouve, en peu de recherches (comme la SNCF par exemple ou VEOLIA) ...

Pour ma modeste contribution.

Bien cordialement,

Yanolezard.

Bonjour,

Je découvre ces plateformes d'appel d'offre, certaines missions seraient dans mes cordes.

Des retours d'expériences sur des candidature à des appels d'offre publics? On a une vague chance d'être pris en tant que freelance?

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Réponse postée 28 novembre 2024 23:04

Bonsoir "FreelanceDream",

Azure n'adresse pas les mêmes marchés de toute manière et tant mieux si ils font du CA : cela prouve que des organisations en ont besoin.

Par contre, sur le terrain, le CA ne dit pas que certains migrent ailleurs (il ne faut surtout pas affoler le "marché") et je le vois tous les jours, petit pas par petit pas.

J'en discutais encore ce matin et sans faire l'autruche ou l'opossum, et hop ! deux startups dont je vais m'occuper migrent d'Azure vers GCP, pour de la Data/IA en HPC , comme quoi ... il n'y a pas que moi qui le dit.

Bien cordialement,

Yanolezard.

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Réponse postée 28 novembre 2024 11:56

Bonjour "revo",

Je vous rejoins sur quelques points :

  • Le cloud n'est qu'un "entrant" dans l'écosystème "DevOps" : d'ailleurs, bien avant que le cloud et le "DevOps" ne soient sur les Dev(ants) de la scène (1000 excuses pour le jeu de mots ;-), on pratiquait déjà le "DevOps", comme Mr Jourdain faisait de la prose.

  • Il est vrai que l'écosystème de la sécurité est en manque de développeurs compétents et bien "câblés" (on ne fait pas n'importe quoi, n'importe comment, ni n'importe où) et demande quand même un certain niveau de maturité, notamment lorsque l'on sort de l'angle Web et que l'on adresse des problématiques plus "terre-à-terre", plus "chelues, velues, trappues".

  • Les outillages "Dev ... Ops" : il y a(ura) toujours cette puérile velléité entre les "Dev" et les "Ops", sauf si l'on insère les "Sys" (Dev ... Sys ... Ops) : AWS a très bien compris la chose dans son système de certifications (AWS SysOps).

  • Néanmoins (je vais le faire exprès : le Développeur a un un instinct un peu "bordelique" dans ses pratiques professionnelles et joue constamment au "Chaton Equilibriste" - j'ai été développeur pendant 15 ans, je le suis encore un peu dans certains cas systèmes, donc j'ai un "peu " d'expériences, notamment dans les "embedded security systems") et il ne serait pas inopportun d'ajouter un fond ou des compétences d'architectes pour augmenter et prendre de la hauteur/valeur, ce qui dans le lot, apporterait, à la fois pour le prestataire (il prend du recul et n'agit pas direct à l'instinct) et pour le client (qui n'a pas en face de lui, un "lapin de 6 semaines" ou un "perdreau de la dernière année", car contrairement à ce que l'on peut raconter, tous les clients ou intermédiaires d'ESN ne sont certes pas des "cadors" mais certains, non plus, ne sont pas "à prendre pour des truffes" (même si la saison est propice).

    Il y a toujours moyens pour promouvoir ses savoirs (faire, être) même si l'expérience éprouvée n'est qu'un ersatz.

    Pour ma modeste contribution,

    Bien cordialement,

    Yanolezard.

Le cloud n'est pas du devops c'est des outils managés à configurer. On y a vite fait le tour...

Le devops c'est une culture, c'est le fait d'automatiser des tâches, de fournir des outils (factory) pour les développeurs (cicd, déployments, ..) et pour créer ces outils c'est mieux d'être développeur.

Dans la sécurité il y a moins de développeur et tout plein de chose à créer.

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Réponse postée 28 novembre 2024 11:18

Bonjour "FreelanceDream",

Je travaille quasi quotidiennement avec ces 3 fournisseurs, qui n'adressent pas les mêmes catégories d'organisations, ni les mêmes marchés.

De par mes expériences (ce ne sont que quelques exemples),

  • les startups, que j'assiste et qui développent des produits Saas à hautes valeurs ajoutées sont ou partent en (Sec)Dev(Sec)Ops(Sec) sur AWS ou sur GCP et non sur Azure.

  • les secteurs que j'adresse (TPE/PME/TPI/PMI : innovation, recherche, IA, ML, DL, Data, Blockchain, IIoT) sont AWS en majorité, suivi de très près par GCP.

  • j'adresse aussi des ETI ou des organisations qui sont "Full Azure" (pour du Dynamics, de l'API, de l'IioT, de l'infra cloud bon marché, ou de la Data) : certaines en sont satisfaites, d'autres beaucoup moins, d'autres encore cherchent à quitter Azure (instabilités notoires pour certains services, bibliothèques qui disparaissent, services en bêta/prod qui s'annulent sans rien dire ...) pour AWS et je ne suis ni pour les uns, ni pour les autres, c'est un simple constat que je fais de par ce que j'adresse.

  • J'ai eu (la chance) d'être au départ historique des offres AWS, Azure, GCP et je les ai vu se développer, chacun leur tour, avec leurs lots de "good" et de "bad".

  • J'ai eu l'occasion aussi d'avoir été invité chez AWS pour voir comment un service naît, comment il est conçu, comment il est testé et utilisé au sein de la DSI d'AWS, avant d'être mis à disposition des clients .... J'ai tenté la même chose avec Microsoft (bien que partenaire et Alumni depuis très longtemps) : sans succès et avec GCP, aucun problème.

  • Quant aux chiffres du marché, je n'en tiens pas compte et mes clients non plus : ce qui les intéresse, c'est ce qu'ils peuvent réaliser et vendre (en interne, comme en externe) rapidement, de manière fiable avec un support sans faille, au juste coût et à la sécurité éprouvée.

  • Alors même si vous pensez que je suis "lambda" sur un forum "lambda" (en parlant de "lambda" : https://aws.amazon.com/fr/lambda/features/), grand bien vous fasse et libre à vous de le penser : ce genre de commentaires ne m'atteint pas mais je me devais de vous répondre, ce qui ne m'empêche pas de vous souhaiter une belle journée.

    Bien cordialement,

    Yanolezard.

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Réponse postée 27 novembre 2024 23:25

Bonjour "AF.NY.",

Les certifications "Azure DevOps" ne sont pas très représentatives de l'écosystème "DevOps".

Celles d'AWS et de GCP (Google Cloud Platform) sont assez coûteuses en termes de préparations et de passage car il y a de vrais ateliers bien "velus, chelus, trappus" qui sont tirés des expériences de la vraie vie d'un Sys(Sec)Ops / Dev(Sec)Ops ... Par expériences et par ceux que je côtoie, ces certifications sont bien recherchées : AWS et GCP s'adressent à de vraies entreprises, Azure est plutôt considéré comme un "outillage" pour les PME.

Cela dit, comme le précisait le "free-worker ArmLambda", rien ne vaut des expériences "projets/réalisations". Avec les technologies et les facilités d'apprentissages (plus ou moins gratuites), vous pourriez accéder à un Git "Lab" ou "Hub", préparer un environnement avec du Kubernetes, de la CI/CD, etc ... et si vous le pouvez, participez à des manifestations "Devops" (bootcamp par exemple, même si c'est un peu "relevé" par rapport à vos connaissances, c'est toujours agréable d'apprendre de ses pairs).

Et puis, pour accéder à l'Antre du "Dev(Sec)Ops", mieux vaut commencer par le "garage Cloud" (des petites missions cloud, design, sécurité de bases, écosystèmes Kubernetes, testing, monitoring, Finops ... Dev(Sec)Ops n'est que la dernière étape du processus, mais avant cela, il faut bien maîtriser les processus et les bases de départ.

Si cela a pu contribuer à éclairer quelques lanternes.

Bien cordialement,

Yanolezard.

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