Hello,

Je sais que la question de trouver un bon expert comptable a été abordé plusieurs fois sur ce forum. Mais je relance le sujet car je suis à la recherche d'un bon expert - comptable et je voudrais savoir quels sont les critères que je dois mesurer pour en sélectionner un ?

Car j'en ai marre du niveau de conseil et d'optim des "expert comptables" (ou comptables ?) des différentes plateforme en ligne qui offre l'avantage tout de même d'être pas cher et automatisées.

Je travail dans l'IT, je souhaite un EC avec pas mal d'automatisations pour pouvoir numériser facilement mes factures et qui soit joignable et avec de bons conseils. Sur quels critères je dois me baser pour mesurer ces compétences (éventuellement quelles questions dois je lui poser ?)

Merci d'avance

Bonjour à tous,

Je me permets de solliciter votre aide concernant une difficulté rencontrée dans le cadre de la création d’une société en France.

Pour vous situer le contexte : je suis de nationalité marocaine et actuellement résident fiscal au Maroc. Mon projet est de créer une SASU afin de proposer, depuis le Maroc et à distance, des services de conseil à des entreprises françaises. Je ne prévois pas de m’installer ni de devenir résident fiscal en France ou dans l’UE.

Malheureusement, mes démarches auprès de plusieurs néobanques (Qonto, Shine, Indy…) ainsi que de certains notaires se sont soldées par un refus, en raison de mon statut de non-résident fiscal en France ou dans l’Union européenne.

Auriez-vous connaissance de solutions alternatives ou d’acteurs acceptant d’accompagner ce type de profil pour le dépôt de capital ?

Merci par avance pour votre aide !

Bonjour,

Je rencontre une difficulté concernant ma déclaration de TVA (CA3) liée à de la sous-traitance en autoliquidation. J’ai eu plusieurs avis différents et je ne sais plus quoi faire.

Voici ma situation :

• J’ai facturé à un client 21 000 € TTC (dont 2 100 € de TVA à 10%)

• J’ai reçu une facture de sous-traitance de 10 000 € HT avec autoliquidation de TVA

J’ai complété ma déclaration CA3 ainsi :

• Case A1 → 21 000 € (chiffre d’affaires facturé à mon client)

• Case A2 → 10 000 € (facture HT de mon sous-traitant en autoliquidation)

• Case 20 → TVA déductible de mes autres charges + 1 000 € (TVA autoliquidée à 10%)

Cependant, la plateforme Indy me conseille de :

• Mettre 11 000 € en A1 (21 000 € – 10 000 € de sous-traitance)

• Et de mettre les 10 000 € en A2

Je ne comprends pas pourquoi je devrais réduire mon chiffre d’affaires en A1 : pour moi, la sous-traitance n’impacte pas la TVA collectée, et l’autoliquidation est simplement une opération neutre qu’on déclare dans A2.

Je souhaite aussi savoir :

• Si les 10 000 € doivent bien apparaître en A2 ou dans une autre case (b3 ?) ?

• Et si dans le calcul de ma marge, je peux déduire 10 000 € (et non 9 091 €) de mon chiffre d'affaires pour calculer mon bénéfice ?

Merci beaucoup pour votre aide précieuse.

Cordialement,
Mohamed Eissa

Bonjour,

Je cumulais auparavant deux activités salariés, j'ai perdu l'une d'entres elles et j'ai continué à exercer la seconde. Je me suis rendu alors compte, de manière inattendue au départ, que je pouvais toucher le chômage de l'emploi perdu et le salaire à 100% du second, en temps qu' "emploi conservé". J'ai donc eu l'opportunité heureuse de conserver des revenus très intéressants au mois alors que j'effectuais un nombre d'heures largement amoindri.

A l'heure actuelle, ma situation personnelle est encore différente mais je me suis posé la question : ça signifie qu'à partir du moment où on arrive à avoir démarré un nouvel emploi (depuis au moins un mois je suppose, par cohérence avec l'actualisation Pôle Emploi), juste avant de perdre celui que l'on exerce déjà, cette situation pourrait se reproduire ?

Quand on a la chance d'être prévenu assez longtemps à l'avance (deux mois ou plus) si notre CDD sera renouvelé ou non, cela semble une sorte de "hack" inouï, pour capitaliser intelligemment sur ses droits d'ARE, de chercher dès lors à se ruer sur un nouveau boulot, pour pouvoir le commencer un mois avant la fin effective de celui qu'on exerçait, pour débloquer le processus. Quelqu'un y a-t-il déjà réfléchi (même sans chercher à le faire) ? Ou alors dites-moi si une donnée m'échappe.

Quelqu'un de suffisamment tordu pourrait tenter de s' "amuser" à ce schéma tout au long de sa vie. Bien sûr à condition d'avoir gardé chaque contrat au moins six mois et les rendre éligibles aux ARE, j'entends bien. Que ce soit "moral" ou non d'ailleurs, ça c'est encore un autre sujet.

Qu'en pensez-vous ?

Curieux de lire vos retours.

Cordialement.

Bonjour à tous 👋

Je suis actuellement en train de réfléchir à renforcer mon profil professionnel avec une ou plusieurs certifications reconnues dans le secteur IT. Étant freelance depuis quelques années dans le développement (et intéressé par le cloud, la cybersécurité, et les outils de simulation type Ansys, SolidWorks, etc.), je cherche des formations à forte valeur ajoutée, reconnues par les recruteurs ou utiles pour monter en compétences.

🎯 Objectif : acquérir une ou deux certifications d’ici la fin de l’année qui peuvent m’ouvrir des opportunités ou me permettre de justifier de certaines expertises sur des missions pointues.

💡 J’ai entendu parler de plateformes comme RealWorldCerts, qui proposent des parcours orientés certification, couvrant des outils et domaines variés comme :

• Ansys, Abaqus, SolidWorks, CATIA, COMSOL, etc.

• Cloud (AWS, Azure, GCP)

• IA/ML

• DevOps & CI/CD

• Data Science

• Sécurité (CISM, CompTIA, etc.)

Avez-vous des retours sur ces plateformes ou d'autres à recommander ?
Et selon vous, quelles sont les certifs les plus stratégiques à viser aujourd’hui, en tant que freelance tech ?

Merci d’avance pour vos avis et partages d'expérience 🙏