Programmation : deux astuces indispensables pour rester un bon développeur

Vous savez que le marché du développement web est très prisé et vous tenez à trouver ou à conserver vos missions ? Pour rester un bon développeur, pas de secret : il vous faudra veiller à apprendre et à maîtriser les bons outils, mais aussi à exploiter des algorithmes corrects et précis pour développer des programmes performants et concurrentiels.

Astuce n° 1 : utilisez les bons outil (Open Source de préférence)

Sans ces outils et ces éditeurs de texte, impossible de créer des logiciels, de configurer des serveurs ou encore de développeur un site web. Le point sur les options Open Source incontournables du marché.

- Vi/Vim. Cet éditeur de texte fait figure d’ancien dans le paysage : puissant et multiplateforme, il peut aussi bien être utilisé sur une interface graphique ou en ligne de commande. A la clé, il permet de développer un appareil à distance, et il est conçu pour s’affranchir de la souris.

- Emacs. Toujours inégalé en matière d’extensibilité, il présente lui aussi des avantages indéniables : multiplateforme, ligne de commande et graphique, manipulation orientée clavier. Ses extensions permettent de nombreuses options : lecture de fichiers words d’extension .org, création de feuilles de calcul, écoute de musique, création de jeux…

- Atom. Le bébé de Github s’affiche comme un éditeur moderne de texte open source ; il reprend le fonctionnement de Emacs et Vi/Vim. Cinquante extensions open source compilées sont incluses, et la communauté ne cesse de partager un nombre croissant de libraires.

- Bluefish. Il s’adresse aux développeur web et aux experts maîtrisant les langages de programmation de balisage, avec une multitude de fonctionnalités pour concevoir des sites, des scripts et du code de programmation.

- Brackets. Cet éditeur de texte libre et open source (Adobe Photoshop), est conçu pour les webdesigners sur la base de fonctionnalités uniques et innovantes : Extract (pour extraire des informations comme des couleurs, les fonts, les gradients et les CSS des fichiers PSD), utilisation de brackets pour développer en d’autres langages de programmation (Java, C, C#), prévisualisation automatique de page web…

- ICEcoders. Application web d’édition de code utilisée typiquement dans un navigateur web, parfaite pour le développement web, elle peut être installée dans un poste à serveur et les utilisateurs s’y connecter à distance.

- Visual studio code. Logiciel libre et Open Source mis au point par Microsoft, cet éditeur de texte très puissant supporte une multitude de fonctionnalités : multiplateforme, fonctionnement sous Linux, support de quasi l’intégralité des langages de programmation, grande extensibilité, plugins permettant le développement d’application de jeux ou 3D…


Astuce n°2 : restez à jour niveau algorithmes


Vous avez les bons outils, adaptés aux tendances technologiques actuelles ? Bon début. Reste maintenant à exploiter un algorithme correct et précis pour le codage utilisé pour développer les programmes les plus concurrentiels.

Un algorithme désigne en effet une méthode pas à pas pour résoudre un problème, notamment en matière de traitement de données, de calcul, ou encore d’opération de mathématiques et d’informatique.

Le point sur les 10 algorithmes qu’il est indispensable de maîtriser en programmation et en développement pour rester au top.

- Hachage. Il s’agit d’une technique très utilisée pour la détection et la détermination de données appropriées par clé et ID, avec de nombreux rôles étendus (détection d’erreurs, gestion de cache, cryptographie, recherche efficace…).

- Algorithmes de recherche. Binaires, ils sont utilisés pour effectuer des recherches en matière de jeux de données triés sur la base d’une fonction de complexité temporelle.

- Algorithmes de tri. Leur objectif : placer les données de matière organisée (par fusion, par compartiment ou par stockage).

- Algorithme de programmation informatique. Cette fonction intelligente de résolution de problèmes permet de séparer les problèmes en approches moins compliquées, pour revenir à la complexité, sur la base de mémoire de résultats plus petits qui apporteront une réponse adaptée à la problématique complexe.

- Analyse de lien. Sur les réseaux sociaux notamment, elle permet de corréler différentes entités d’un domaine pour les moteurs de recherche
Arithmétique modulaire. Toutes les opérations sont effectuées selon un entier positif (addition, soustraction, multiplication, division).

- Algorithme de correspondance et d’analyse syntaxique. Courants en développement web pour les URL, ils sont utiles dans les scénarios où les modèles doivent correspondre dans une chaîne longue, ou en cas de validation d’une chaîne selon une limite prédéfinie.
Algorithme de transformation de Fourier. Ils sont incontournables pour l’ensemble du réseau numérique : Internet, WiFi, téléphone, ordinateur, routeur, satellites… Sa fonction : transformer les signaux de leur domaine temporel à leur domaine fréquentiel (et inversement).

- Ensembles disjoints. Ces structures de données servent d’assistance au sein d’un algorithme pour représenter les composants connectés dans les algorithmes de graphes ou en segmentation d’une image.

- Factorisation d’entiers. Il propose un guide par étapes pour obtenir les facteurs premiers d’un nombre composé. Il est capable de résoudre la complexité de plates-formes cryptographiques et de factorisation de grands entiers composites.


Sur le sujet, consultez également nos articles :

“RGPD : la CNIL édite un guide pour les développeurs”

“Programmation web : quelles sont les tendances du moment ?”


Et vous, qu’en pensez-vous ? Quelles sont les compétences nécessaires selon vous pour garder votre statut de “bon développeur” ?

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