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cirtey

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Réponse postée 13 septembre 2015 07:51

Août et Juillet sont les périodes où j'ai le plus de facilité à trouver une mission.
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Réponse postée 28 septembre 2013 19:31

kzg a écrit :
cirtey a écrit :
kzg a écrit :
cunparis a écrit : Dans mon cas, je préfère accepte un CDI qu’un freelance mal payé. Ça me donne une question : Comment calculer un salaire en CDI équivalent à un tarif freelance ? Ça fait des années que je n’ai pas travaillé en CDI.
En freelance, vous avez en net environ 65% de votre CA (avant IRPP).
En CDI, vous avez en net environ 78% de votre salaire brut (avant IRPP).

Si vous voulez un salaire en CDI équivalent à un tarif freelance de 500€, il faut viser un brut de (500*220*65%)/78%=+/-90K€.
Le calcul pose que la marge de la SSII est la même que ce soit CDI ou freelance. En pratique, la marge sur les salariés est souvent plus grande que sur les freelances. Donc il faut rajouter un coefficient pour déprécier le salaire net en CDI par rapport aux revenus nets en freelance.

Non, on se place du point du vue du consultant.
Je compare le tarif facturé par le freelance (hors marge) et le salaire versé au salarié (hors marge également).
Le niveau de marge réalisée par l'éventuel intermédiaire n'entre pas en ligne de compte ici.
Pour un même poste la SSII est obligée de prendre plus de marge si c'est un salarié rien que pour provisionner pour les inter-contrats. Donc la part qui reviendra au consultant (sur la base de la tarification faite au client) ne sera jamais égale entre freelance et salarié. Le freelance prendra 80% du TJM en moyenne, le salarié certainement moins (sauf exceptions). Il faut rajouter un X 0.9 à votre formule pour convertir le net freelance au net salarié pour être plus réaliste.
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Réponse postée 28 septembre 2013 17:34

sebast_60 a écrit :
Tu signes pas? OK mais tu bosses pas. Quel conseil pertinent!
Cela dépend de l'état du marché, si t'as un choix de mission tu mets la pression, sinon tu acceptes et tu renégocie plus tard quand t'es monté en compétences sur la mission et que le client a besoin de toi. Et si jamais malgré cela ils ne veulent pas, tu cherches ailleurs pendant la mission.
En tout accepter des clauses abusives sans rien dire c'est les encourager.
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Réponse postée 28 septembre 2013 17:27

boz74 a écrit : Merci pour vos réponses. Cette mention a finalement été retirée du contrat.

La raison qu'on m'a donnée pour expliquer sa présence est que :
- les grands comptes ne signent pas de compte-rendu d'activité (tiens, et pourquoi ?)
- tous les prestataires ont le même contrat

Concernant le préavis, est-ce que vous pensez que je dois accepter un tel déséquilibre pour une mission aussi courte ?
Pouvez-vous m'envoyer par message direct le nom de la SSII?
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Réponse postée 28 septembre 2013 17:17

kzg a écrit :
cunparis a écrit : Dans mon cas, je préfère accepte un CDI qu’un freelance mal payé. Ça me donne une question : Comment calculer un salaire en CDI équivalent à un tarif freelance ? Ça fait des années que je n’ai pas travaillé en CDI.
En freelance, vous avez en net environ 65% de votre CA (avant IRPP).
En CDI, vous avez en net environ 78% de votre salaire brut (avant IRPP).

Si vous voulez un salaire en CDI équivalent à un tarif freelance de 500€, il faut viser un brut de (500*220*65%)/78%=+/-90K€.
Le calcul pose que la marge de la SSII est la même que ce soit CDI ou freelance. En pratique, la marge sur les salariés est souvent plus grande que sur les freelances. Donc il faut rajouter un coefficient pour déprécier le salaire net en CDI par rapport aux revenus nets en freelance.
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Réponse postée 25 juillet 2013 10:24

Paul92 a écrit : Oui je le vois aussi comme ça. Dans une optique plus moyen terme il est bon de privilégier une mission qui vous permet d'apprendre autre chose et d'acquérir un autre statut (que ce soit au niveau technique, fonctionnel ou managerial), même si le tjm n'a rien de mirobolant, plutôt qu'un énième poste sur ce que vous faites depuis le début avec une facturation qui a atteint son plafond. C'est ce qui vous permettra ensuite de bien progresser.
En général si un client veut un freelance, c'est pas pour lui apprendre un métier.
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Réponse postée 26 mai 2013 15:27

Finance
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Réponse postée 26 mai 2013 12:09

Lux
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Réponse postée 25 mai 2013 09:39

Une chose est sûre la France de 2013 est un milieu hostile pour les freelances en informatique. Je ne crois pas que faire du 'relationnel' ou se 'spécialiser' soit efficace. Quand les budgets sont réduits, qu'on est dans l'obligation de passer par des intermédiaires voraces, qu'il y a de plus en plus de taxes et qu'il y a une grosse concurrence de personnes compétentes bardées de diplômes, le plus simple est d'aller là où il y'a de meilleures opportunités (ou moins mauvaises conditions, c'est selon).
Moi j'ai quitté la France et je constate que j'ai fait le bon choix. J'ai des horaires raisonnables (9h-17h, fini les sorties à 19h30 du temps où je bossais à Paris) et je gagne 2X mon ancien net tout en ayant des chefs plus sympas. J'ai des anciens collègues de SSII du temps où j'étais salarié qui ont fait pareil (l'un Luxembourg, l'autre Hong Kong) et qui sont très contents.
Après il y'a des personnes qui ne maîtrisent pas l'anglais ou qui ont des familles et des enfants scolarisés, pour ce genre de profil, l'option d'expatriation est plus difficile. Mais une personne jeune, compétente, célibataire et parlant bien anglais, vouloir absolument rester travailler en freelance en France ne me semble pas être le choix le plus judicieux.
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Réponse postée 25 mai 2013 09:29

romeozambila a écrit : je ne vois pas en quoi c'est biaisé ?!
Tu as appuyé là où ça fait mal, tu as dit la vérité 😃
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Réponse postée 25 mai 2013 09:24

romeozambila a écrit : En général, vous êtes obligés de prendre un intermédiaire pour pénétrer un marché et parfois des clients refusent de travailler avec vous en direct. Mais plus vous etes compétents sur un marché et meilleure est votre réputation, plus vous pouvez exiger ce que vous voulez. Mais il faut être bon, acquérir des compétences rares. Tant que vous avez des compétences remplaçables, vous ne valez pas grand chose et on vous propose des facturation miséreuse dans la zone 500 euros/jours. Avec des compétences plus spécifiques, vous montez facilement à 1000 euros/jour

L'objectif doit toujours être de supprimer les intérmédiaires ou bien d'arriver à une marge 0 avec les intérmédiaires. Pour cela il faut être agressif commercialement et ne pas hésiter à jouer le marché (partir de mission si on trouve mieux). Ne jamais aller quemander de l'argent chez un client. Il faut aussi être agile et mobile. Les meilleurs mission sont toujours à l'étranger.

En france, il y a trop de gens compétents, un taux de chomage à 11% alors ce n'est pas the "place to be".

Un intérmédiaire maximum, entre vous et le client final.
Excellente analyse, malheureusement trop de freelances français sont casaniers, c'est ce qui permet aux clients d'avoir une profusion de CV de qualité et de faire la fine bouche.
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Réponse postée 25 mai 2013 08:57

Les freelances ne sont pas captifs, les salariés le sont (lien de subordination et préavis de 3 mois). Normal que les banques préfèrent les salariés. Après quand les banques ne trouvent pas chaussure à leur pied, elles sont bien obligées d'accepter à contre coeur le freelance.
En tout cas, ce cystème arrange les banques et les SSII (les salariés offrent de meilleures marges), au détriment des freelances.
Quand la conjoncture deviendra plus favorable, ce genre de pratiques devraient disparaître.
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Réponse postée 30 décembre 2012 14:21

kzg a écrit :
Paul92 a écrit :
ubik_2008 a écrit : Sans hésiter le 1.

Ils fixent des grilles de tarification chaque année plus basse. Ils n'ont aucune notion du service rendu ou de la qualité de la prestation.
Exactement 😕 . Ce qui m'écoeure le plus c'est quand tu les entends se vanter d'avoir raboté les tarifs.
C'est la loi du marché, chacun défend ses propres intérêts. Actuellement les clients sont en position de force, ils se doivent d'en profiter au mieux (sinon ils sont moins compétitifs : le client qui décide de conserver des tarifs "normaux" parce que c'est "plus moral" alors que la concurrence baisse ses prix aura beaucoup de mal à justifier ce choix vis à vis de ses actionnaires).

Il n'y a pas si longtemps (si, un peu : début des années 2000) où les prestas et ssii fixaient les prix, et même pour des postes en interne il n'était pas rare que de jeunes diplômés - j'en ai connu - demandent et obtiennent des salaires beaucoup plus élevés que la normale.
A l'époque les clients (banques, etc.) devaient faire avec car ils avaient besoin de ces compétences pour rester dans la course.

Aujourd'hui, c'est au tour des fournisseurs de service (nous) de "faire avec". On peut le déplorer mais je pense qu'il ne sert à rien de se lamenter sur notre sort, il faut garder un état d'esprit positif (même si j'admets que c'est très difficile pour quelqu'un qui se lance maintenant), être prêt à saisir la moindre opportunité, et rester en veille pour profiter du moindre début de retournement de marché.

Il y a de la marge entre négocier des tarifs relativement bas (-20%) et des tarifs à (-40%), à la moindre embellie les indépendants s'en iront. Sans oublier la démotivation de savoir qu'on a l'impression de se faire arnaquer.
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Réponse postée 29 décembre 2012 11:37

1 et 2
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Réponse postée 9 décembre 2012 20:33

Je suis intéressé par la liste, je suis preneur
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Réponse postée 14 novembre 2012 14:56

kzg a écrit : Belle mentalité : premier critère pour savoir avec qui travailler, s'assurer qu'on profitera bien à fond du système si on arrête de bosser.
Je rappelle que la personne portée cotise à l'assurance chômage comme les salariés.
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Réponse postée 27 octobre 2012 08:44

Pas de contrat avec la SSII, pas de danger.
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Réponse postée 17 octobre 2012 10:54

Les clients veulent des salariés pour des raisons que j'ignore, peut-être par peur de turnover. Dans tous les cas c'est celui qui paye qui décide.
On n'est pas obligé de faire une mission en tant que salarié, et si c'était le cas on peut toujours démissionner dès qu'on a une opportunité en freelance.
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Réponse postée 5 août 2012 16:49

Raison 1: Plus de marge
Raison 2: Plus de captivité (3 mois de préavis en CDI)
Raison 3: Si on veut faire fortune on grossit le nombre de salariés puis on revend la SSII
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Réponse postée 27 décembre 2011 21:05

Je confirme, il y a de l'abus sur les prix, on essaye de profiter du surplus de candidats.
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Réponse postée 26 avril 2011 16:08

@ubik
Les freelances, en tout cas en IDF, pour atteindre les grands comptes (quel que soit le secteur) doivent passer par les SSII dans l'écrasante majorité des cas, sénior ou pas. Ce qui change pour la SSII c'est moins de marges si t'es freelance (mais aussi moins de risque: pas la peine de magouiller pour te sortir si la mission s'est achevée), mais les SSII ne peuvent pas imposer leur loi aux clients et aux freelances en même temps. Il faut une complicité du client.
Et oui dans l'industrie le phénomène ne se manifeste pas encore.
En tout cas, les magouilleurs qui sont à l'origine de la pression sur les freelances finiront par payer: de plus en plus d'indépendants sont en train de tenter leur chance à l'étranger, ce qui raréfie les compétences disponibles donc met plus de pression sur les prix.
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Réponse postée 26 avril 2011 15:26

@Calimero
C'est facile de trouver du tavail au Luxembourg, utilise les moteurs de recherche de job tel que indeed ou efinacial careers pour trouver les missions qui te plaisent et envoi ton CV. Par contre il faut être bon en anglais.
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Réponse postée 26 avril 2011 15:11

@Calimero
Le problème avec les banques c'est qu'elles représentent une grande part des appels d'offre dont on ne peut se passer qu'en période faste.
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Réponse postée 26 avril 2011 15:08

@Freelance
Moi je suis au Luxembourg, non seulement mes conditions matérielles se sont améliorées (il me reste 50% de net en plus et le coût de la vie n'est pas plus élevé qu'à Paris), mais aussi les conditions de travail aussi: je sort à 18h00 au lieu de 19h30 en moyenne quand j'étais à Paris, les clients sont nettement plus agréables.
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Réponse postée 26 avril 2011 14:58

@Freelance91
Bien dit, c'est la réalité de ce qui se passe vraiment dans le monde des SSII actuellement.
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Réponse postée 26 avril 2011 14:42

@vieux:
Si t'es capable de programmer t'es aussi capable de lire j'espère.
Primo, concernant ma source j'ai déjà évoqué l'origine dans un précédent poste. Si t'étais pas paresseux tu aurais fait l'effort de remonter le thread.
Ensuite je ne sais pas si t'habite en France ou sur mars, mais je tiens à t'informer que les taxes ont fortement augmenté ici en France avec Sarkozy et sa bande, pour les entrepreneurs aussi (taxe foncière par exemple).
Et puis si tu penses de bonne foi que la situation fiscale et commerciale (en général: tarifs, conditions du marché...) ne s'est pas dégradée en France ces dernières années alors c'est soit de la mauvaise foi soit de la stupidité.
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Réponse postée 25 avril 2011 17:04

Il y a très probablement magouille (entente) entre les SSII et le service des achats. Souvent des chefs de SSII connaissent très bien le service des achats.
Plus l'Etat qui veut combler ses trous financiers (donc voudrait qu'on passe en salarié pour qu'on cotise plus), plus les prix qui sont gelés depuis des années...etc.
Le climat n'est pas top pour être freelance en France.
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Réponse postée 25 avril 2011 16:53

Cet argument de l'inspection du travail c'est un chef de SSII qui me l'a sorti, en effet. Par contre il est certain, car la source de l'information est sûre que l'Etat français voit d'un mauvais oeil les indépendants. Quelque soit la cause, les faits sont là: il devient de plus en plus difficile d'être freelance en informatique en France. Et comme beaucoup de freelances (dont moi) n'accepteront pour rien au monde de prendre un CDI, on va assister à une fuite des indépendants à l'étranger (plusieurs de mes connaissances ont franchi le pas).
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Réponse postée 25 avril 2011 16:15

Ce n'est pas des SSII que vient la pression. C'est le service des achats qui impose le statut freelance car ils ont subi des redressements par les contrôleurs du travail. J'ai personnellement été refusé par la SGIB une fois que la SSII a révélé mon statut de Freelance, on m'a proposé un CDI pour la mission mais j'ai refusé. Lors d'une autre mission, cette fois à la CACIB, il a fallu que je cache mon statut pour être accepté. Cette chasse aux indépendants va s'accélérer au prochain creux du marché (en ce moment le marché est "relativement" favorable aux freelances). Wait and see.
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Réponse postée 25 avril 2011 14:08

Primo, on écrit Mythomanie, pas Mitomanie (bon sang même avec un correcteur automatique certains ne savent même pas écrit 2 mots correctement).
Deuxièmement, la personne qui m'a dit que l'Etat est en train de décourager le statut des indépendants est sérieuse.
Et dernièrement, des députés ont cherché en février 2011 à faire passer une loi obligeants les indépendants à valider leurs comptes par des experts comptables, quelque soit le statut. Cette loi n'est pas passée car des associations de médecins libéraux s'y ait opposée vivement (imposer le paiement d'un expert comptables n'est pas de nature à encourager le statut freelance).

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