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webanalyste

Nombre de posts : 16

Inscrit depuis le : 20 février 2014

Réponse postée 27 octobre 2021 09:44

Merci Calvin pour votre retour.
L'EURL est à l'IS et il n'y a pas de trésorerie vraiment significative (environ 5000€).
Pour l'instant, je n'ai pas d'autres projets mais peut-être dans le futur... étant déjà formateur, j'imagine de produire des formations techniques en ligne que je cèderai à une plateforme spécialisée. L'idée est faire éventuellement vivre l'entreprise par le biais de royalities et de rentrées régulières mais qui ne nécessitent que peu de temps de travail et/ou en une seule fois (vacations et tournage/montage des vidéos). Mais l'horizon de ce projet n'est pas encore fixé, d'où mon hésitation à garder l'entreprise si c'est trop cher pour ce que cela rapporte.

Autre élément, l'entreprise dispose d'un véhicule de société complètement amorti... donc les frais d'assurance, de garage et de carburant sont pris en charge par l'EURL.En cas de décision de fermeture de la société, les prestations de vacataires seront proposées comme des CDD (certaines écoles d'ailleurs m'imposent déjà ce format). J'imagine que ce serait compatible en cumul avec mon CDI principal ?

Si j'opte pour une transformation de l'EURL en SAS, quel serait l'impact sur mon statut ? Suis-je obligé d'être assimilé salarié ? Y aura-il forcément des doublons en termes de cotisations avec mon statut principal de salarié dans la nouvelle entreprise que je rejoins ?

Merci de vos éclairages !

Réponse postée 26 octobre 2021 16:29

*UP*
Une idée svp ?
Merci d'avance !

*UP*

Réponse postée 22 octobre 2021 17:37

Bonjour,

Je suis indépendant en EURL depuis quelques années, mais je viens d'accepter une opportunité en CDI à plein temps chez un de mes clients.
J'hésite sur la suite à donner à mon entreprise après mon embauche du fait de son ancienneté. Je vais probablement arrêter mon activité principale de conseil mais je souhaite garder mes quelques jours d'intervention en tant qu'enseignant vacataire auprès de quelques écoles supérieures.

Quelle serait à votre avis à priori la meilleure configuration :
  • Option 1 : EURL => EURL, ne rien changer ?
  • Option 2 : EURL => SASU pour alléger les charges annuelles et parce que je n'ai plus besoin de dégager une indemnisation principale de cette entreprise ?
  • Option 3 : EURL => fermeture car cela ne vaut pas le coup ou la gestion d'un statut de dirigeant SAS non salarié avec celle d'un salarié est incompatible administrativement ?
Pour information, l'entreprise devrait générer 7500€/an.
Merci d'avance pour vos réponses !
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Réponse postée 17 février 2016 18:17

Merci pour vos réponses.

Non, malheureusement, je n'ai pas moyen d'échanger le billet avec quelqu'un d'autre. C'est un billet d'avion et comme tout billet de ce type, il est nominatif :)

Le truc c'est que j'ai l'habitude de régler systématiquement toutes mes dépenses pro avec la CB du compte de l'entreprise. C'est plus facile pour la traçabilité et cela m'évite de rester aux taquets sur les remboursements à me faire... je serais capable d'en oublier la moitié !

Donc le compte de l'entreprise a déjà été débité des 180€ et je sais pertinemment que, compte tenu de mon erreur, cela ira à la poubelle en pure perte.

Je voulais juste m'assurer que ce cas de figure (comme les billets de trains ou les nuits d'hôtel commandées, réglés mais non utilisés pour une raison ou une autre) ne posait pas de problème dans la gestion comptable... Sinon, pour éviter toute prise de tête ultérieure en cas de contrôle, je peux solder la dépense en virant 180€ de mon compte perso.
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Réponse postée 15 février 2016 15:21

Bonjour tout le monde,

J'assiste dans quelques semaines à une conférence à Londres et, dans mes billets d'avion, je viens de me rendre compte que je me suis trompé d'aéroport (Stansted au lieu de Gatwick qui est beaucoup plus pratique pour moi avec des horaires plus adaptés).

J'ai réussi à en avoir un autre par une seconde compagnie aérienne (il faut faire très vite quand on décolle de province)

Le 1er billet n'est pas remboursable mais modifiable avec des frais en plus, ce qui rend l'opération peu intéressante. De plus, il faudrait le faire avant la date de départ... or, je n'ai pas de déplacement pro prévu en avion dans les semaines ou mois à venir.

J'envisage éventuellement de "laisser tomber" cette dépense. Ce n'est pas non plus un billet pour Hawaï ! C'est de l'ordre de 180 euros.

Ma question est la suivante :
Face à cette dépense, j'ai un reçu de paiement mais pas une facture. Je n'aurais pas de carte d'embarquement puisque je prendrai l'autre vol. Cet abandon est-il problématique ?
Et par extension (et curiosité), quid en général des frais de déplacements engagés mais non réalisés ? Des hôtels payés mais non utilisés, des trains ratés...etc.

Je précise que je suis en EURL soumis à IS.

Merci de vos éclairages !
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Réponse postée 27 avril 2015 20:16

A propos de la TVA, je ne parlais pas du véhicule qui bien entendu est acquis TTC (ce serait trop beau !). Je pensais aux dépenses liées que je pensais HT mais tu as effectivement raison : seule la TVA sur e carburant gazole, les péages et autres notes de parkings est déductible. Il me semble que les indemnités kilométriques n'englobent pas les 2 derniers. Or pour moi, cela représente une partie importante car je laisse ma voiture systématiquement en parking d'aéroport et de gares quelques jours à chaque déplacement et la note grimpe vite.

Il y a 3 ans, lorsque j'ai cherché à acheter mon premier véhicule de société, j'étais parti sur de l'hybride, puis de l'essence pour en venir au diesel. Les motorisation du type blue-HDI étaient très intéressantes en raison d'une puissance fiscale modérée pour une très faible émission de CO2, donc une TVTS faible.
Je raisonne donc en carburant gazole, donc une TVA à 80% déductible.

Sinon, pour en revenir à ta question sur le carnet de bord, compte tenu de mon utilisation mixte du véhicule, je tiens un carnet de mes déplacements pro sur un fichier Excel (date, destination, motif...). TOUTES MES DEPENSES relatives au véhicule sont réglées par défaut sur le compte de l'entreprise.
A la fin de l'année, je reprends mon petit fichier et j'y indique le kilométrage atteint sur le véhicule au 31 décembre, celui du 1er janvier y figurant déjà. Avec Google Maps, je calcule la somme de mes kms de déplacement professionnels et j'établis le ratio "déplacements pro/kms parcourus par le véhicule dans l'année". C'est ce ratio qui constitue la quote-part d'utilisation pro de mon véhicule et que l'expert-comptable utilise par la suite.
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Réponse postée 27 avril 2015 15:59

Oui, il y a un calcul d'opportunité à faire en effet... chaque situation mérite de s'y attarder :)

Cela dit, on pense souvent à l'IR mais on oublie que la forte augmentation de rémunération (+20K€ si je suis bien) génère également une hausse des cotisations s'y rapportant.

Les indemnités kilométriques servent bien entendu à absorber des frais liés à l'usure du véhicule personnel, mais quid de l'assurance et surtout pourquoi débourser de son compte personnel de la TVA dessus ainsi que sur l'entretien si l'on peut le faire supporter par l'entreprise en HT, d'autant plus que la trésorerie le permet largement ?

Si en plus l'objet de l'achat est un véhicule d'occasion hors garantie, il y a toujours le risque de débourser une éventuelle grosse réparation de sa poche TTC.

Par ailleurs, si tu optes pour un achat de véhicule chez un professionnel, il y a des tarifs préférentiels pour les entreprises ce qui est vraiment intéressant. Comme ils ont souvent des objectifs sur le marché des professionnels, espérant multiplier les services d'entretien pour les flottes par la suite, ils font des gestes commerciaux parfois énormes.

Par exemple, pour le véhicule que j'ai commandé il y a quelques jours, j'ai eu 7161€ de remise (19%) !

Enfin, il est parfois intéressant d'avoir un haut de bilan plutôt garni... ça rassure bizarrement. Je viens de m'apercevoir lorsque j'ai changé de banque 🙂
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Réponse postée 27 avril 2015 12:43

Je pense qu'il n'y a même pas à y réfléchir... enfin, pas trop longtemps !

La trésorerie étant largement suffisante, sortir le montant de l'entreprise est bien plus avantageux notamment en raison de l'imposition marginale sur ton revenu supplémentaire qui arrivera d'un coup.

De plus, le véhicule appartenant à la société, avec 90% d'utilisation pro, tu pourras passer l'ensemble des frais d'entretien et autres dépenses liées en charges sans poser aucun souci. C'est toujours ça à déduire de ton bénéfice imposable.

Après 3 ans, je suis justement en train de changer mon véhicule de société (tourisme aussi) pour un neuf (reprise chez un concessionnaire) et après discussion avec mon expert-comptable, nous avons convenu de le payer comptant et en aucun cas à titre personnel (même avec une utilisation pro beaucoup moins élevée que la vôtre).

Un des critères intéressants est de rester sur des nouvelles motorisations rejetant moins de CO2 pour avoir une TVTS limitée.
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Réponse postée 26 avril 2015 17:22

Je reviens juste pour donner des news.
Finalement, je n'ai pas opté pour Fiducial car pas très clairs sur la procédure en cas de besoin de rencontrer quelqu'un physiquement.
Ayant été chez HSBC Business Direct, service complètement à distance, il y a tout de même le réseau physique en cas de pépin... j'ai eu un problème de CB une fois et j'ai tout de même pu être pris en charge rapidement via une agence physique qui a fait le facteur et chez qui j'ai pu effectué un retrait déplacé au guichet.

Du coup, j'ai sondé la SG et le CA... bof. Surtout pour ces derniers qui ont mis 4 jours à me rappeler... pas très réactifs.

Du coup je suis depuis quelques jours chez une petite banque régionale SMC filiale du Crédit du Nord, avec réseau physique et partenariats Crédit du Nord et Société Générale.

Résultat des courses : le compte pro + pack Internet + Gold Business à 28€ HT contre 22€ HT chez HSBC Business Direct
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Réponse postée 9 avril 2015 13:33

consultant49 a écrit : ...

Fiducial banque : regardez leur site.
Compte ouvert depuis Qq jours : résultat très probant, à ce jour je recommande.

Leur site internet n'est pas le plus ergonomique loin de là, mais efficace : on ne cherche pas tout le temps l'information et surtout pas de publicité ou de marchandage constant comme sur bred et hsbc.

15 euros par mois HT tout compris y compris CB
Seul critère : CA < 1,5 ME (sous réserve, en tout cas inférieur à 1 ME)

...

Mais ma remise d'un gros montant sans LRAR chez fiducial n'a pas posé de problème..

BRef, je pense avoir trouvé la solution pas très onéreuse et en plus en phase avec mes valeurs entrepreneuriales : banque des PME.
C'est vrai que je n'ai jamais pensé à Fiducial... j'vais une image d'eux beaucoup plus d'experts dans le financement, la comptabilité ou le conseil aux entreprises. Je n'ai pas vraiment percuté qu'il pouvaient faire des opérations bancaires simples, comme La Poste et qu'ils étaient à distance avec des horaires de disponibilité plus larges que les agences physiques.

J'ai regardé un peu le site, les tarifs des opérations et effectivement, ça semble convenir à mes besoins.

Pour la remise de chèques, j'ai été payé 2 fois par chèque en l'espace de 4 ans... c'est vous dire à quel point c'est secondaire.

En revanche, j'ai régulièrement des paiements en provenance de Suisse (client régulier). Mais je pense que ça ne devrait pas poser de souci... surtout avec la généralisation de l'IBAN et du BIC.

En tout cas, merci pour la piste 🙂
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Réponse postée 4 avril 2015 12:03

Bonjour,

Je suis également dans le même cas que certains parmi vous... plaqué par mon soit-disant "partenaire" HSBC Direct.

Il y a en effet un vrai problème d'absence d'offre de banque 100% en ligne pour les petites sociétés qui ont des besoins se limitant aux opérations courantes (virement, prélèvement, encaissement...) sans réclamer de lignes de crédit ou de produits bancaires.

Devant trouver un "nouveau partenaire" très vite, je me suis arrêté aux banques en ligne (Boursorama, ING Direct...) dont les offres sont très intéressantes mais qui se cantonnent aux comptes pro, sorte d'amalgame entre compte perso pour utilisation pro. Donc, exit les sociétés.

Je suis presque dépité lorsque je regarde les coûts de banques, avec leurs package d'abonnement à la banque en ligne qui s'ajoutent aux frais de tenue de compte (lesquels montent en flèche avec le CA). Sans parler des frais sur les encaissements au delà de certains montants...

Surdimensionner les services et les commercialiser en package pour justifier leur facturation... bref, ça ressemble comme 2 gouttes d'eau à du racket. On se demande s'il ne faudrait pas une action collective (Loi Hamon) pour qu'on arrête de nous prendre pour des pigeons.

Sinon, vous qui avez dû changer de HSBC Direct (ou d'ailleurs), pour quelle banque avez-vous opté finalement ?
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Réponse postée 5 septembre 2014 11:05

Merci beaucoup pour ces conseils !
Bonne journée
:)
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Réponse postée 4 septembre 2014 22:54

Merci pour vos contributions !
Si je comprends bien, il semble que je sois dans le second cas que cite hmg même si remboursement au "francs le francs" sonne d'un autre âge :)

Donc nous avons tous les 2 raisons... il faut croire que ce nouveau client ne souhaite pas simplifier sa gestion alors.

Je peux donc continuer à rajouter de la TVA sur les frais pour les autres clients comme je le fais actuellement et faire une exception à ce dernier comme il le souhaite.

Mais comment cela se présente la facture alors ?
(J'ai séparé la presta des frais et envoyé la première facture pour règlement)

Admettons que je veuille établir une facture de mes frais de déplacement :
J'ai payé 110€ mon A/R en train et 22€ mon repas de midi.

La facture à régler doit comprendre :

Train 100 HT / 110 TTC
Repas 20 HT / 22 TTC

total 120 HT / 132 TTC

avec une mention remboursement au francs le francs ?

Mais si le déplacement est en Suisse, avec des billets achetés en France et un repas pris en Suisse ?!
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Réponse postée 2 septembre 2014 13:44

Bonjour,

Après avoir écumé le forum, une question reste floue... je ne sais toujours pas s'il faut appliquer une TVA à mes factures de remboursement de frais adressé à mon client ou non.

Mais sans doute ai-je mal compris... Par exemple ici pas de TVA :

"Il faut souvent s'adapter à ce que demande le client tout en ayant en tête quelques règles de base :
- il n'y a pas à ajouter de la TVA sur des frais qui en contiennent déjà (donc TTC + TVA est un non sens, il faut raisonner en HT + TVA ou TTC avec détail de la TVA contenue)"

https://www.free-work.com/fr/tech-it/forum/t/12170-encore-des-questions-sur-tva-et-frais

Et là de la TVA :

"Puis je facture au client en une seule facture :
-mes honoraires + 5,5% de tva (je suis photographe auteur)
-les frais 118 + 19,6% de TVA qu'il récupérera par la suite ( soit 141€)

Est ce correct comme cela? "

"Bonjour,
C'est correct.
Reste que le client peut préférer une autre méthode."


Quelques précisions :

Je suis en EURL, je facture des prestations tout en offrant le plus souvent les frais qui restent marginaux... mais parfois, lorsque les montants grimpent (beaucoup de déplacements sur la mission ou déplacement à l'étranger par exemple), il m'arrive de reporter cela sur la facture. Jusqu'à présent, j'avais intégré une ligne dans la facture avec la désignation "frais de déplacement et de séjour" avec justificatifs joints. Le montant correspondait aux dépenses justifiées, et j'appliquais la TVA sur l'ensemble HT de la facture (prestation + frais).

Ce matin, un client que je facture pour la première fois me demande de refaire ma facture en séparant prestation et frais. Pour les frais, il s'agit de billets de train et son argument est qu'ils sont déjà en TTC, auxquels il ne faut rajouter de la TVA par dessus.

Je suis perdu !
J'en profite également pour anticiper une facturation similaire pour un client en Suisse. La prestation se facture HT mais comment facturer ces frais qui sont des dépenses en France (billets de train ou d'avion...) ou en Suisse (taxi, tickets de tramway...) ?

Merci pour vos éclaircissements !
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Réponse postée 28 avril 2014 11:30

Merci Pour vos retours...

En effet, j'ai entièrement confiance en mon EC... c'est juste que j'aime bien m'adresser à elle avec une idée claires des alternatives pour que la discussion soit courte et efficace. Et comme j'apprends beaucoup avec le forum, pourquoi s'en priver ?

Comme les réponses ont un peu tardé à venir, j'ai du coup engagé la conversation en 2 temps avec l'EC et quelques simulations. Il en ressort en effet que le meilleur schéma est :

- un classique prêt personnel + location + quote-part des charges. Nous avons envisagé à un moment le démembrement mais c'était trop de paperasse pour le gain que cela apportait, avec un manque de flexibilité en cas de revente.

Pour le véhicule :

- "normalement", la valeur est la valeur de l'argus mais il est toujours compliqué de justifier de la valeur du marché tant la cote officielle ne prend pas véritablement en compte les options qui sont intégrées dans les finitions (ce qui est mon cas). Du coup, selon mon EC, il est possible de se revendre le véhicule à un montant légèrement inférieur à sa cote réelle, pourvu que cela ne soit pas exagéré et reste justifiable sur une finition moindre du même modèle.
Malgré cela, elle m'a conseillé plutôt de garder le véhicule actuel ou éventuellement de le faire remplacer par la société si j'ai vraiment envie de rouler dans un autre modèle. Bref, garder cela en immobilisation tant que nous pouvons nous le permettre moi et la société.
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Réponse postée 8 avril 2014 14:35

Bonjour,

Tout d'abord merci à tous ceux qui prennent de leur temps pour répondre aux diverses questions des uns et des autres. Cela fait plus de 2 ans que j'écume le forum (en simple visiteur) et j'y ai trouvé beaucoup de réponses, ce qui m'a permis d'y voir plus clair, notamment avant de m'adresser à mon expert-comptable pour approfondir tel ou tel sujet avec des simulations précises.
Aujourd'hui, je lance mon premier sujet en espérant avoir des réponses qui m'aideront car malgré la récurrence de thème sur le forum, les détails sont parfois différents, soit les réponses datent... et comme pas mal de choses ont changé 🙄
Je suis donc en prestataire (consultant) en EURL (pas de bol, l'année de mon établissement, l'optimisation sur les dividendes sautait !) avec un CA qui tourne autour des 100K€ annuels. Le siège social est établi dans le bureau de ma maison (je suis locataire) et jusque-là j'ai fonctionné sur une quote-part des frais (loyer, électricité, assurance) en fonction de la surface de cette pièce rapportée à la surface totale.

Je suis sur le point d'acheter une maison avec mon épouse et je me demandais quel était la manière la plus avantageuse de faire participer mon EURL dans cet effort d'acquisition... j'ai lu tout et son contraire... envisager une acquisition partielle (démembrement), percevoir un loyer pour le bureau et d'autres montages qui m'ont étonnés (bail long terme, SCI...). Bref, j'envisageais d'établir un bail vu que je travaille à temps plein de la maison (sauf déplacements ponctuels) mais est-ce bien la meilleure solution ?
Si c'est le cas, j'ai lu des choses sur la surface professionnelle et la surface mixte. Aujourd'hui, la quote-part que j'utilise est un ratio bureau/surface totale donc 100% professionnelle... demain, si je pars sur un bail, dois-je évaluer uniquement la location de la pièce bureau ou bien puis-je inclure des espaces mixtes... et quels seraient ces espaces exactement ?

Ma seconde question concerne mon véhicule qui est à usage mixte (véhicule de tourisme) mais au nom de la société. Un excédent de trésorerie m'avait permis de l'acheter au comptant et je souhaiterais le changer pour un autre véhicule de tourisme. Il a été acheté il y a 2 ans et est amorti sur 3 ans.
l'EURL peut-elle le revendre au gérant à titre personnel et si oui, dans quelles conditions de prix ? Valeur nette comptable ou prix du marché ?
Sinon, dans le cas où l'EURL le revend pour en racheter un autre, y a-t-il des frais à prévoir ou des précautions à prendre ?

Merci de vos éclairages.
N'hésitez pas à me demander plus de précisions si cela peut aider...

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